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Recherche personnes pour tracer un trait sur une feuille
billyboble 11 décembre 2023 à 01:32
Bonjour,
Je recherche, sur Lyon, des personnes asperger pour tracer un trait sur une feuille de papier dessin.
Je préfère réaliser ce projet avec un groupe réuni dans un lieu ouvert.
Une fois réuni, je donnerai la première consigne pour exécuter l'exercice.
Posez vos questions si vous le désirez.
billyboble 11 décembre 2023 à 09:11 • 106776
Bonjour,
Le lieu peut-être celui en lien ci-dessous. Espace calme, assises confortables et tables.
https://centre-ressource-rehabilitation.org/la-bibliotheque
Je suis aussi Asper-Truc, diagnostiqué par une farandole de spécialistes sur Lyon.
Hinenaole 11 décembre 2023 à 10:56 • 106777
Salut Billybob. 🙂
citation :
pour tracer un trait sur une feuille de papier dessin.
Bon, je ne discute pas du coeur de la démarche. A toute échelle, cela peut avoir un intérêt.
Par contre, ce que tu ne précises peut-être pas, c'est avec quelle manière et éventuellement quels outils tu proposes de le faire. En effet, il y a des personne pour qui la main levée suffira et d'autre pour qui une règle graduée sera indispensable. Et je ne parle pas des adeptes de la gomme. Bref, afin de mobiliser au mieux des troupes motivées, donner un peu plus d'info sur la faisabilité serait un plus.
Bon trait à toi.
Bon trait à vous.
Hiné.
Alcedole 11 décembre 2023 à 12:21 • 106782
Billybob,
Juste que je comprenne l'esprit de ta sortie, s'agit-il de faire une création commune ? Ou bien de partager un temps sans avoir le verbal comme support à l'échange, mais plutôt chacun qui dessine ce qu'il souhaite ? Ou un thème imposé ?
billyboble 11 décembre 2023 à 20:01 • 106788
Hinenao,
- En aparté. Hinenao est-ce une référence à la bière Tahitienne Hinano ?
- En aparté le retour. Si j'écris le mot "Normaux", cela désigne les non autistes et "Anormaux" les autistes, j'ai repéré une frange de la population que je nomme "ParaNormaux" ces derniers sont difficiles d'accès et exceptionnels, ils sont issus du groupe des Normaux. Il y en d'autres mais je n'ai pas assez de données pour pouvoir trancher. Je peux concevoir que cela peut choquer mais ce n'est en aucun cas du dénigrement, c'est juste de l'auto-dérision.Je n'aime pas trop utiliser "neuro-machin".
Donc je précise :
- Le crayon est un critérium, non léger, muni d'une mine grise de 0.5 millimètre de type B.
- Le grammage du papier dessin varie de 180 grammes à 300 grammes. Je préconise 180/200 grammes pour débuter, le haut grammage ne signifie pas être expert, cela n'a rien à voir.
- Le type de papier dessin varie lui aussi.
- Le format du papier est très différents aussi. Pour débuter je préconise le format A5 ou plus petit et non carré, ceci pour avoir le choix de la position portrait ou paysage.
La gomme peut être utilisée, par contre pour débuter je ne conseille pas cet outil.
Par expérience j'ai vu rarement utilisé la gomme.
Pour les règles idem que la gomme.
Pas de compas.
La main levée est préférable.
Alcedo,
Ce n'est pas une sortie, c'est une démarche artistique, Il n'y a pas de délais non plus et pas de stresse.
C'est une création entre la personne qui trace et moi, une symbiose plus précisément. J'ai souvent eu des duos et plus rarement des trios et quatuors. Il n'y a pas de contrainte juste des consignes, par exemple respecter les marges. Il n'y a pas de maître et ni d'élève, la personne qui trace est maître de sont tracé.
Le verbal est primordial pour échanger entre les traceurs et moi même et ceux qui préfèrent être muets sont acceptés aussi. Les ParaNormaux sont bavards.
Il n'y a pas de thème non plus, c'est le traceur seul qui décide.
La seule chose qui est imposé ce sont les consignes et les consignes ne sont pas longues, à la louche l'explication dure une minute et encore.
Avec le temps j'ai développé d'autres consignes qui s'imbriquent dans les consignes primaires.
Il y a de nombreux degrés de difficultés et pour une première séance je propose toujours le premier degré, c'est celui qui réduit grandement le choix de départ et d'arrivée.
Ce qui bloque ou freine généralement c'est le psychique et pas qu'un peu.
J'appelle évaluation le ou les premiers tracés. Si la personne veut en réaliser un alors cela sera un tracé. Généralement j'obtiens deux tracés. Trois tracés est le chiffre optimum pour s'apercevoir de l'évolution.
Maintenant si c'est zéro alors se sera zéro.
Il faut avoir à l'esprit que jamais je n'essayerai de convaincre une personne, oui ou non point et jamais je ne demanderai le pourquoi du non.
Le déroulé de la chose.
1/ Les consignes.
2/ Une personne décide de commencer.
Derrière un paravent, comme ceux de Donjon et Dragon, la personne trace et je demande si je peux regarder pendant qu'elle trace. Un oui je regarde, un non je ne regarde pas, c'est clair.
3/ Le tracé terminé je donne d'autres consignes qui seront annotés sur le dos de la feuille.
4/ Je cache le tracé aux autres participants.
Il est préférable que les participants à cette première rencontre ne soient pas influencées.
Une fois terminé le ou les tracés, selon le désire de chacun, je montre le premier tracé alors, nous pouvons discuter et ainsi de suite.
Au fur et à mesure j'évalue chaque tracé. Je ne donne pas mon évaluation aux personnes présentes. Seules certaines personnes de mon cercle auront mon avis et ces mêmes personnes me donneront leur avis en premier. Ce cercle n'est pas fermé.
Il n'y a pas de bons ou de mauvais tracés, il y a simplement de meilleurs tracés que d'autres.
La patate chaude c'est pour moi pour la suite du travail.
Il y a deux étapes distinctes dans mon évaluation.
La première et rapide, elle consiste à ne surtout pas distraire mon esprit, elle sera faite lors de la rencontre.
La seconde consiste en une extrapolation mentale plus ou moins poussée.
Le tout pour chaque côtés.
Chaque côtés est travaillé.
Je n'abandonne aucun côté.
Un tracé exceptionnel se voit rapidement, mais aussi un tracé extrapolé, j'en ai eu plusieurs des deux types ces derniers temps sur des formats10x10cm (six) et 40x40cm (deux) de la même personne. Le 10x10cm est compliqué en degré numéro deux.
Est ce que mes évaluations sont subjectives ?
Possible.
Être un dessinateur est il utile ?
Non, cela peut être même handicapant pour cet exercice.
Suis je dessinateur ?
Non dans le sens académique.
Et après ?
Je bosse en gardant la ligne directrice des traceurs.
Puis ?
Je montre le résultat final.
Alcedole 11 décembre 2023 à 20:31 • 106789
Eh bien tout cela me semble fort bien, mais ce sera sans moi.
Je te souhaite de pouvoir trouver avec qui partager ce projet.
billyboble 11 décembre 2023 à 22:00 • 106792
Alcedo,
Merci.
Je suis déjà bien occupé sur des projets annexes ou différents et je connais les probabilités pour réunir des personnes pour ce genre de choses.
Hinenaole 11 décembre 2023 à 22:36 • 106793
Re. 🙂
citation :
En aparté. Hinenao est-ce une référence à la bière Tahitienne Hinano ?
Merci pour cette question... qu'on ma déjà posé plusieurs fois. Jamais sur Apie par contre.
Donc oui, il y a bien un lien entre les deux. Mais non, mon pseudo n'est pas une forme d'hommage à cette marque de bière.
En fait, Hinenao, cela signifie "mon amour" ou "ma petite femme" ou "mon petit amour". C'est comme ça, en français qu'on peut le traduire au mieux. Et c'est un mot très doux par son sens qui est vraiment le prolongement d'une certaine forme de tendresse passionnelle et respectueuse. Egalement, c'est un prénom féminin. (comme si, de l'Eve biblique tu en tirerais Eva, par exemple.)
En fait, "hin", c'est la racine qui désigne la femme (tout comme le gyne en grec ancien > "gunê" = la femme), et donc qu'on retrouve aussi dans la forme d'un autre mot qui est passé de la large région Pacifique au reste des cultures du monde entier, c'est à dire "vahine" (prononcé Vahiin' ) et qui est devenu, un peu plus tard, par déformation accentuée, "vahiné". La fameuse vahiné qui est donc la femme polynésienne par exellence, même si ça ne respecte pas toujours les réalités géographiques et historiques, pour être sincère.
Et donc oui, puisqu'il n'y a pas qu'une seule langue polynésienne uniformisée - contrairement à ce qu'on pourrait croire - mais presque autant d'adaptations linguistes que d'archipels éloignées entre elles, Hinano est donc une variante directe de Hinenao, qui elle, est la forme majoritaire marquisienne. (Egalement pour détail corrolaire utile, "han" désigne lui l'homme, ce qui donne alors "vahana".)
Enfin, je ne sais pas si tu as eu l'ocassion de goûter cette bière, par importation vers la Métropole, mais moi, je l'ai fait l'année dernière. Par curiosité. Bien que ce soit une bière brassée à Tahiti exactement, elle n'a franchement rien d'exceptionnel. C'est une lager, probablement de type fermentation basse, donc une blonde qui se laisse boire très bien, sans souci. Cependant, il ne faut pas en attendre une certaine particularité régionale. C'est juste une bière moderne brassée à Papeete. Par contre, ce qui est intéressant de savoir culturellement, c'est que ce genre de produit n'est pas fabriqué en Polynésie pour rien. En effet, les gens du Pacifique ne sont pas souvent portés sur les vins (même s'il ne faut pas généraliser). Bien davantage, ils préfèrent les bières qui sont des boissons que le transport maritime mondial a facilement amené jusqu'à eux. Et là-bas, comme ici, la bière est synonyme de fête, dans les soirées et les repas animés. C'est donc devenu finalement un repère social et culturel fort.
Quant à savoir pourquoi cette bière s'appelle Hinano, je pense que c'est juste un effet marketing. Ça permet notamment de mieux se vendre à l'étranger et à l'outre-mer, parce que cela joue sur le fameux stéréotype bien connu de la gentille et douce vahiné, "impératrice culturelle" par nature à qui on ne peut rien reprocher car elle n'est chargée d'aucun point négatif d'histoire. Et donc, ce n'est pas un pur hasard que ce soit une "vahiin" qui soit aussi le logo central de cette marque, une vahiné qui d'ailleurs arbore tous les signes culturels en vigueur. Position assise en tailleur, de profil (un ultra classique représentatif), couronne de tiarés (coiffe traditionnelle ayant une identification régionale aussi forte que pourrait l'être la coiffe bigouden, par exemple. On sait donc d'emblée que ce n'est ni Vendéen ni Normand, voyez...), l'hibiscus à l'oreille gauche (qui veut dire que cette femme n'est plus un coeur à prendre, désolé messieurs), et le fameux pareu (paréo) accompagné d'une longue chevelure lisse (qui n'est pas si courante, en réalité, c'est plutôt un "fantasme"). Bref, (humour 2d°>) Quand on n'a pas de tour Eiffel au milieu des cocotiers, on mise sur ce qu'on a de plus beau, au pays, et on y place alors tous les codes identitaires possibles sur une seule image. (un peu comme une bière qui se nommerait "La Française" et qui serait illustrée par une Marianne, en bonnet frygien et chevauchement de barricade et sous étendard tricolore, pour donner un ordre d'idée équivalent. Ce qui ne signifie pas que la femme française d'aujourdui puisse se parer pareillement. Je ne crois pas! C'est donc là un stéréotype clair, un parfait symbole.) Bref, je pense que les Tahitien/nnes ne sont pas peu fier/ères de cette production locale, et ça, ça peut se comprendre. 👍
Euh bon voilà, je crois que j'ai fait le tour... 😄
Et merci pour ton long post qui apporte effectivement toutes les bonnes précisions. Merci. 😉
Bonne soirée.
Hiné.
billyboble 12 décembre 2023 à 00:17 • 106795
Merci Hiné pour tes informations précises et précieuses.
Après ton tour, voici un petit passage dans la matrice.
La bière Hinano est proche de la 33 Export dont j'appelle cette dernière la bière de troupe.
J'ai effectué dans les années 80, durant 24 mois, mon service militaire en Polynésie, marine embarquée. Nous nous sommes énormément déplacés, pendant cette période. Nous avons couvert une surface entre la Nouvelle Calédonie, les australes, les Marquises et le pacifique nord.
Effectivement les polynésiens sont friands de bière blonde. Exemple, on mouillait à Rapa, on débarquait une palette de bières de troupe et on embarquait un stock de langoustes dans les congélateurs. Ou, en Nouvelle Calédonie avec la population des îles du nord, nous faisions barbecue et tournois sportifs la journée et la nuit ils tiraient sur les gendarmes. Ou mieux, nous accostions à Mururoa et nous faisions la fiesta avec la légion puis nous repartions faire des rond dans l'eau, quelques ballons sondes et durant une période nous avions eu la compagnie du brise glace de Green Peace. Quand les deux bateaux se croisaient sur les bords nous pouvions entendre le crépitement des appareils photographiques et pendant ce temps, Hop ! Une P'tite bombe atomique dans les entrailles de l'atoll. Puis reHop ! Déplacement de la tour de forage pour ensuite glisser une Chi'tite bombinette et... rebelotte.
Le top du top : "Poubelles à la mer sur la plage arrière".
On monte d'un cran, chasse aux nuées de bateaux de pêches miteux sud coréen dans les eaux territoriales.
Qui qu'en veut ? Dégazage au large des atolls.
Évidemment entre deux barbecues ou cochons à la broche et avec qui ? B'en... les fournisseurs officiels de langoustes et de danses traditionnelles rien que pour nous. Ah oui ! Les rôties de porcs sont appréciés aussi, les boîtes de cassoulet, de choucroute, de raviolis, le lait bien entendu et pour ? B'en... des carapaces de tortues, des tikis en bois sculpté, des paréos et cetera. La bière, le miracle en canette. Misère de miséricorde. Les Normaux sont les génies de l'humanité.
L'image de la vahiné est édulcorée. Les polynésiens sont fort, robustes, athlétiques, pleins de grâces et admirablement gentils. Malheureusement ils se nourrissent mal donc, surcharge pondérale.
Caramba ! Je me demande si les Anormaux peuvent faire mieux.
paradoxle 12 décembre 2023 à 15:22 • 106809
"Malheureusement ils se nourrissent mal donc, surcharge pondérale."
Point génétique : les polynésiens ont historiquement une tendance à plus stocker les graisses après avoir vécu plusieurs périodes de disettes intenses. La surcharge pondérale est hautement accentuée avec l'arrivée de la bouffe occidentale et industrielle (graisse et sucre en abondance). C'est pas tant qu'ils se nourrissent mal, c'est que cette bouffe n'est pas adaptée à leur métabolisme.
billyboble 12 décembre 2023 à 17:47 • 106815
Effectivement @paradox,
Je fréquente des polynésiens en France et c'est le même constat. J'en discute avec eux et ils le disent aussi, c'est compliqué. L'odeur de la viande grillée, des chips et de la friture supplantent le poisson entre autres.
Même procédure pour les Vietnamiennes là aussi, avec des divergences. J'en parle aussi avec elles et rebelote.
Hinenaole 13 décembre 2023 à 13:19 • 106844
Salut. 🙂
@billybob
Je surveillais un peu ce fil, histoire de voir quelle serait ta réaction naturelle à mon propos. Je m'attendais à un truc un peu du genre "Wow! Tout ça! 😱 Mais euh, Hiné, je te posais juste la question de savoir si c'était une référence à une bière..." Donc je m'étais intimement dit également "Bah, ça va peut-être lui plaire, mais il va sans doute se sentir surchargé. N'insistons quand-même pas trop." (et, c'est vrai qu'à l'instar, par exemples, des Niponphiles qu'il ne faut pas aller titiller avec des refs de mangas et des kanjis, faut pas non plus me brancher sciemment sur le sujet de la Polynésie. Sinon, je peux vite devenir intarissable... et un peu chiant! 😅)
Du coup en lisant ta réponse, j'avoue que j'ai eu droit, là, à pas mal de jolis détails aussi, en retour. Et finalement, l'effet "wow", il a été pour moi 😄. Merci pour ce voyage express en Polynésie et ce sympathique partage de tranche de vie anecdotique qui nous/m'a fait faire là pas mal de kilomètres en une seule poignée de phrases. Woh! j'en suis encore tout décoiffé, dis-donc. 🤘🤩
(et si tu t'es éventuellement demandé, après coup, si cela avait là pu surcharger également ton propos, rassure-toi, je crois qu'il n'en fut rien. C'était super. C'était très bien 😄👍)
---
@paradox
Perso, ça me fait plaisir de savoir que tu connais ça. (ça veut donc dire pour moi, en creux, que tu t'es très certainement penché, un jour, sur le sujet des époques de colonisation du Pacifique et leurs effets, et forcément aussi, sur les périodes antérieures d'effondrement civilisationnel et d'extinction) Merci d'être, sur Apie, un vrai puits de science polyvalent. 👍
A plus tard vous deux. 😉
Hiné.
billyboble 13 décembre 2023 à 14:19 • 106849
Bonjour et Gracias Hiné,
Petit rappel, si on est constipé on s'enfile une farandole de pruneaux d'Agen histoire de débugger l'autoroute intestinale. Une fois vidé on se sent plus léger et sans remords d'avoir tout gardé.
billyboble 16 juin 2024 à 12:46 • 115917
Bonjour,
Je vous fais un retour lite sur l'affaire des traits. @Penny c'est prêtez à cette expérience farfelue avec un grand sérieux et nous en sommes satisfait. Je tiens à préciser que @Penny a admirablement intégré le principe, merci a elle et aussi pour ses futures contributions.
Pennyle 16 juin 2024 à 17:46 • 115924
Bah, écoute @billybob, Penny a été enchantée de participer à ton projet de traits et tout à fait satisfaite, effectivement, de voir sa "production" répondre à tes attentes.
Et puis, très enthousiaste de découvrir tes développements et extrapolations.
Et enfin, toujours partante pour poursuivre cette originale collaboration.
Bon, il faut dire que quand on me propose un truc cheulou, on obtient déjà 75% de mon attention.. et quand, en plus, c'est en lien avec l'art, la création.. bah, clairement, on peut être à peu près sûr de m'avoir déjà vendu le truc en question.
Il faut dire que quand j'entends que "la curiosité est un vilain défaut", ça me fait doucement rire. Pour qui est-ce un défaut, sinon pour ceux que la dissimulation fait prospérer ?
En ce qui me concerne, c'est une qualité et c'est en la cultivant qu'on peut profiter du meilleur de nous-même, qu'on peut donner un sens à ce qui nous distingue des gens qui n'éprouveront jamais le besoin de s'inscrire sur Apie (car peut-être plus généreusement fournis en habileté sociale ou en capacité à se sentir appartenir au plus grand nombre..)
J'espère donc que tu continueras à trouver des "partenaires de traits", pour toi et pour tous ceux que ça interpelle un tant soit peu. Parce qu'ils auraient bien tort de se priver de cette curieuse expérience "paranormale".
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