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Bon, enfin je me lance. Avec une difficulté certaine.
Comment dire. J'ai enfin rencontré l'homme de ma vie il y a 4 ans. J'ai 50 ans, jamais je n'ai ressenti cette fameuse connexion, qu'il me semble nous recherchons tous.
Cette chimie charnelle, ces moments évidents de tendresse et de profondes rigolades, d'autodérisions... De plus, je le connais, mais pas vraiment, dans une sphère amicale de longues années.
MAIS, il y a toujours un mais. Il a eu, il a des problèmes d'addiction.
Je sais quel courage il a, il a déjà réussi à décrocher pour moi à 2 reprises, mais ... si certain.e.s d'entre vous ont des retours d'expériences.
Un deuil a ravivé sa flamme de la H. Il a "décroché encore" mais s'est tellement réfugié dans l'alcool que s'est devenu invivable.
Je ne suis pas la dernière à cotoyer l'alcool comme antidépréseur, mais en mode mesuré. Les psy conventionnels et remboursés ne me conviennent pas. Je fais pourtant le job, (enfin il me semble) avec des moments d'hypnose encadrés.
Bref, je suis paumée, une fois de plus.
Comment faire confiance à une personne qui ment face à son addiction ? Je ne peux plus et je souhaiterais comprendre
C'est par l'addiction qu'on se fait l'enfer et par la diction qu'on s'en sort !?
Jeu de mots faciles pour des maux très durs.
Comment celas peut il être?
Quels maudits maux cache la diction de ces maux dit dans les monts.
Quoi faire et comment être?
On peut pas tout comprendre.
Observer, jauger, se positionner...
Juste attendre d'être obligé...
Jouir, souffrir, jouir, souffrir.
Être attacher, se détacher.
De toute façon, on va mourrir alors en attendant pourquoi pas vivre?
Du coup, de la rage, ensuite
du courage...
Hello, n'ayant pas vécu de situation similaire, je préviens d'avance que mes idées seront possiblement à côté de la plaque, auquel cas ne tient pas compte de mes remarques.
Tu dis qu'il s'est "tellement réfugié dans l'alcool que s'est devenu invivable." Et qu'il "ment face à son addiction". Pense tu qu'il ment pour se "protéger" de ce qu'il pourait possiblement percevoir de toi comme des "accusations" (je ne te repproche rien et ne dis pas que tu l'accuse, j'émets juste l'hypothèse que quand tu lui en parle il se sent aggressé) ou bien pense tu que le problème est plus grave et qu'il n'a même pas conscience qu'il est accro ?
Dans les deux cas je pense qu'il a besoin d'une aide extérieur car à mes yeux l'addiction est une forme de refuge de la réalité qu'il n'accepte pas, je suppose que c'est là son moyen de se protéger de la souffrance du deuil, et qu'il a probablement besoin de soutiens emotionel et psychologique pour le faire. L'alcool provoquant en plus une dépendance physiologique, je pense sincèrement qu'il faut chercher de l'aide extérieure.
Mais dans un premier temps le plus important à mon avis est de parvenir à ce qu'il admette sa dépendance, peut être en allant dans son sens, en cherchant à le rejoindre (la CNV-Communication Non Violente peut aider pour ça) avec des questions du genre "tu es triste que ... soit mort(e) ?" "Tu aurais besoin d'être rassurer ?" "Tu te sers de l'alcool pour ne pas y penser ?" "N'y aurait il pas à ton avis d'autre alternative pour t'aider à surmonter cette épreuve ? Je suis là pour t'écouter par exemple si tu as besoin"
Bon voilà c'est un scénario fictif dans ma tête et ne vous connaissant pas, il est fort possible que ma vision soit naïve et idéalisé mais sait-on jamais ;)
En tous cas je te souhaite bien du courage pour faire face à cette situation
Salut. 🙂
Et en priorité, merci pour la confiance tu fais au groupe humain Apien de te confier sur ce problème personnel. 🙂
citation :
Je ne suis pas la dernière à cotoyer l'alcool comme antidépréseur, mais en mode mesuré. Les psy conventionnels et remboursés ne me conviennent pas. Je fais pourtant le job, (enfin il me semble) avec des moments d'hypnose encadrés.
Personnellement, je ne suis pas addicte de quoi que ce soit, et je suis même "contre" l'hypnose, pour moi-même. En effet, il est hors de question qu'on entre dans ma tête et qu'on puisse prendre le co-contrôle de mon individu (même avec mon probable consentement conscient à vouloir tenter l'expérience 🥴). Cependant, je me demande, qu'en est-il de cette même hypnose concernant ... Georges (oui, paskeu... "on" va peut-être l'appeler Georges. C'est sans doute mieux que "il", non? 😅) ... Donc, quand il est soble, il en pense quoi Georges de l'hypnose? ... 🤔
Car, même si je suis pas pour - donc - il y a effectivement des personnes pour qui cela a l'air d'aller bien, et même si on ne sait pas trop comment ça marche sur le plan scientifique, le plus important, c'est quand-même que ça marche... 😉
A plus tard.
Courage! 😉
Hiné
PS: J'ai écrit 6 fois l'occurence "même" dans mon texte, parce que j'ai le "verbe" plutôt faible, ce soir. N'y voyez donc rien d'hypnotique, surtout. 😄
@NEBULEUSE, découvrir que la personne qu'on aime et qu'on tente de soutenir, en lui manifestant notre indéfectible compréhension, nous ment est décevant. Mais mentir est, de fait, un des symptômes de l'addiction.
Tu dis qu'il a arrêté pour toi par le passé. C'est merveilleux, mais je crois que tant qu'il n'arrêtera pas pour lui, ce sera voué à l'échec.
Enfin, ce sont les deux "détails" qui m'ont sauté aux yeux à la lecture de ton témoignage, mais j'aurais bien d'autres choses à en dire et pas assez de place sur l'écran de mon smartphone pour développer des idées plus positives.
Je reviendrai mettre un tour de moulin à folie par ici, quand j'aurai retrouvé mon ordi, si j'estime pouvoir t'apporter quelque utile conseil qui ne t'aura pas été donné d'ici là.
Le présent message ne vise pas à te décourager, seulement à te déculpabiliser : il ne te ment pas parce qu'il ne te fait pas confiance, mais parce qu'il est malade. Il ne rechute pas parce que son amour pour toi n'est pas une motivation suffisante, mais parce que ce n'est pas la motivation adéquate.
Merci @Zompo, @Fropop, @Hinenao, @Penny.
OUi, il se soigne, j'ai réussi enfin à le faire suivre par un psy (Vu qu'il travaille dans le milieu il pensait savoir tout mieux que les autres et n'avait pas confiance en la psychiatrie). Il est évidemment très intelligent ce "Georges" ;)
Nous sommes séparés depuis plusieurs mois, je n'avais pas d'autre alternative. En effet, @Fropop, la CNV, je tente de l'appliquer mais nous sommes dans ce putain de triangle de Karpman. En voulant le sauver, je me suis épuisée, suis devenue victime puis agresseuse. Je l'ai rapidemment compris et j'ai rompu. Pour moi et pour lui. Rien de bon ne peut ressortir d'une relation où la confiance s'est tarie. Pourtant je l'aime toujours, mais plus d'amitié désormais. Je sais qu'il est perdu, qu'il se bat mais ne trouve pas la sortie. Et le mensonge, n'est-ce pas @Penny, fait partie de sa vie, de sa maladie. Il est un addict, il change de substance selon les moments de sa vie. Il refuse la réalité, la mort le poursuit...
@NEBULEUSE,tu es forte et il a de la chance de t'avoir.
Parfois il faut laisser du temps aussi, tout peut arriver,le meilleur peu revenir.
Tu ne te noies pas la dedans,tout en l'aidant, c'est fort tu sais.
Sois fière de toi,et fier de lui aussi,il se bat.
Le temps pourra jouer en votre faveur.
@Penny a parfaitement raison.
Le mensonge fait partie de l'addiction. C'est une des composantes principales.
Les gens dépendants sont en mode survie, s'ils n'ont pas devant eux , en attendant de se libérer une autre bouée de sauvetage transitoire , ils préfèrent rester dans leur drogue.
Ils sont à côté d'eux-mêmes et cette illusion est plus forte que la réalité.
Courage.
@Penny
"tant qu'il n'arrêtera pas pour lui, ce sera voué à l'échec."
Tout à fait juste.
Oui, le mensonge fait partie intégrante du problème. Le mensonge est même une forme assez pervers d'addiction.
Tant qu'il se mentira à lui-même, aucune relation digne de ce nom (confiance, sincérité, responsabilité) ne pourra se construire.
@NEBULEUSE
"Rien de bon ne peut ressortir d'une relation où la confiance s'est tarie."
Ch'te l' fait pas dire !
Pour ce qui est de l'hypnose, une efficacité significative contre les addictions a été démontré. Il faut juste que ce soit fait par un bon psy reconnu qui travaille bien en amont avant de se lancer.
Et il faut jouer le jeu.
et, pour l aidant, arriver à se "défaire " de ses propres promesses...
Bon et bien... en résumé après une (très) grosse chute qui m'a fait approcher la mort de près (...) on m'a directement envoyé au service addictologie (...) où j'ai eu la chance de croiser de très belles personnes. (Addicto et psychologue). L'addiction (pour moi l'alcool), ça demande du temps, des "professionnels ", des amis, mais on ne peut faire ce chemin que seul. C'est incompréhensible pour ceux qui partagent notre vie. Mais l'enfer est pavé de bonnes intentions. Et finalement ça empêche de se poser les vraies questions tout en se disculpant, ce qui est plus simple pour un andouille comme moi qui suis allé beaucoup trop loin. Et aussi ça implique de devenir différent, ce qui est aussi parfois difficile à accepter pour l'autre. Donc, soyons heureux dans la mesure du possible.
"L'impossible, nous ne l'atteignons pas, il nous sert de lanterne." René Char
(Je rajoute magique pour rêver un peu)
Bien vu marvina
Interessant, cet espèce de retournement où une grande culture émane d'un vulgaire gardien de chèvres!
Merci le chev.. Non, @Leberger.
Et merci René Char pour le coup de l'impossible comme lanterne.
Je fait le parallèle avec d'inateignable harmonies qu'il convient tout de même de courtiser.
À propos d'addictions, j'ai justement vu passer un truc qui m'a contrarié.
Si le mensonge et le déni est effectivement un obstacle au sevrage, il n'est pas systématique à tout les toxicomanes.
Certain assument et sont moins toxiques pour l'entourage.
J'ai vu aussi passer un déni ordinaire occultant l'aspect toxicomaniaque et addictif de l'usage des réseaux et du miroir aux alouette de l'interconnection.
(Coucou @Hinenao)
Cette technologie extrèmement dopaminique à prit l'humain de court car ce n'était pas le genre de drogues qu'elle connaissait.
La société humaine niant cet état toxicomaniaque de fait, deviendrait folle et extrèmement manipulable.
Soyons en conscients.
Addictologiquement votre...
Merci @zozotte de ton soutien mais je pense que je vais devoir m'éloigner le plus possible, la situation est trop difficile pour moi . Georges enchaîne sur le chantage affectif et des pointes de méchanceté, la souffrance n'est pas toujours facile à gérer. Je le remercie finalement de m'aider à ne plus l'aimer. Je déplore juste que cette histoire qui était de très loin la plus belle que j'ai vécue se termine avec une telle laideur. Je ne veux pas tomber dans les reproches systématiques, la colère est passée. Il faut avancer de nos côtés respectifs.
@Aquila, tu as bien raison de parler de bouée de sauvetage. Je me suis rendue compte que j'étais une béquille pour lui depuis bien longtemps en fait... L'amour rend aveugle dit-on, j'avais de sacrées oeillères.
@Penny et @paradox "tant qu'il n'arrêtera pas pour lui, ce sera voué à l'échec." Et oui, je lui ai répété à maintes reprises mais je pense qu'il se ment encore. Il est dans le déni d'une partie de ses addictions. A lui de se déconstruire et de se construire un avenir différent.
@Marvina "arriver à se "défaire " de ses propres promesses". Pas de promesses de mon côté, pas de confiance, pas d'avenir... J'ai donné ce que j'ai pu. J'en suis sortie épuisée (et oui, les aidants qui craquent, un grand classique). Ce qui ne m'empêche pas d'éprouver encore beaucoup de tendresse pour lui et de tristesse de mon côté. Avec le temps... ça s'en ira.
@leberger merci de ton témoignage, ça éclaire un peu ma lanterne ^^ et me conforte dans mon choix d'éloignement. Je ne suis pas "sa carotte" il devra faire le job seul comme le grand garçon qu'il est.
@Zompo je suis bien d'accord avec toi. Les addictions sont partout et les réseaux sociaux un vrai fléau selon le degré d'utilisation.
A nous de trouver le bon EQUILIBRE dans tout ça et se balancer sur le grand fil de la vie.
Nous ne sommes pas des robots, nous avons droit à l'erreur, à la fragilité et le devoir de nous battre surtout lorsque nous sommes parents.
Oui nébuleuse, tu as raison de te protéger. Sois heureuse malgré tout. C'est la seule chose qui compte. Plein de pensées affectueuses. Sincèrement.
salut!
Un deuil a ravivé sa flamme de la H
H=?
Tu peut précisé stp? J'ai peur d'avoir mal compris
Bonjour @sweetdream, quand dans le même contexte j'utilise addiction et H, je pense que tu sais de quoi je parle : Héroïne, celle qui prend toute la place
aparte
(coucou @Zompo 🙂)
merci pour la petite ref glissée sur la canibalisation du temps de penseé fait par les fragments de RS qui vident la substancientifique moelle a la maniere d hannibal lecter. Oui n est ce pas. Ca fait peur.
@NEBULEUSE
citation :
Je le remercie finalement de m'aider à ne plus l'aimer. Je déplore juste que cette histoire qui était de très loin la plus belle que j'ai vécue se termine avec une telle laideur. Je ne veux pas tomber dans les reproches systématiques, la colère est passée. Il faut avancer de nos côtés respectifs.
c'est ce que j'avais compris mais je voulais etre sûr avant de partager mon expérience, pour avoir cotoyé des adicte et des anciens adicte aux crack je ne vais pas m'étaler deçu car je constate que t'a déja pris la bonne décision, c'est le mieux à faire, se sont des problemes que leurs solutions tiennent du miracle, bon courage pour la suite
@sweetdream merci de ta contribution. En fait oui, j'ai pris ma décision il y a un certain temps déjà. C'est juste difficile, forcément, mais inéluctable. Ce bref échange ici m'a permis de la conforter. Voir les mots des autres, des inconnus du web avec une dose de gentillesse et de conseil permet de tenir le cap.
Merci à toutes et tous pour vos paroles sensées. Bonne continuation dans ce que vous cherchez et partagez ici.
Bonne journée
@NEBULEUSE,
poignant. - merci pour ce témoignage, je ne sais si tu liras un jour ce message.
Je suis un addict moi même (clope, et il y a longtemps Marie Jeanne, j'ai heuresement éviter l'alccol grace à un oncle que j'ai vu sombrer) - avec des comportements addictifs en règle général. comme mon coté Hard Core gamer,
C'est une maladie. Et te protéger, sans le forcer, c'est clairement lui laisser la chance de la prise de conscience sans mettre de pression.
Je ne sais pas, et souhaite meme ne pas savoir, jusqu'où contre toi la dépédence l'a mené. Simplement, s'il a sut s'arreter avant "un irréparable", laisse lui une chance, une seule: celle de te montrer qu'il a réussi a arrêter, et de te demander pardon. Il en aura besoin dans son processus, et ton pardon TE libèrera aussi.
En le pardonnant, un voile de flou enrobera les mauvais moments dans tes souvenirs, et laissera rejaillir le beau que tu as pu vivre, car tu te pardonnera en miroir des erreurs que tu as put commettre et dont tu as conscience à présent.
donnes toi cette chance de garder les bons souvenirs, le reste ne deviendra qu'expérience & savoirs.
@Mic
Merci pour ton point de vue et ton partage d'expérience. Je comprends entièrement ce que tu m'invites à faire mais le stade dans lequel nous sommes arrivés est irrémédiable, incontournable. A un moment donné, tant que "Georges" se ment à lui même, il ne peut que me mentir. A l'heure actuelle je ne peux pas lui faire confiance et ne sais pas si je le pourrai un jour.
Je n'ai pas d'animosité, de moins en moins de colère. Je n'ai juste plus la force de faire face à une ombre d'autodestruction. Je lui souhaite de trouver les ressources nécessaires et le courage d'affronter ses addictions. je pourrai lui pardonner, je ne suis pas d'un naturel rancunière. Je serai peut être une bonne pote, après, si il le souhaite, avec une distance nécessaire pour nous deux.
La drogue et l'alcoolisme en phase destructrice sont une catastrophe pour l'entourage. Les dégats émotionnels, financiers, amicaux, familiaux... Bref, la descente aux enfers. C'est peut être dur ce que je vais dire mais, moi, je ne l'ai ni choisi ni mérité. J'ai été soutenante tant que j'ai pu. Il me faut aussi me protéger. Sa détresse me touche, mais je ne suis plus la bonne personne pour l'aider, je n'ai plus ni la patience ni le recul nécessaire.
@NEBULEUSE , du peu que je connaisse du sujet, alors tu es la bonne personne, dans tous les sens du terme, et tu as prise les bonnes décisions, celles qu'il TE fallait, car nul ne peut aider l'autre dans l'oubli de soi
et tu as raison, tu n'as pas choisie, tu as subie, et c'est bien là le drame des addictions, on éloigne ceux qu'on aime & qui pourraient nous sauver.
Sans le savoir, tu l'aides: par la mémoire que tu lui a donné. il y reviendra un jour, et c'est là - en refaisant le point sur ses sentiments et son passé - qu'il se rendra compte que tu es une des personnes qui l'ont sauvé, rien que par ce qu'à un moment de sa vie tu lui as dis "je te vois te détruire, et ça me fait mal"
Ferme la porte, mais laisse la lumière allumée ^^
Voilà,
Je retrouve ce fil où je relis chaque contribution pour raviver cet être que j'aimais et que j'aime toujours.
Il est malheureusement parti sur une autre rive ... comme c' était prévisible dans cette petite mort finalement devenue définitive.
Je suis dévastée, j'ose penser qu'il a enfin trouvé la paix et qu'il s'est libéré de tous ses tourments.
Je suis en colère (il paraît que ça fait partie du processus). La vie me semble si dégueulasse, enfin la sienne sûrement, la mienne doit prendre un nouveau tournant.
J'ai envie de tout revolutionner mais je dois préserver les vivants, et moi d'abord car je suis la seule à savoir ce qui me conviendra à partir d'aujourd'hui... Enfin je vais tâcher de le découvrir encore et encore, au jour le jour car l'avenir aujourd'hui me semble tellement gris.
Comprendre... je n'y arrive pas encore, accepter peut être un peu
Accepter c'est déjà énorme,et peut être qu'il n'y a rien à comprendre au final,ou plutôt,tu avais déjà tout compris.
citation :
je suis la seule à savoir ce qui me conviendra à partir d'aujourd'hui... Enfin je vais tâcher de le découvrir encore et encore
Tu le découvre jour après jour oui,car tu es bien la seule à le savoir,et à le ressentir.
Écoute toi @NEBULEUSE,tu es fortes et mérites le meilleur,et tu l'auras.
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