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- Salut c'est moi, burn out girl ! :)
Coucou tout le monde :)
Je me présente et explique les raisons de ma venue, en espérant que mon témoignage fera écho pour certains?
En ce moment je traverse une période de crise dans ma tête et dans ma vie. Ce n'est pas la première fois.. mais je ne m'habitue pas pour autant ^^ Donc me voilà. Là je suis en arrêt depuis un mois et demi, parce qu'au boulot c'était d'un coup le vide sidéral. Un sentiment d'incapacité totale à accomplir mon labeur. Puis rapidement la remise en question d'absolument tout. Qui suis-je?Pourquoi suis-je ici? Pourquoi n'y suis-je pas heureuse ? Où est ma place, en ai-je une? Ma petite voix intérieure finit de m'achever : j'ai trompé mon monde, et là je me vautre comme l'incapable que je suis depuis toujours, rien de surprenant, la vérité me ratrappe, hourra justice est faite!?Sd de l'imposteur, et puis oui je me déteste avec rigueur et passion, un véritable art de vivre :) C'est un épuisement parental qui est à l'origine cette fois, la fois d'avant c'était un burn out pendant mon internat de médecine. Epuisement d'origine professionnelle, puis parentale.. avec des conséquences heureusement limitées au terrain du travail, ouf. N'y aurait-il pas un "problème de fond" qui puisse expliquer la répétition de ce genre de crise professionnelle dans ma vie, et puis ce manque cruel de confiance ? Ce n'est rien pour personne de faire des études à la con ou de passer des mois sans dormir après avoir donné naissance... n'empêche que tout le monde ne finit pas comme moi au tapis. Je me pose des questions sur mon fonctionnement. Ma psy m'a déjà évoqué des histoires de savane, de rayures, je voulais croire qu'elle parlait de ma marinière ce jour là :)
En réalité je vous lis timidement sur le forum depuis quelque temps. Je n'ai fait aucun test pour le moment.. Me reconnaître dans les témoignages, cela m'apaise et me rassure, alors j'espère être utile aussi à quelqu'un.
Je ne me suis jamais senti intelligente, je souffre plutôt de me sentir très nulle, estime de moi zéro, mes réussites sont des coups de bol. Je suis du genre lente à faire les choses, par souci de perfection et par peur de me tromper je crois. Il y a des domaines où j'ai l'impression qu'à l'inverse ma pensée vole et que les liens se font tout seul. Dès qu'il s'agit des mots, expressions, sémantique, grammaire, ou la capacité à lire et ressentir les émotions chez autrui...
Mais surtout dans mon rapport à l'autre je me sens décalée, "trop" intense, "trop" entière. Je suis une machine à émotions, c'est mon carburant...mes amis m'apprécient pour cela. Je suis la "fofolle" qui parle en contrepèteries et ne sait pas bien activer son filtre, du genre à vouloir tout le temps de l'intensité dans l'échange au point de livrer facilement des choses personnelles. Et bizarrement cela met souvent à l'aise, et les gens se livrent en retour, au point que mon entourage me prête un don.
Parfois je m'emmerde juste, et recouvre ma personnalité d'un vernis pour me fondre dans le décor et ne heurter personne, je ne suis plus qu'une compagnie agréable et discrète. Le faux self? Je souffre lorsque je passe de trop longues périodes ainsi. Des fois je ne distingue plus vraiment qui je suis et j'ai peur de me perdre pour de bon. Alors je découvre que je suis peut être un zèbre, ou hpi, ou hpe, ou juste une hypersensible qui se prend bien le carafon.. mais ce que je lis me fait me sentir moins bizarre, ou plutôt moins seule dans ma bizarrerie ^^
Bravo et un immense merci si vous m'avez lue jusque là.. à bientôt :)
coucou @Rafiki, bienvenue,
dis-toi bien que quelles que soient les capacités ou la résilience qu'on a, il y a quand même des limites.
Pour peu que tu arrives à celles-ci, voire que tu t'y maintiennes un certain temps, au bout d'un moment ça ne tient plus.
Le problème de fond est que tu n'as pas de pouvoirs illimités, donc en tant que tel, il n'y a pas de problème. Ce bordel qui finit par arriver c'est peut-être un signal d'alarme de ton corps, ton esprit, pour toi, une manière de mettre un frein. Et c'est peut-être ta manière de fonctionner ( tu parles d'émotions, peut-être que d'une manière générale tu encaisses, encaisses encaisses, et à un moment c'est too much) intrinsèque, sans que ça soit pathologique pour autant.
Je ne sais pas si tu es allée au bout de ton cursus, je suppose que oui.
Disons que selon ta spécialité (ou non) et ton poste, tes conditions de travail, les 18 derniers mois ont pu être particulièrement éprouvants. Cette énergie pompée au boulot, tu ne l'as plus forcément ensuite pour le reste, en particulier au niveau parental, notamment post accouchement.
Tu ne peux pas dire que tu es nulle si tu as fait un internat ( au moins), on n'arrive pas à ce niveau d'études que par chance ou accident ( même si un élement récent m'a fait m'interroger sur le poids de l'intelligence, ou de la mémoire seule, dans l'accomplissement de ce parcours.disons que j'ai eu l'exemple de quelqu'un qui avait bien entamé ou fini le parcours, et qui me semblait pas "être une flèche" - jugement que je porte rarement, donc ça devait être patent, ou il y avait un décalage notable entre mon attendu et la réalité de ce que je percevais dans ce cas particulier).
Idem, sans forcément à avoir un QI au plafond, on peut supposer que tu es sans doute au moins dans la tranche 110-130, donc que tu es dite supérieurement intelligente. Et puis rien ne t'empêche aussi d'être plus intelligente que ce que la simple lecture de ton QI pourrait laisser supposer, c'est une lecture partielle de l'intelligence. Et une lecture conjoncturelle aussi.
Dans tous les cas: 1/ tu n''es pas bête 2/ tu n'es pas nulle 3/ tu es intelligente 4/ ça ne te résume pas.
Il y a lent et lent.
Lent par rapport à ce que tu espères ? Par rapport à d'autres ?
Tu avances éventuellement moins vite que les / des autres, ou pas aussi vite que tu le souhaiterais, mais pendant que tu avances, tu te contentes de faire une ligne droite ou tu fais des zig-szags dans tous les sens à tout instant ( ça rallonge le trajet, quelle que soit la vitesse d'exécution des zig-zags donc si quelqu'un d'autre ne fait que la ligne droite, il va forcément être avantagé)..
Pour le test, je vais te spoiler: je ne te connais pas, mais compte-tenu des études que tu as réussi à mener ( et même si tu n'a pas fini), tu aurais au test entre 110-115 et 130.
Donc en le passant en vrac, tu aurais encore entre 95 et 110 minimum. Donc autour de la moyenne ou encore au-dessus de la moyenne. Donc toujours pas nulle, toujours pas bête. Bien essayé mais encore raté.
Bienvenue @Rafiki!
Je suis tout à fait d'accord avec ce que dit @Roth. Pose-toi un peu ici, demande des conseils si tu en veux et puis les choses s'éclaireront peut-être...
Bienvenue @Rafiki.
Tu dis "Ce n'est rien pour personne de faire des études à la con ou de passer des mois sans dormir après avoir donné naissance... n'empêche que tout le monde ne finit pas comme moi au tapis".
Bien sûr que si il y en a qui finissent comme toi au tapis,et pour moins que ça.
Tous les jours il y en a qui finissent au tapis.
Il y en a qui se relèvent, d'autres non.
Tu te relève apparemment,bravo,ce n'est pas donné à tout le monde.
Et ta psy te parle de rayures,et tu te retrouves ici.
Tu viens de faire un sacré pas en avant, même si tu ne t'en rend pas encore compte.
Ne soit pas trop dure avec toi même, respire,accepte d'avoir des limites.
C'est bien les limites, ça permet de se reprendre.
Encore bien venue ici,tu n'es pas toute seule.
Bienvenue @Rafiki,
Ton témoignage résonne a plusieurs reprise chez moi, ce qui me donne envie de le dire : et si au lieu de considérer ce moment comme crise, tu le prenais comme une invitation au changement ?
Bienvenue @Rafiki
Est ce que tu as déjà parlé de ton décalage avec quelqu'un ?
Avec un peu de retard, merci à tous pour vos réponses, votre accueil et votre bienveillance. Vos paroles à chacun sont venues me toucher, et m'inviter à la réflexion.
@Roth : Oui je suis allée au bout de ces études. J'y ai laissé quelques plumes, mais des poussins et de nouveaux rêves ont aussi éclos... ^^Il y a eu un burn out et un changement de spécialité, puis un premier bébé. Il n'y a pas encore 1 an, la thèse puis le mémoire de spécialité sont venus clore ces 12 années d'études, j'attendais alors mon deuxième bébé. :) Oui je suis fatiguée, et oui le contexte sanitaire n'a pas non plus facilité.
@Roth et @zozotte: oui, merci de replacer un peu les choses, c'est vrai que j'ai du mal à être objective quand il s'agit de m'autoanalyser, tant mon premier réflexe est de me dévaloriser et me saboter!
En tout cas je n'ai pas connaissance du niveau intellectuel en médecine.. je pense que la mémoire et la capacité de travail suffisent tout à fait pour réussir ces études (je parle uniquement des études et pas du fait de bien exercer par la suite...). Je n'ai pas ressenti un environnement toujours intellectuellement brillant non plus. Je crois que la dominante (et chez moi aussi) c'était le côté obsessionnel, pour planifier tous ces apprentissages en quantité, se tenir à jour, mobiliser tout cela en stage lors de la mise en pratique... on était tous au moins obsessionnels et souvent perfectionnistes. Et interessés certainement, sinon personne ne tient ce rythme ? :). Du coup devenir toubib ne m'a pas débarassée de mon syndrome de l'imposteur, vu que je n'ai jamais été convaincue qu'il fallait être brillant pour ces études, je me regardais comme une sorte d'éponge! Bref. Peut-être ne suis-je pas complètement sotte, mais c'est tout ce que je me suis accordé jusqu'à présent.
Pour la lenteur, @Roth tu me parles de zig zag, c'est vrai que j'ai l'impression de partir loin, dans les recoins, plein de trucs me viennent en même temps, je me prends facilement la tête sur un problème. Je me pose aussi la question d'une pensée divergente. Là où ça ne colle pas dans ce que j'ai vu c'est que très souvent c'est décrit comme quelque chose d'organisé, de rapide et efficace. J'ai l'impression que moi c'est le bordel, que ça m'envahit, ou simplement que ça me demande un temps supplémentaire de tout traiter, sous peser, vérifier, avant de décider.. Je suis lente par rapport à ce que je souhaiterais mais aussi par rapport aux autres, même si les résultats sont là au final cela me demande plus de temps et d'énergie.. et c'est chiant. :)
@Juliette : oui je vais prendre le temps de venir un peu ici, sans pression ni attente spéciale, au mieux me comprendre un peu et m'accueillir, et dans tous les cas, zèbre ou pas et peu importe, me sentir moins seule dans ma complexité d'être humain. ;)
@Ambre31 : absolument, le changement c'est ce qui me sauvera, plus le choix maintenant! :) Introspection et meilleure connaissance de mon fonctionnement, changement de perception de moi même et meilleure adaptation à mon environnement, sinon changement d'environnement et carrément reconversion (puisque je ne peux pas changer d'enfants ahah), je suis libre :) mais d'abord repos, prise de recul avant toute décision.. patience aussi, mais pas simple quand on n'a pas de bouton off là haut. J'échafaude déjà mille plans pour sortir de ce temps de flottement insupportable et pourtant nécessaire ^^
Coucou @Amar :) eh bien non figure toi c'est dingue, mais j'ai tu tout ça jusqu'à présent. Je crois que je craignais d'être incomprise, ou qu'on me pense arrogante ou dérangée... J'ai fini par me dire que j'avais une sorte de problème psy avec lequel je devrais composer de toute façon, que je n'étais pas "normale" et que seule importait ma capacité à donner le change et me faire accepter autant que possible telle que j'étais, sans me confier là dessus forcément... au final je ne passe pas inaperçu mais j'ai le bonheur d'être appréciée comme cela par une poignée de personnes avec qui je peux être moi, faire mes blagues pourries qui ne font rire que moi. J'ai de la chance... Ça ne me dérange pas d'être marginale si on m'aime comme ça, ça me plaît assez en fait. Mais j'imagine que si je n'avais aucun espace où rester naturelle et spontanée je chercherais à me confier à quelqu'un là dessus. Il ny a qu'avec ma psy que j'ai pu développer ce sentiment de décalage car c'est elle qui m'a lancé sur ce terrain. Et toi Amar? Tu ressens ça aussi ? Tu as essayé de te confier à quelqu'un, un proche ?
Oui @Rafiki j'ai partagé ça avec qq proches.
Mais ça n'a pas changé grand chose parce que ce que je tente d'expliquer est perçu comme bizarre et futile.
On gros on ne me prend pas au sérieux.
Y'a qu'avec ma psy et et les gens de ce forum que je peux me libérer de ce non dit.
Et pour l'instant ça me va.
Passer pour le marginal de service j'ai donné et je ne peux plus.
J'ai toujours eu l'impression d'être le "normal" parmi les marginaux en fait.
Du coup je me suis isolé socialement et je m'entoure de ma famille et de qq passions, car ce sont les seules ch qui ont un sens pour moi.
Sois la bienvenue @Rafiki,
Toi qui n'as point tant de pathologies
Car on dirait que tout ça est la norme par ici
Enfin... le paradoxe d'être grand tout en étant petit.
En général on s'amuse et on se prélasse bien volontiers
Mais la pression sociale comme la vilaine pression d'un métier
Donnent en creux cette étrange sensation de passer tout à côté...
Oh ! Et comme le regard des gens est souvent trop sérieux
Forcément on se donne des airs dans un océan impérieux
Mais faudrait pas trop croire que l'apparence fait la farce
La vie et le job sont un restaurant où les plats se passent
L'idée étant que quand les idées ont l'ichor des Grecs
C'est dur de se faire du mauvais sang sans un break
Alors voilà pourquoi Dacia, Picasso ou un gros SUV
Pour n'avoir de tracas le mieux est d'en être libéré
Facile à dire bien sûr mais comment le faire
Il y a bien des théories sur toute la matière :
Les autres peuvent lâcher un peu la soupape
Mais ça ne fait pas éclairer toutes les bougies
Les autres peuvent nous tolérer comme un pape
Mais on en a assez d'essuyer de viles apologies
Les autres empestent alors restons au logis
Mais comment vivre alors un minimum sa vie ?
Oh la joie de l'existence est de ne trouver
Ni consistance ni résonnance chez des particuliers
Dans la bonne diversité des menus de notre restaurant
On doit faire à sa sauce pour chaque nouveau client
Et si les Dieux sont faits en série des mêmes sentiments
L'homme et la femme ont le cabriolet bien différent
Bizarre et étrange sont la norme de tout esprit
En avoir suppose toujours socialement un prix
Mais à le chasser c'est Ghostbuster qui périclite
Et si la vie est une norme plus rien ne l'excite
Donc la chose la plus simple est encore avec style
D'avoir la simple complexité d'une bonne sibylle
CB ou autoradio à bord et de la zic à fond
Un majeur levé ou bien le goût de l'exception
Le permis de conduire a des régimes variés
Quand dans notre beau monde il faut évoluer
Aussi chutes et rechutes sont de saines abondances
Il faut y faire attention et se traiter avec clémence
Et si sur le divin divan de la tribune de son jugement
On se trouve tous les défauts des diables du ponant
Allez, fi, l'enfer est pavé de toutes nos bonnes intentions
Mais à l'issue, pour qui tient bon, ce sera la juste expression !
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(non, je me suis tenu à la règle de point emmerder :
quelques vers rédigés sans un philosophe citer
juste parce que comme on pouvait s'y attendre
fallait pas en paris ni se perdre ni me prendre ! :p)
@Rafiki peite précisiion, correction ,qui a son importance:
lors de la rédaction; des corrections au fil de l'eau de mon message l'autre jour, une phrase a été tronquée, et je ne l'ai pas vu alors que j'avais relu rapidement.
Or ça change assez nettement le sens de la phrase !!
Bien lire à la fin:
"Pour le test, je vais te spoiler: je ne te connais pas, mais compte-tenu des études que tu as réussi à mener ( et même si tu n'a pas fini), tu aurais sans doute au test au minimum entre 110-115 et 130."
Omission assez compréhensible a posteriori pour moi, car, malgré les apparences, ma phrase était bancale ( et l'est toujours) dans son contenu.
Il s'agissait d'exprimer à la fois qu'il y avait forte probabilité que ce soit au minimum dans la tranche 110-115 et 130, et qu'en même temps la plus forte probabilité était que ça soit dans cette même tranche ( ce qui n'excluait nullement que ça soit au-dessus des 130; dans ton cas précisément).
Dans tous les cas, intelligence dite supéreure à la moyenne.
Note que cette appréciation ne résulte que de la façon dont je perçois la nature du test de QI ( la partie tests psychométrques pour être précis), de la difficulté et de la nature des études de médecine, de la nature du job des personnels médicaux, et du résutat d'un échantillonnage de QI fait dans un sevice d'hôpital ou un hôpital entier, sur du personnel médical ( donc en excluant les administratifs, ainsi que les soignants qui ne soignent pas): 1 THPI, quelques HPI et une majoité de gens entre 120 et 130. A vérifier dans le détail, c'est quelque part sur le blog de la chouette.
Pas dit que ma correction et mon explication éclairent tant que ça ma pensée, j'ai le sentiment que son expresion est à la fois partielle et pas si claire et fluide que ça ( du coup).
En espérant que tu arrives à y trouver quelque chose quand même ...
Retiens surout que le fond de l'idée que je voulais exprimer était de toute façon positif, en particulier par rapport à toi.
Bonjour,
Je voulais juste rebondir sur ce que j'ai lu.
Un QI ce ne sont que des chiffres, ils ne font que nous confirmer qu'on a bien tout ce qu'il faut et même plus. Et même si les chiffres nous disent que nous sommes Haut potentiel intellectuel ou surdoué ou toute autre petite case nous permettant de trouver le bon chemin, il n'en reste pas moins la difficulté à se sentir intelligent, à le savoir au plus profond de soi (sans pour autant en devenir hautain).
Avoir fait de longues et belles études n'a jamais été une preuve d'intelligence, mais la définition même de l'intelligence est à l'appréciation de chacun...
Seulement il y a toi, et tu n'es pas consciente de tes facultés, tu n'es pas la première et tu ne seras malheureusement pas la dernière, il ne s'agit que d'un manque absolu de confiance, mais bel et bien de part ce qu'on a pu te renvoyer également (le fait que tu ne sois pas assez rapide est un exemple).
Tu le dis, tu te détestes avec ferveur (trouble de la personnalité bordeline ?), tu ne peux donc pas prendre la dimension de qui tu es et des tes capacités. On pourrait pourtant te dire encore et encore combien tu es intelligente et en capacité de... que rien ne changerait car là, tout se joue avec toi et toi seule...
Mais, @Rafiki, ça ira ! Je t'assure qu'à un moment tout ira bien, il te faudra du temps et rencontrer les bonnes personnes pour que les choses prennent leur sens et que tu puisses avancer dans le sens qui te convient. ?
Et puis il n'y a pas que l'intelligence dans la vie.
Il y a l'altruisme, l'amour de son prochain,le partage.Mais aussi,et surtout, l'amour de soit,le respect de soit.
Que l'on soit bête ou intelligent c'est la même.Un minimum de respect pour soit même, ça ne mange pas de pain.
Nous faisons ce que l'on peut avec ce que l'on a.Nous avons chacun nos points forts et nos points faibles.
Mais l'indulgence avec nous même, personnes d'autres que nous ne peux nous l'apporter.
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