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Le Bal des Folles film et livre

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Le Bal des Folles film et livre
Lumieredetoilele 21 janvier 2024 à 15:49

J'ai vu le film (visible uniquement sur Amazon Prime, essai gratuit), j'ai adoré, un film très bien fait, puissant, hyper intéressant !
bouleversant et tellement juste
https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Bal_des_folles
on ne parle pas assez de ce sujet tabou si courant par le passé
et rappelons encore aujourdh'ui le fait d'être une femme (libre doit-on le qualifier?) est dérangeant voir soumis aux pires tortures (il suffit de suivre les femmes en Iran en ce moment ou ailleurs...même chez nous...)
car il montre à quel point les femmes ont été maltraitées, jugées et abîmées, opprimées et dominées et la psychiatrie servant aussi à les faire taire, stigmatiser ("folle", indigente, à enfermer et cacher, parceque prostituée, forte, sachante, anti-conformiste ou ...) ça pousse à réflexion


D'ailleurs j'aimerai aussi échanger au sujet de cette psychiatrie, ce goût prononcé pour les "évaluations" et les "diagnostics", les solutions médicamenteuses pour calmer les émotions et les tempéraments trop fougeux ou mélancoliques...

J'ai beaucoup étudié en fac les fondements de la psy, l'insconscient ( l'art chez les fous, "L'histoire de la folie" de Michel Foucault, presque tout Freud, Lacan, Janet..) et toujours maintenant, sans préjugès ni dogmatismes, pour comprendre les questions humaines, son focntionnement mais aussi philosophiquement, avoir conscience qu'on est conditionné aux mentalités, croyances, sciences d'une époque qui évoluent!
J'ai même beaucoup cru Freud et cette approche de l'âme pour aujourdh'ui être devenue très critique! travaux pratiques aidant, la réalité est tout autre..
La question de "normalité ou de "maladie" en ce domaine est aussi discutable et en fonction de chacun-e, étant donné que les explications scientifiques ne sont pas assez rigoureuses ni vérifiables, ces étiquettes (bipolaire, dépressif...) reposent essentiellement sur l'observation du médecin, et l'acceptation du patient...donc pas d'objectivité...
Parfois ça rassure aussi d'être "évalué", vivre , exister dans le regard de l'autre, d'un autre...se voir malade ou ceci ou cela suivant une grille de lecture externe ...au lieu de pleinement vivant et libre, imparfait ...et conscient de ces états d'âme et ces jugements relatifs

Aujourdh'ui quelle médium serait internée? Ou femme poète? libre? ces "sorcières" comme on disait, du seul fait de leur liberté et libre arbitre, de leurs consciences et de leurs capacités (bien humaines) pas lobotomisées justement par la société et son oppression patriarcale! Cependant les préjugès et carcans sont tenaces, même si ce sont toujours les femmes qui les font évoluer, les combattent ! même aujourdh'ui à critiquer la psychiatrie et ses dogmes, ayant aussi consultant depuis mes 15 ans (donc ça fait 35 ans d'expériences et d'échanges , de soins c'est discutable!) .
La question de la "normalité , "anormalité" dans la société, selon les époques , des femmes libres, dotées et douées de dons pas communs (comme la médiumnité ou la clairvoyance), dérangeantes, fougeuses et audacieuses, même "fortes tête", intellectuelles ou hypersensibles, de nombreuses femmes célèbres ont été confrontées à cette oppression de leurs capacités et mise à l'ombre (Marie Curie, les femmes artistes...) pas aussi gentilles et sages, dociles que ce qu'on attend d'elles...
Je pense qu'aussi, en tant que femme libre, il est important de voir autrement la psychiatrie et ses diagnostics, mon psychaitre me l'avait lui-même dit "On peut se trouver des troubles et des maladies sans fin dans le DSM" Cette stigmatisation venue du Collège de psyschiatrie américain est très discutable et contesté aussi, par des psychiâtres eux-même...j'en parlerai plus tard ou sur un autre forum
Comment la psychiatrie censée soigner nos âmes et acceuillir l'humain, médicalise et fait taire nos émotions, pour rentrer dans le cadre et favoriser le commerce de médicaments soit-disant bénéfiques (pour ma part ce fût toujours une catastrophe et je comprends mieux pourquoi à force de me renseigner! )

Je vous laisse découvrir ce film , il est issu du livre de Victoria Mas qui al'air tout aussi bien , impatiente de le lire !

paradoxle 21 janvier 2024 à 16:26  •   108830

Pour moi, la seule justification à un "traitement" (médicamenteux ou pas), c'est le soulafement des souffrances. Les notions de normalité ou de folie ne devraient pas intervenir.
Donc si une quelconque psycho peut aider à moins souffrir, ben c'est cool. Mais comme tu le dis, les dogmes n'en sont pas là.

Ambre31le 21 janvier 2024 à 16:32  •   108831

Mon fils a eu la chance d'étudier cette oeuvre l'année dernière ,année de son bac français. Sa prof était vraiment top et a permis des échanges entre les élèves. Et j'ai regardé le film avec mon fils et pu échanger avec lui, et voir sa conscience s'éveiller a la position de la femme pas si évidente que ça.
Bref, très beau film, très dur, mais très parlant sur notre histoire.

Lumieredetoilele 22 janvier 2024 à 01:09  •   108853

@Ambre Qu'en a-t-il pensé ? ça a dû le chambouler et le faire réfléchir??

Lumieredetoilele 22 janvier 2024 à 01:30  •   108854

@paradox En effet, c'est très personnel, ça doit rester selon chacun-e et j'espère en conscience et en libre arbitre, pas toujours le cas ni d'autres solutions proposées par la médecine moderne...bien moi je ne semble pas y avoir droit ! c'est carrèrement débrouilles-toi ...aucun psy n'a voulu me prescrire d'antidépresseurs et tant mieux, ça me rend mal...sans doute parce que les psys cherchent toujours à nous pousser à trouver nos propres ressources. Cependant les médocs remplacent le temps et la qualité du soin, la psychothérapie par la parole et l'écoute de la sensibilité, de la pensée, des émotions, la reconnaissance et l'acceuil sans jugement de la personne (empathie qu'on dit) dans son différence et son unicité, je pense c'est souvent le besoin essentiel, existentiel et moral mais ça demande trop de sensibilité et de temps. Mais c'est aussi plus rentable ( on gagne temps et argent ) surtout si on suit le DSM (qui ne cessent d'inventer de nouveaux troubles et maux, pauvre humain, son âme est bien maltraitée) où 80% des psychiatres ont des liens avec les big pharma...système lucratif et dominant...de contrôle social , en lien avec la gestion des problèmes sociaux, des souffrances dues aux vécus difficiles, des pas de côté, des éventuels dangers pour la communauté...Pas certaine que cela soit pour considérer les âmes et les accompganer au mieux...La question de la folie est très relative ! D'ailleurs son histoire remonte au pouvoir politique et dogmatique seigneurial et à l'exclusion des indigents au Moyen-Age hors de la cité, ceux qu'on ne saurait voir (ça fait penser à d'autres ghettos politiquement crées) en passant par toutes sortes d'exclusion (prostitués, criminels, rebelles, anticonformistes etc...comme aujourdh"ui encore dans d'autres cultures on tue homosexuels, femmes adultères, journalistes libres etc...) les prisons, puis les asiles puis les hôpitaux et la psychiatrie assez récente...C'est un peu ce que raconte ce film, les raisons de l'enfermement et la médicalisation de ces exclus, un enfermement chasse l'autre, profiter de ces captifs dociles pour les utiliser et les étudier par des moyens et pour des fins discutables... Je vous suggère un bouquin remarque de Michel Foulcault "L' histoire de la folie" auant historique que philosophique, socialogique et moral...

paradoxle 22 janvier 2024 à 02:24  •   108855

Oui, je connais ce bouquin.

Alcedole 22 janvier 2024 à 08:04  •   108856

Ce film semble très intéressant.

Et oui dans notre société occidentale, et ce, depuis des temps immémoriaux, il me semble que si la première fonction attendue de la femme est la reproduction, la seconde est la préservation et le maintien de l'ordre social (par l'éducation donc, en continuité de la fonction reproductive) mais aussi en amont (par leur attitude avant tout).
Celles qui refusaient et contestaient furent d'abord les esprits démoniaques des "Lilith" chez les Perses antiques. Puis les harpies de l'antiquité. Puis les sorcières du moyen-âge (plutôt tardif d'ailleurs il me semble). Les mythes et légendes évacués par la science, la psychanalyse s'empressa de venir combler ce vide avec les hystériques.

Aujourd'hui on nous parle d'égalité des sexes et d'ouverture et de respect vers les non-binarités. Mais je trouve que les rôles et différenciations et fonctions sociales sont de plus en plus genrés, et les droits des femmes reculent. On a toujours un ministère sur ce thème d'ailleurs ? Ce n'est jamais bon signe.

J'avais vu un reportage sur une société de l'Himalaya matriarcale. Les femmes dominent, possèdent et héritent. Elles se reproduisent en choisissant et accueillant un homme à la discrétion de la nuit et le gars a bien intérêt à déguerpir avant le lever du soleil. L'aînée gère le travail, l'éducation des enfants étant assurée par leurs tantes. Les mecs ne font pas les malins. Ils ont intérêt à être bien habillés, à savoir bien danser pendant les bals et fêtes de l'année, et à ne pas trop la ramener.

paradoxle 22 janvier 2024 à 11:03  •   108860

Patriarcat, matriarcat, c'est le pouvoir qu'il faut combattre.

Lumieredetoilele 22 janvier 2024 à 13:58  •   108872

@paradox oui je rejoins cette question du pouvoir genré, fréquentant parfois des féministes autoproclamées que je trouve complètement aveuglées par leur nombrilisme et narcissisme genrée, elles me fatiguent et me font fuir, certaines agressives et dominantes, ayant une seule pensée dominante c'est pénible...d'ailleurs on ne réduit pas une femme à son sexe, c'est hyper violent , limitant et dénigrant justement! Pourtant certaines le proclament, à coup de vulves et de vagins, faire comme les hommes phalliques et machistes, dommage de suivre la même absurdité. Le pouvoir parfois est indispensable et incontournable face à un autre pouvoir, enfin une violence, justement remettre du pouvoir légitime, face à la domination masculine. Celui des femmes s'est construit ainsi! à cause de cela et du mal qu'on leur fait...de leur besoin de survie et d'émancipation, les hommes connaissent-ils cela? de leur bon sens et courage...aussi par leurs natures déjà fortes, qu'on a oublié ou préfèré ignorer ou opprimé (La femme sauvage, un autre livre "Femmes qui courrent avec les loups" ..). Cette nature est indiscutable il me semble, j'admire les femmes, ma mère, mes amies pleine de force de vie et d'intelligence, d'intuition aussi et d'attention, on ne s'ennuit jamais et on apprend beaucoup ! Celles qui se battent bien souvent dans l'adversité et doivent en faire davantage, pour exister et évoluer... On ne peux pas (plus) passer sous silence ce problème humain et social, certains hommes le comprennent ou essaient de se mettre à la place des femmes (notamment pour les agressions sexuelles, ça leur plairait pas d'être constamment emm..et agressés, soumis au pouvoir agressif masculin ), d'autres pas et devraient vivre toutes les atteintes subies et les injustices pour développer leur humanité...La liste est très longue et constamment renouvelée, pourquoi? Le matriarcat est intéressant à découvrir. Il est même indispensable comme le féminisme. Enfin je déteste les "ismes" , je m'en garde, mais le combat est essentiel, celui de nos ancêtres pour la vie et la dignité des femmes, les sauver aussi à la merci constamment des dominants et des abus (des ivg, de la mort, de tout). Je lisais une jeune tunisienne dessinateuse de Bd qui écrit sur les corps des femmes pour montrer le naturel (rondeurs, poils, pouvoir féminin, ), c'est interdit dans son pays, menace du pire...c'est ça la vie des femmes parceque femme, encore aujourdh'ui ! c'est donc essentiel et à transmettre, et j'en fais partie, même précurseuse en incitant (par une affiche artistique qui a remporté le vote internet de la Journée des Violences faites aux femmes) à s'exprimer et lutter contre les violences faites aux femmes...en 2009 ! bien avant la vague Meetoo et cette libération de la parole... qui m'interroge quand même personnellement...le mode de communication façon dénonciation contribue t-il à améliorer sa condition et léviter ces violences ? En effet @Alcedo Moi aussi je doute des évolutions positives de notre société, d'ailleurs un article ce matin exprime "37% des hommes considérent que le féminisme menace leur place", c'est hallucinant comme réaction mais je pense réel, dans l'air du temps, vu le contexte social et la perte des valeurs huamines et sociales , les crises et d'autres aspects ont sûrement accentuer un climat social délètère qui privilégie la survie, l'égocentrisme et le pouvoir, le matérialisme et le profit et les conflits ! Réactivité du cerveau reptilien en temps de crises...on cherche aussi des excuses et des bouc émissaires, femmes et enfants sont les plus faciles et vulnérables à la prédation...il y a encore beaucoup à faire et à éduquer ! . Je ne connaissais pas cette culture himalayenne, j'en apprends chaque jour et en voyageant, certaines cultures semblent dominées par les hommes et pourtant les femmes y sont des moteurs, comme en Bretagne ahaha !? La Mama italienne? ça me laisse perplexe ces cultures ...influence religieuse? historique? lutte des femmes? C'est toute l'ambiguïté, la subtilité et la complémentarité des hommes et des femmes, aujourdh'ui de leur libre arbitre, les femmes n'ont jamais eu besoin des hommes pour élever leurs enfants en plus de les nourrir et travailler, les hommes davantage! souvent perdus sans les femmes. Le problème c'est que ce soit imposé et dominant, limitant. Je me demande par exemple si être professeure en tant que femme est une émancipation par le savoir et la mission ou un rôle déterminé assigné aux femmes, comme s'occuper des enfants, de l'éducation et la maison...cela étant mon modèle familial, néanmoins sans aucun sexisme dans mes gênes ...plutôt rebelle aussi maternelle et femme forte de tête et de coeur, j'essaies de comprendre la part de libre arbotre, d'émancipation et celle de déterminisme, de limitations, de frustrations...Personnellement j'aime fréquenté des réunions spirituelles entre femmes et j'ai organisé des cercles de femmes, c'est passionnant et très intéressant ! en plus les femmes expriment davantage et plus sincèrement, spontanément leurs ressentis, sur tous les sujets de la vie quotienne, relationnelle et sociale..peut-être les hommes sont plus pudiques, réservés et retenus, mal à l'aise sur le plan émotionnel et affectif, ils s'expriment plus facilement avec une approche mentale, abstraite, philosophique que personnelle, l'image de l'homme fort perdure énormément ! pourtant la violence est inversement le symptôme d'une faiblesse et d'une impuissance, d'une perte de contrôle mentale, psy et morale, nullement d'une force (à part de destruction facile )... ou d'acceuillir sa vulnérabilité et ses ombres, ses capacités à lâcher-prise et être bienveillant...

Lumieredetoilele 22 janvier 2024 à 15:12  •   108874

@paradox les femmes d'ailleurs ne parlent pas de "pouvoir" comme l'entendent les hommes, politiquement, dans les relations dominé-dominant habituelles, serviles- dociles. C'est un terme selon ce qu'on en fait, "je peux...voter", "je peux...faire ce que je veux" ou "je peux...dominer et matraiter?...en terme de libre arbitre ou d'égo...D'ailleurs leur ambition dérange plus que celle des hommes dont on ne dit rien...leur besoin d'être considérées et traitées au moins comme égales...sinon même plus douées en certains points (plus compétentes, diplômées, plus de responsabilités et moins bien payées ou reconnues, c'est fou )... Elles ont crée le terme d'empuissancement (d'empowerment), qui signifie reprendre son pouvoir, ne pas le laisser aux autres, honorer sa puissance, comme quoi la notion de "pouvoir" est variable et subtile, pour les hommes un outil de domination et d'oppression, d'égo mégalo (tiens tiens on en a connu beaucoup des rois mégalos) donc à conscientiser, réinventer, la puissance féminine ça te va? 😉 nous ça nous va 😊...n'en déplaise à ceux que ça dérange (visiblement depuis la nuit des temps et en tous lieux )

paradoxle 22 janvier 2024 à 15:21  •   108875

Post un peu décousu, désolé.

C'est clair que si le féminisme, c'est que les femmes deviennent aussi cons que les mecs, je ne vois pas bien l'intérêt.
Il existe un courant au Québec d'hommes égalitaristes et ont des textes super intéressants sur la problématique du pouvoir.
Tu parles de femmes fortes en Italie par exemple. Mais ça me fait penser à cette remarque de Watzlawick que les cultures les plus machistes sont les cultures où les mères sont les plus possessives. Quand on est contre le pouvoir, la première chose à faire est de reconnaître et de lutter contre ses propres processus de domination. Une petite fille peut très bien dominer son père à coup de caprices.

Le terme de pouvoir en français à trois sens : capacité, domination ou puissance. C'est important de bien faire la différence quand on parle de pouvoir.

Je ne sais pas si tu connais ce film où des femmes mormons font une réunion quand tous les hommes sont partis de la communauté pour soutenir lors de son procès un homme inculpé pour violence (🤔 pour meurtre ?) envers sa femme ? Je vais essayer de le retrouver, c'est une petite merveille.

paradoxle 22 janvier 2024 à 16:26  •   108878

Ça y est j'ai trouvé.
C'est un huit-clos, un exemple de réunion, de prise de décision sans pouvoir et une recherche d'équilibre entre rationnalité et émotion.
voir la vidéo

Je l'ai vu ici ;
https://empire-stream.net/film/Women-Talking-en-streaming-hd/4366937608807172207573f900d71516

Zompole 23 janvier 2024 à 10:50  •   108917

Bouc innocent, bouc cependant, je m'inscrit en trouble confusion.
Il faut pour bien voir être maître de soi.
L'imitation limite l'action à l'obéissance et l'imprimeur rie de tant d'inconscience.
Sans pouvoir sur soi, c'est le web qui l'exerce.
La rouspétance contre, renforce l'impuissance et conduit l'ignorance.
L'isme entraine ses schismes et la guerre mâle-femelle induite est une victoire de l'esclavagisme.

Si vous ne savez pas pourquoi la fondation Rockefeller à jadis financé les suffragettes, regarder ses consommatrices encore plus haineuses et frustrées que leurs esclaves de mecs.

Si vous chercher un pervers, je suis là pour vous servir et j'ose dire que je n'ai échappé à aucune injustice dont certaine femmes revendique le monopole.

Par la nature des polarités le viol psychique entraine décompensation.

Le couillon décompense en éphémère violence où le con conspire.

Guerre des sexes, frustrations, sadisme religieu et gouvernemental, c'est merci je vous en pris.

Les mâles on honte d'avoir la gaule et leur frangines me demande la fessé avant d'me j'ter.

Cachez ce sein si malsaint et garez derrierre saint Ix hamster.

La très haute potentialité d'un Epstein que l'on doit croire mort continu son oeuvre de charité.

Imbécile boomer insurger se gratte le nez.


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