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- La rencontre de l'ivresse
Il suffisait d'une invitation, d'une convocation, pour reconnaître et tomber sur ce qui s'apparenterait au symbole et à l'incarnation du plaisir de se perdre dans le vaste néant de l'inconscience, en encourageant les sceptiques à croire et embrasser ce monde gigantesque, ouvert à tout les nouveau-nés, qui souhaitent revendiquer cette liberté impalpable et existentielle, qui pourtant emporte avec elle les sacrifices, et les choix cruciaux qui nous sont proposés de notre vivant...
Je souhaite faire l'acquisition de votre temps, si vous en avez assez pour en perdre (^^') pour vous contez une histoire réelle, un événement qui s'est prolongé et divisé en plusieurs autres instants, auxquels j'étais convié, j'étais présent (qui l'eût crû ?), et dont j'étais l'un des principaux acteurs et spectateurs simultanément, de ce qui, pour moi, n'était pas forcément irréalisable, mais que je n'avais jamais songé être représentée devant mes yeux interloqués, et pourtant...
D'abord, sachez que certains éléments qui pourront être inscrits içi ne sont évidemment que la stricte véracité objective de ce qui s'est déroulé selon mon champs visuel personnel, bien entendu, et dans la chronologie la plus respectée, la plus sincère possible, et enfin l'exactitude des principaux facteurs composants de l'entièreté de ce pseudo-récit.
Donc premièrement, donnée des informations relatives au contexte dans lequel le travail s'effectue n'est certainement pas de refus ^^
Chronologiquement, si je ne m'abuse, nous effectuons un bond dans le passé de 3 à 4 ans, parce que la contexte global se situe dans l'intervalle de 2017-2018, j'ai donc 22 ans, je vais sur mes 23 ans, je suis en fin de formation après deux ans d'étude en alternance, en commerce, j'obtiens à l'issue de ce cursus, mon diplôme ( premier vrai diplôme pour être tout à fait pragmatique), nous sommes au mois de Fin Juin, début Juillet, les établissements ferment successivement leurs portes, pour cause des grandes vacances à venir imminente, les jours de congés déposés, les dates de départ à l'étranger ou autre, etc...
Durant cette période du mois de juillet, outre le fait que je travaillais normalement comme mes conventions contractuelles l'exigaient, en parallèle, je m'étonnais d'une curieuse envie de sortir avec des ex proches, des amis, des camarades, etc...
Donc en règle général, les sorties étaient soit sur invitation d'une connaissance en enceinte close, c'est à dire dans un lieu fermée, une maison, un appartement, etc
Soit à l'extérieur, où déjà l'intérêt de la sortie était beaucoup moindre, car j'avais commencé, à cet époque à nourrir une aversion, un désenchantement, une méprise, pour les lieux appelés boîtes de nuit ! où la musique est clairement mixé pour t'infliger des blessures par les sons hautement élevés ! étant dans un endroit étroit et quasiment clos, les gens te bousculent allègrement, sans scrupule, sans peine et sans remords ! Le sol, arrivée aux heures tardives, est glissant et immonde, dû au nombre non négligeable de gens s'étant mise une murge dans la soirée ! Puis les restaurants bombés de monde, où tu ne t'entends plus parler, tu ne t'entends plus écouter, tu entends tout, à la même fréquence, entre les bruits de voitures qui roulent, le bruit incessant des pas de plusieurs centaines de personnes en même temps, et il faut le dire, c'étais assez insupportable...mais j'y reviendrai sur ce fait dans un autre post, car ce sujet mérite plus de détails.
Bref, donc un beau jour, une ex-amie me propose de venir à la soirée d'une amie à elle, et d'un ami que nous avons en commun, au départ je m'y refuse, car je ne me sentais simplement pas prêt et à l'aise pour me rendre à un endroit où je ne connais personne, sauf elle bien sûr, mon ami, avec qui je m'entend bien, ne pouvait pas être là, ce qui m'avait conforté dans l'idée que finalement, j'allais passer mon tour, mais cet amie, ou plutôt ex-amie, qui avait pour principal plaisir et caractéristique la recherche infini et illimitée dans le temps d'un responsable, d'un bouc-emissaire, d'un fautif dans les rapports aux propositions de sorties et d'activités, bien évidemment, quand la réponse auquelle elle s'attendait n'était pas celle qu'elle croyait, qu'elle avait pensé, s'emportait facilement, et s'adonnait à créer l'esclandre...
Et pour vous dire hein, elle doit être l'une, si ce n'est la seule personne, en dehors de mes parents, de ma famille, etc, avec qui j'ai eu le plus de confrontations et de désaccord (que l'on s'entende, verbale, bien évidemment), mais avec un peu de recul, en réalité...nous ne nous comprenions pas...nous étions complètement opposés d'un point de vue idéologique et fondamentaliste, mais j'y reviendrai dans un autre post également, car ce sujet avec cet "ex-amie" est beaucoup plus profond que ça et certains éléments associés, certains facteurs sont des questionnements, des revendications, et des idées qui sont au coeur de la préoccupation de l'opinion depuis des dizaines d'années, mais cela s'est vu accentué avec le temps, les médias, la presse, les différents mouvements progressistes qui se sont vu naître, bref plusieurs choses, mais j'en parlerai avec ce que je sais en tout cas :)
Malheur à moi, je m'égare, pour revenir au contexte,
Donc cet ex-amie, me reproche une énième fois, mon manque de considération pour ces propos, pour ces actions, que je serai le suppôt de Satan, un odieux personnage, donc c'est du genre : "mais comment oses-tu...blablablablabla"
Et je suis honnête, par pitié, et également par ennui, je me décide de venir à cette invitation de la part de ses contemporains, je décide, pour me rendre sur place, de prendre un bus, qui devait m'emmener directement en bas de l'instigateur ( ou plutôt instigatrice) de ce merveilleux, mais avant cela, le panneau d'affichage avait été détruit ou retiré de l'arrêt de bus où je m'étais arrêté, au niveau de cet arrêt de bus, je rencontrai une jeune fille, à l'époque elle avait donc 20 ans, presque 21 ans, qui était en train de se plaindre du temps d'attente de ce même bus, mais je veux dire, parallèlement, j'étais également dans l'attente, et je l'exprimai en disant " super, déjà que j'étais assez réticent"
Nous n'étions que deux postés à cet arrêt de bus, on a soupiré en même temps ( je m'en rappelle, c'étais assez drôle...)
Je ne sais plus trop ce qu'elle m'avait dit, avec précision, mais je crois que c'étais une opinion relatif au fameux bus que nous voulions utiliser ^^'
Donc elle m'avait répondu, si je m'en souviens bien "fais chier ce bus" ou un truc dans le genre haha, et je lui répondit que ce sentiment était partagée.
Je vous l'a fait courte hein, cet jeune fille était très jolie, très charmante, brune, vêtue d'un pull léger long, qui laissait découvrir une partie de son épaule, et de son soutifs, jean skinny me semblait-il, puis assortie de bottines de couleurs noirs, et elle n'avait pas sa langue dans sa poche ! Alors que moi, j'étais quelqu'un, et d'ailleurs ça n'a pas changé hein, de plutôt réservée, de plutôt cachée, d'un caractère assez taciturne, disons-le comme ça( je suis plus à l'aise dans la verbalisation et la communication écrite que le contraire, haha, à ne pas s'en douter quoi ^^')
Et bref, donc on commence à discuter, de manière totalement platonique, totalement normée, puis je vis le bus arrivée au lointain, et dans ma tête, j'ai pas réfléchis, donc bégaiement, je lui demande :') son numéro de téléphone, voilà, son contact quoi, elle décide de me le passer, de me l'offrir , à ma grande surprise, parce que je pensais sincèrement qu'elle allait refuser, vu ton tempérament assez bouillant, je décidâmes donc, sourire au coin de la lèvre comme un con, de poursuivre ma route vers la croisée des chemins, voilà...
Donc je vous passe les détails de la soirée foireuse avec cet ex-amie, ce n'est pas le sujet principal, donc je m'abstiens d'en parler içi, ce sera sur un post dédiée au sujet.
Donc, le lendemain de la soirée foirée, cet fille et moi, nous donnions rendez-vous près de l'endroit où l'on s'était rencontré la veille, grande surprise ! quand elle me révéla qu'elle habitait dans le même département que moi, et si vous voulez, fondamentalement j'avais une grande incompréhension des choses et des situations, et j'avais pour ainsi dire, souvent l'erreur, la faute de me projeter dans le temps, ce qui veut dire que avec cet personne en question, je me suis consciemment ou inconsciemment, je ne sais pas, je me suis envolé, projeté, transposé vers un futur qui n'existait, en réalité, que dans ma petite cervelle, oui...
De ce fait, elle était tout le temps pétillante, tout le temps euphorique, tout le temps dans l'extase, sauf que elle avait un grand, un énorme défaut, une gigantesque perte du sens des responsabilités, et ce défaut, qu'elle a instillé en elle depuis belle lurette, j'imagine, était l'alcool...cet jeune fille avait une forte attractivité pour les boissons fortement alcoolisées, et elle s'enorgueillissait de cela.
Elle était instoppable, inarrêtable, et constamment sous l'emprise de l'alcool, de ce fait, non seulement c'étais un danger pour sa santé personnelle, mais également pour la santé de ces proches !
Je me rappelle d'un jour où j'étais convié chez elle, donc nous avions dormi ensemble, rien de bien méchant, sa mère, qui avait totalement perdu le fil, et complètement perdu le contrôle sur son enfant, m'avait demandé, je crois 2 à 3 semaines après la rencontre avec sa fille, de la surveiller et l'empêcher de boire...
Honnêtement, au risque de passer pour un individu sans coeur, j'ai trouvé cela assez gonflé de me demander comme ça de manière incongru de m'occuper d'une personne qui pourtant avait l'âge et la raison de s'empêcher, de se soustraire, de se retirer de toutes ces paperasses qui n'étaient pas bonne pour elle, et bon, même si officiellement, nous n'étions pas ensemble, elle et moi, j'ai quand même décidé de faire le maximum pour lui éviter toute mauvaise déroute malencontreuse...
Mais rien y faisait, c'étais perdu d'avance, car cet jeune personne avait pour ainsi dire, fuguer plusieurs fois de centre de désintox, avait insidieusement préparé le coup avec sa petite soeur, qui lui venait en aide, pour lui ouvrir le chemin, et lui permettre d'accéder à son enceinte après s'être mise une cuite ! Ces parents avaient donc décidé de lui refuser l'accès à de l'argent de poche, sauf que évidemment, ce n'étais pas cela qui allait stopper le renard à la recherche de sa poule providentiel !
Et peut-être que je vais choqué certains lecteurs qui me liront ( si vous êtes arrivé et parvenu jusqu'ici ^^')
Elle se décida de séduire certains hommes ou plutôt, certaines personnes dans la rue, pour obtenir une gratification lui permettant d'avoir accès à son breuvage préférée...donc elle s'efforçait d'attirer...parce que je vous le garantis, cet fille était ravissante, je ne l'ai plus revu, car j'ai senti que c'étais un terrain glissant, et trop risquée, j'avais déjà un peu le nez creux...mais elle avait ce qu'il fallait pour attirer et séduire, et peut-être même qu'elle s'en doute pas, mais je devine chez elle une capacité à lire dans les hommes ce qu'ils veulent entendre...
Donc à la suite de ça, sachant qu'elle ne souhaitais vraisemblablement pas arrêter, je me suis retiré et j'ai coupé les liens que j'avais commencé à tisser avec elle, ces parents, ayant abandonné tout espoir pour leur première fille, se sont rabattus sur la dernière, afin de lui éviter cette métamorphose, m'enfin...pour moi, quand tu te prêtes aux jeux malicieux du corps qui vit avant toi, c'est déjà que tu acquiesce et tu valides ces agissements.
Pareil, elle avait un petit copain, et ironie du sort, je le connaissais, visuellement, nous avons même par la suite discuté de ça, il m'a répondu que il n'y avait rien à faire, que il en avait bavé longtemps avec elle, et que simplement, il s'était retiré complètement de cet équation irrésolvable...je n'ai fais que agir par mimétisme.
Donc quelque mois après, euh un jour comme ça, de facon inopportune, elle m'envoie un message pour me demandé, je cite "encore en vie ?"
Rétorquant humblement que "oui" et lui posons la question en retour, elle me répondit donc "envers et contre tous, j'échappe à la mort".
Voilà ma longue (trop long récit), mon témoignage que j'ai voulu partagé, et pourtant, je me suis astreint à écourter le plus possible ^^' euh si l'on me donnait le privilège de tirer une leçon de cet histoire, ce serait qu'il ne faudrait jamais croire ou songer à sa première impression vis à vis d'une personne, il faudrait tout d'abord, écouter, entendre, analyser l'entièreté de la personne, et s'y faire une conclusion claire, propre et cohérente, à l'époque, j'ignorais tout ces codes qui pourtant ont de l'importance en bonne logique moderniste, mais je n'en ai pas eu recours, ce qui m'a valut des moments, courts certes, mais des moments assez déconcertants et désolants comme celui-ci...
Voilà, c'étais tout pour moi, merci d'avance de m'avoir lu, à bientôt.
@Mikaa tu étais d'humeur volubile :) d'ailleurs en botanique le terme volubile designe une plante dont la tige s'enroule hélice autour d'un support... un peu comme la rencontre que tu décris ici, où tu joues le support, et la demoiselle, l'hélice :) au final, comment faire autrement, que de laisser le temps, confirmer et infirmer nos premières impressions, et révéler ce qui se cache derrière le masque social... révéler aussi la part de "soi nouveau" qui nait de cette rencontre, en l'un et l'autre des protagonistes... j'aime cette idée que chaque rencontre modifie la composition de notre être, et qu'une part inconnue de nous-même, comme de l'autre, en émerge.
On apprend ici aussi que tu as le chic pour raconter une histoire :) Je t'imagine à marrakech sur la place Jemma el Fna, en jellaba, conteur d'histoires exalté, le verbe haut, les yeux pleins d'intrigue... Conter, raconter, encore et encore, pour donner du sens à la nuit !
@Naweez_Heer Bonjour, merci d'avoir pris le temps de me lire,
Au départ, sans que tu m'offres la définition du mot que tu m'as cité, j'ai bien cru que cela avait un lien avec le volume, dû au préfixe ^^' je me suis trompé manifestement bon...
Et bien que dire, à part que ton allégorie est tout à fait abordable, et jouable sur ce plan, et encore, si je devais en rajouter une de plus et faire une analogie, c'est comme le besoin insatiable et excessif des gens qui jouent dans les pmu, à l'instar du fait qu'ils ont besoin de leur petite gnôle de la journée, ou d'un service plus soft (m'enfin, plus soft...à quiconque veut bien s'en accorder la réflexion, et le seuil de tolérance) comme le café par exemple :)
Mais le principe reste un peu la même, c'est d'avoir l'esprit, le corps et la journée insatisfaite, donc on s'adonne à la création d'une routine, peu importe si cette routine est recevable, légitime ou non,
De toute façon, j'ai appris avec le temps que en grandissant, en réalité, le forme évolue, elle change et se modifie, mais le fond reste le même, il ne prend que du "volume" en fonction des situations, des évènements qui nous auront bouleversés dans notre quotidien, car c'est dans le bouleversement, la catastrophe, et le désastre que l'homme se constitue, petit à petit, évidemment.
citation :
révéler aussi la part de "soi nouveau" qui nait de cette rencontre, en l'un et l'autre des protagonistes... j'aime cette idée que chaque rencontre modifie la composition de notre être, et qu'une part inconnue de nous-même, comme de l'autre, en émerge.
Bah, objectivement, plus on rencontre des situations et des instants, bonnes ou mauvaises, ou les deux, plus nôtre mental, nôtre corps et nôtre vision du monde changent et se forgent, et cela commence dès la naissance, la première fois que l'on se fait mal, étant enfant, on a tellement plus l'envie de revivre cet instant ( à part si on n'aime se flanquer des roustes par défaut de raison, ou de courir de façon aléatoire au risque de se faire mal, ou que sais-je...) que par l'aide des outils qui sont l'intelligence et l'intuition, on essaye de tempérer, de s'abstenir afin d'éviter de se blesser, et donc de souffrir, mais quand on se blesse et on souffre, et d'autant plus quand c'est relativement douloureux, au départ, c'est assez insupportable, et cran par cran, au fur et à mesure que la blessure se ferme, pour nous laisser du temps à la réflexion de nos actes démesurés qui ont précédés le drame.
Donc voilà, bref, sinon ça va être long ^^'
Mais ce sont souvent les déboires involontaires ou non, avec blessure physique, mais en règle général ce sont beaucoup plus les blessures psychologiques et morales qui sont très difficiles à guérir, mais une fois que c'est fait, apparemment, la perception et la conception des choses, de l'environnement et de soi se reconstituent, se restructurent, sur une base plus saine ( bon, pour moi, cela reste encore un mythe, haha...)
Oui, je me livre à des témoignages qui selon mon point de vue personnel m'ont particulièrement touchés, et honnêtement, ça fait du bien de se décharger, de se défaire des mots, des maux de la tête ^^
Bien entendu, ce ne sont pas des histoires inventées de toute pièce, ce sont de véritables témoignages que j'essaye de partager avec un peu de désinvolture, et pour mon plaisir personnel, et tristement, la plupart peuvent être considérés comme très négatifs, pour les adeptes de la meilleur visualisation du monde et des gens, positif ou négatif ? Mais en réalité, il n'y a pas de choix, c'est en fonction des caractéristiques, de son proche entourage, des actions menées au quotidien, de sa flexibilité, de son statut de vie, et en additionnant le tout, cela va donner une somme, une nuance, donc à la fois positive mais également négative, donc la recherche de ce qui est correcte, incorrect, etc...
Bref, et donc euh j'aime bien oui ^^'
Et oui, la phrase d'introduction est de moi, j'ai jugé, en mon âme et conscience, que je pouvais la refourguer en italique :)
Si je peux me permettre, je trouve ton titre, et ton histoire, fabuleux, et fabuleusement harmonieux.
L'ivresse? L'ivresse de l'alcool, des émotions, des sentiments qui auraient pu résulter de votre rencontre si l'alcool ne s'était pas incrusté dans sa vie. C'est puissant et poignant.
@Tomto32 Merci pour ton intérêt et ton retour :)
Je suis également ravi que mon histoire t'ait plu,
C'étais une séquence assez inattendu et incongru, mais cela a pu générer en moi plusieurs réflexions et plusieurs idées relative aux interactions et au préoccupations qui peuvent être considérés comme stéréotypés ou archétypales,
Et outre le fait que la pièce d'achoppement alcoolisé à crée une opposition dans les intérêts qui présidaient sans commune mesure, elle m'a également appris et enseigné que lorsque l'on s'attache à quelqu'un ou à quelque chose, le désir est tellement grand et intense, qu'elle obscurcit et obstrue la lumière de la raison qui, justement nous permet de nous empêcher de céder à nos penchants et nos désirs, même les plus interdits ou secrets :)
Merci encore une fois.
Mickael.
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