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- La sentence du loup
Sans m'appesantir éternellement comme à l'accoutumée, j'écris car si je ne me trompe pas, à l'instant je viens de perdre une amitié.
Pour être plus précis je viens certainement de voir se déchirer la dernière page d'une histoire amicale qui sans l'ombre d'un doute était la plus longue, la plus saillante, la plus sérieuse, la plus honnête, la plus rutilante de mon existence.
Comment ? Et bien on ne faisant rien, on ne répondant de rien, en bottant en touche comme nous le dirions pour plusieurs raisons que je qualifie de pathétique.
Pourquoi ? Ce serait un trop long fil à étendre, bien trop fastidieux et recherché.
La valeur que j'estimais pour cet amitié parmi d'autres avait une signification, une hauteur des plus précieux, j'ai beaucoup appris auprès de celui que je considère comme l'un des hommes les plus importants de ma vie, mais vous savez, au fond, nous n'étions pas et nous ne sommes pas fait pour nous entendre, fondamentalement.
Cela peut paraître absurde, mais c'est aujourd'hui que je réalise après plus de 10 ans de camaraderie avec cet animal rigoriste à quel point la période scolaire sur le plan social est une vaste mascarade conceptuelle.
Il est d'une tout autre nature qui est au antipode de ce que j'incarne réellement, et que j'ai pensé longtemps à tort complémentaire à la mienne sauf que, à l'époque je m'ignorais beaucoup plus qu'aujourd'hui alors je ne faisais pas de différence, ni avec lui, ni avec les autres.
Dans ma conception bien trop simpliste et naïve, il n'y avait aucune différence, aucun écart de préoccupation, de passion, d'intérêt dans le jeu des interactions, rien.
Mais en grandissant, nous nous attachons à des paradigmes, des courants, des mouvances politiques qui répondent à des demandes profondes ne tenant qu'à nous et qui peuvent fusionner pour donner ce sentiment de devoir plus grand, bref un idéal à accomplir pour un collectif définis, et ce point je pense, jalonne le début de la fin si les prétentions qui nous animent sont opposées.
Il a presque tout, ce type, et je lui ai transmis un mémorandum depuis un bon moment, donc je m'en lave les mains.
Un être perfectionniste, pragmatique et surtout très pugnace qui a évolué, et certains peut-être ne comprendront pas ce que je m'apprête à écrire mais je ne veux plus être l'aurige guilleret apparaissant comme le reliquat maudit de ce qu'ils furent, car ce constat subjectif s'inscrit dans une large mesure vers un horizon plus grand et bien plus étendu, mais il n'est pas question de globalisation içi de toute façon.
Vous vous demanderez sûrement : En quoi cela nous regarde ?
En rien. Seulement ma condition de personne timorée à l'idée de confrontation m'amène à trouver des alternatives pour me rappeler le caractère insuffisamment déficient de ma part à devoir m'épuiser à expliquer, en toute véracité ou duperie, selon les déclinaisons qui peuvent apparaître brusquement, ou non.
Il est le dernier maillon d'un monde que je ne maîtrise pas et qui m'emmerde, et comme l'a dit très bien le philosophe et ingénieur Ludwig Wittgenstein je cite : "les limites de mon langage sont les limites de ma pensée", tout est très clair..
Et comme me l'avait dis il y a quelques années de ça une connaissance que j'appellerais Charles, me disant comme suit : "C'est dans ces moments qui demandent le plus grands sérieux et la plus grande attention que nous savons de quel matière est faites une personne"
Et bien finalement j'ai sans doute été pendant longtemps plus présomptueux que lâche, sauf que le dénouement de ce long voisinage prend un vilain tour aujourd'hui, mais peut-être était-ce nécessaire, qui peut le dire ?
Mickael.
Coucou...
Suis allée voir la définition d aurige et ce qui m a "tilté",en relation avec ton témoignage, c'est:
Souvent un esclave, qui à force de victoires, a la possibilité de s affranchir.
Après j ai une amie qui a" changé " et qui me comprend mieux désormais et une ancienne "meilleure copine " dont je n ai pas cherché à savoir le cheminement, même après très longtemps... même si j ai hésité à la recontacter, je pense plus à moi-même dorénavant...
A+
Bonjour Mickael, c'est bien que tu exprimes cela ici, ça va t'aider à passer l'étape, certe difficile, de la fin d'une relation. Tu as appris de cette expérience, cela te servira à l'avenir. Je te souhaite de belles rencontres.
@Marvina je te remercie pour ce témoignage, et je ne peux que être d'accord avec toi.
Je pense avant tout à moi désormais, j'ai longuement passé de misérables instants à devoir me transformer, me transcender pour parvenir à un de ces mondes que j'ai énormément fantasmé, mais qui n'est en réalité pas très frétillant, quand on y penche attentivement.
Cette coupure ne me blesse pas, mais c'est une gifle qui fait mal symboliquement, c'est le cas de le dire.
Bien sûr, et comme il le sait, il pourra toujours compter sur moi si il en fait la demande et selon les circonstances pour le couvrir avec mon bouclier ou frapper l'ennemi avec mon épée, comme tous ces plus fidèles proches le feraient d'ailleurs (Ça paraît chevaleresque dis comme ça, mais c'est le cas).
L'amitié, la loyauté, la fidélité, représentent des valeurs cardinales à mes yeux, comme pour lui, peut-être l'un des marqueurs nous ayant tant rapprochés lui et moi.
Seulement, en bien d'autres points plus idéologiques, c'est tout autre chose. (Fin, c'est complexe).
Alors ignorant les possibilités rasoirs que j'eus à ma disposition pour verser ces mots qui me brûlaient les mains et asséchaient ma gorge, j'eus la spontanéité de le faire savoir, et de l'écrire pour soulager mon esprit désorienté, je suis fautif de cette bévue, cela dit, alors je me ramasse le fruit pourri de ma négligence.
C'est le jeu, comme dirait quelqu'un qui n'a pas vu le vent passé avant son trepas 🙄
À bientôt.
Mickael.
@Angui tout à fait, je te remercie pour tes mots si bien trouvés, il paraît plus méticuleux et équilibré de se libérer d'un poids lourds en le verbalisant de façon cathartique que de se foutre en l'air. C'est ma conviction, et des hommes qui se ruinent en voyant leur univers s'effondrer sous leurs pieds, il y en a à foison dans l'histoire.
J'ai adressé cette nouvelle jusqu'aux oreilles de ma mère hier soir qui n'a pas attendue longtemps étant assez cérébrale pour me dire que selon elle toujours, cet ami aujourd'hui perdu, a pris un bateau de sauvetage avant que je ne lui fasses payer mes échecs sur le navire selon ces mots, et que grossomerdo, c'étais une façon indirecte de me porter responsable de son éviction, ce qui est logique à ces yeux quoi, enfin bref.
Ça me dépasse.
À bientôt.
Mickael.
Pas très cool l'analyse de maman !
Pour reprendre la métaphore, on ne pourrait pas plutôt dire que la barque prennait l'eau : Faute du maintien de la cohésion entre ses divers éléments, peut-être par négligence de l'entretien certes, peut-être par un choix trop hâtif de ces derniers, pourquoi pas par usure naturelle irréversible ?
Mais surtout, est-ce qu'il ne serait plus malin et plus utile de penser qu'avec chacun vos trois planches humides et tordues, vous allez juste essayer de reconstruire une embarcation de fortune, imparfaite d'abord.
Puis de plus en plus opportune et efficace.
Que vous croiserez , chacun de votre côté, d'autres navigateurs, avec qui faire un plus gros bateau, ou seulement échanger une planche ou deux.
Et que la vie est ainsi faite et qu'il n'y a rien à regretter !
Bonsoir @Penny
Désoler de ne répondre que maintenant et à une heure plutôt tardive, j'ai pris le temps de vous lire et vous donne raison sur le manque de soutien et de maintien à la fructification des énergies et puis aussi par une sorte d'usure naturelle, pour reprendre vos mots, mais elle ne fût pas prise de façon de conjointe, j'en suis le responsable, pour diverses raisons qui seraient bien trop longues à énumérer içi.
Croiser d'autres navigateurs, pourquoi pas ? Après tout, il faut de tout pour faire un monde, alors il faut des marins pour aider à maintenir la barque, souquer et s'orienter sans trop de désordre tout en prenant du plaisir à apprécier mutuellement la vie, mais lorsque l'on est désigner implicitement comme un "danger" sur le bateau, faut-il nécessairement se mettre des oeillères et continuer le voyage tout en se sachant indesiré ? Je ne sais pas.
Ma chère mère pense que c'est mon impulsion silencieuse qui a permis cette réalité, je pense en retour que c'est bien plus en lien avec des causalités complexes conjuguées à une exaspération (oui, de ma part) pour certains raisons qui m'ont amenés à conduire à ce dénouement, croyez le ou non, j'aurais aimé que les choses se fassent autrement.
Et sans doute ne comprendrez-vous pas ce que je vais écrire, car beaucoup trop énigmatique, seulement voilà, l'image consistant à voir son contemporain tomber dans un engrenage dangereux et répressif mène soit à changer d'embarcation, soit à faire en sorte qu'il change la direction de son regard, seules solutions possibles à l'aveuglement et à l'échec de la dissuasion...une fois que le bât blesse, il ne reste plus rien pour soutenir ces joyeuses forces d'attractions, mieux vaut s'éloigner, ou inciter à l'éloignement.
Merci d'avance de m'avoir lu.
Mickael.
Je crois que je te l'ai déjà déjà dit @Mikaa (et pas que moi il me semble) mais je me répète : tu as une écriture qui tue, qui retranscrit le vécu de façon tellement profonde. Fais-en quelque chose, un recueil ou autre. Je suis en train d'écrire mes mémoires et je les alimente en copiant ce que j'ai écrit ci et là sur le forum. Juste un conseil en passant mais franchement, je trouve que ça vaudrait le coup que tu y réfléchisses et que tu t'y mettes.
Bonjour @Mikaa
Si sybillin que soient tes sentiments, il me semble pourtant en saisir la tessiture et la teneur.
Des regrets, de la frustration, un sentiment d'abandon, même si c'est toi qui a abandonné ou qui a provoqué cet abandon.
Par ailleurs, tu sembles te flageller d'avoir été insuffisant (ou excessif !). Mais je soutiens que nos planches humides et tordues ont de la valeur. Ne sont-ce pas les seules que nous ayons, de toute façon ?
Crois-tu vraiment qu'il aurait suffi d'un coup de laque pour tout changer ?
Et si elles ne conviennent pas ou plus à cette situation, elles auront leur utilité autre part.
Alors j'ai la forte impression que tu as pris la bonne décision et je suis de tout coeur avec toi.
Comme on ne peut forcer le désir, le respect ou quelque autre manifestation de ce qui ne trouve sa source qu'au fond de chaque être, on ne peut pas non plus sauver quelqu'un qui ne souhaite pas déjà réellement se sauver lui-même.
Et faire le choix de renoncer peut être la seule voie possible, mais n'en demande pas moins un grand courage.
Et je pense que c'est ce que tu fais en ce moment et c'est admirable.
Si j'étais à ta place, je coucherais sur le papier ces regrets qui te heurtent, à son attention.
Ce que ton ami n'a pas voulu entendre aujourd'hui, peut-être tes mots l'aideront-ils à le comprendre plus tard...
Bonjour @paradox,
Effectivement, je crois que tu me l'as déjà dis, et tu n'es pas le seul, sans être présomptueux, à me le dire 🙂
Et comme je l'avais déjà exprimé une fois ou deux içi, je tente d'être le plus concis et précis possible sur mes pensées par la rédaction que je versifie içi et là, pour les autres évidemment, pour la compréhension de chacun-e mais aussi pour moi-même, je m'essaye tout du moins.
On m'a également déjà suggéré d'écrire ou de rédiger un ou plusieurs manifestes afin de transmettre publiquement un message ou une sorte de morale, mais je vous avoue être assez rétif sur ce point, je n'ai pas nécessairement envie d'être jugé de façon injuste comme quelqu'un de pédant ou bonimenteur qui trompe son monde par l'écriture ou le langage, mon coeur sensible en mourrait, si il n'en est pas sauvé (je sais, l'excessivité est au rdv 😅 )
Et puis, j'ai un long travail de synthèse à appliquer à mon développement, aussi, je souhaite parvenir à parallèlement être bon ou plutôt correct lors des phases d'oralisations, parce que l'écriture, c'est bien, l'oral, c'est beaucoup mieux pour rentrer en phase avec son interlocuteur, et que le souffle de la concorde puisse être plus vivifiant, plus physique si tu veux.
J'y pense en tout cas @paradox, et je te remercie de la confiance que tu observes chez moi, je ne le dis pas comme ça, mais c'est merveilleusement encourageant, c'est le cas de le dire 🙂
Merci.
Bonjour @Penny,
"Et si elles ne conviennent pas ou plus à cette situation, elles auront leur utilité autre part."
Vous croyez ? Je ne sais pas, pour être honnête.
Si je me suis résolu à écrire sur ce sujet içi, c'est bien parce que émotionnellement, cet épisode fût assez douloureux, enfin c'étais bien piquant, car j'ai ressenti une boule au ventre, enfin plutôt cette sensation comme si quelqu'un s'amusait à me foutre des coups de poings dans l'estomac.
Je le connais depuis plus de 10 ans, ce type, j'ai tant appris à ces côtés, alors certes on ne s'entendait pas sur tous les sujets, sur tous les événements qui pouvaient éveillés nos passions, mais franchement, en 28 ans d'existence, je n'ai jamais ressenti plus grand plaisir à être camarade avec quelqu'un, même si parfois il pouvait me frustrer, je le reconnais.
Vous pensez que je peux (re)découvrir cette sensation avec quelqu'un d'autre ?
Ça m'intéresserais de vous entendre.
"Alors j'ai la forte impression que tu as pris la bonne décision et je suis de tout coeur avec toi."
Merci pour votre gentillesse ^^
Bonne décision, oui je le pense aussi, mais c'est assez douloureux, pour être tout à fait franc, je pensais que cela ne m'affecterais pas trop parce que je m'étais préparé en amont, afin d'éviter les états mélancoliques qui rendent vide et stupide, mais voilà figurez-vous d'ailleurs que je lui avais envoyé un message pour m'expliquer avec lui, il l'a lu, m'a entendu, puis a pris la décision de ne pas couper les liens, mais d'établir une sorte de frontière en réponse de mon attitude de séparation, qui est raisonnée, la politique étant de ne pas s'abandonner à toute forme d'émotivité de sa part.
Oui, il est pragmatique certes, mais très rigide d'esprit, une attitude militariste et reposant essentiellement sur le travail et comme il le disait souvent "la pleurniche, c'est la lâcheté", sauf que voilà, je suis quelqu'un qui attache une valeur très importante pour la justice, et l'ordre, mais j'ai aussi un pan émotif qu'il me reprochait souvent d'ailleurs, qui peut facilement se manifester.
Bien sûr attention il est émotif aussi, mais comparé à moi, il le montre très rarement car c'est quelque chose qui à ces yeux est de l'ordre de la faiblesse et de la fragilité mentale, et je pense n'avoir jamais voulu parler de ce sujet avec lui parce que d'une part c'est de la polémique à mes yeux et d'autre part, peut-être inconsciemment parce que je ne souhaitais pas me confronter à lui.
"Comme on ne peut forcer le désir, le respect ou quelque autre manifestation de ce qui ne trouve sa source qu'au fond de chaque être, on ne peut pas non plus sauver quelqu'un qui ne souhaite pas déjà réellement se sauver lui-même."
Complètement raison.
Complètement ! C'est la raison pour laquelle je suis parti, mais il ne l'a pas compris, donc bon *soupir*
"Et faire le choix de renoncer peut être la seule voie possible, mais n'en demande pas moins un grand courage.
Et je pense que c'est ce que tu fais en ce moment et c'est admirable."
J'espère avoir fais le bon choix, pour moi, beaucoup moins pour lui, mais pour moi c'est peut-être le début d'autre chose, je ne sais pas, le monde est si ébranlé et impitoyable actuellement, nous verrons.
J'ai une sorte de cahier ou j'écris parfois mes doutes, mes certitudes, mes joies mes idées, j'en avais même deux, l'un m'a été volé par une fille, bref il serait bien long de l'expliquer içi 🥲
Et l'autre est en ma possession, donc j'écris de temps en temps là-dessus mais parfois j'aime aussi que mes propos soient lu et observé.
Je vous remercie beaucoup pour votre gentillesse 🙂 comme quoi, l'humanité n'est pas totalement perdue.
Mickael.
Oh, que c'est adorable ce que tu me dis là, @Mikaa ! Merci.
Tu crois que tu pourrais pousser la gentillesse jusqu'à me tutoyer ? Je n'ai encore ni autant de rides, ni autant de sagesse que Maitre Yoda, mais même si ça arrive un jour, je crois que je préférerai toujours qu'on me tutoie.
Si tu veux mon avis quant à ce refus de la part de ton ancien camarade de s'abandonner à ses émotions, et bien je crois qu'il explique bien des choses. Si je comprends bien, il considère sa grande sensibilité comme une tare, quelque chose dont il souhaiterait pouvoir s'affranchir.
-En passant, je ne peux pas le lui reprocher, il m'arrive d'en faire autant et j'imagine que c'est encore plus difficile pour un garçon. Mais réjouissons-nous, car certain.e.s tentent de faire évoluer notre société vers plus d'égalité sexuelle et plus d'acceptation de ce qui finalement constitue peut-être le meilleur de nous-même-
Mais pour en revenir à ce trait de sa personnalité, il me parait évident que s'il te reprochait ton émotivité, c'est justement parce qu'il se la reprochait à lui-même. Ce que nous acceptons le moins chez les autres, du moins quand on a tant soit peu la volonté de s'améliorer, c'est justement ce que l'on voudrait pouvoir changer de nous-même et le voir chez l'autre est comme un reproche sans cesse renouvelé.
Tu dis qu'il ne l'a pas compris. C'est certainement que moment n'était pas venu pour lui de le comprendre. Alors c'est certes assez tragique, mais tu n'y pouvais rien, rien de plus que ce que tu as tenté.
Est-ce que le moment viendra un jour ? Peut-être pas. Mais peut-être qu'il trouvera à s'entourer de personnes pour qui ce "défaut" sera de moindre importance que ça l'était pour toi. Des gens pas forcement insensibles, mais des gens qui le comprendront et qui sauront s'en satisfaire parce que ça ne rendra pas leur relation douloureuse ou inéquitable.
Et toi ? Evidemment que tu trouveras des constructeurs qui n'attendaient que tes planches pour l'édification de leur grand projet !
Ça ne sera pas aussi facile que pour le premier venu parce que la majorité des gens se contente de relations plus superficielles. Disons ce qui est : ils ne sont pas comme nous.
Tu sais, moi, j'ai rencontré ma meilleure amie il y a une dizaine d'années et ça fait moins d'un an que j'ai compris pourquoi c'était elle, pourquoi c'était moi, ce que nous avions en commun, ce qui faisait que j'était différente des gens parmi lesquels j'ai évolué durant toute ma vie, des gens qui me faisaient sentir si inadaptée. Et ça fait moins d'un mois que je me suis inscrite sur ce site.
Alors regarde tout le temps que tu as déjà gagné par rapport à moi !
Et plus tu rencontreras de personnes "normopensantes" ou non, plus tu auras d'interractions bonnes ou mauvaises et plus tu te connaitras, plus tu sauras le genre de relations qu'il te faut, le genre de personnes avec qui tu te sentiras en paix avec toi-même.
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