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- Colère des enfants --> hurlements de maman...
Help !! Ma fille de 4 me fait sortir de mes gongs 😱 Elle pique une colère plus ou moins forte pour tout, absolument tout !! Elle passe son temps à dicter SES règles et forcément elle n'accepte pas que je ne les suive pas. Elle fait pareil avec tout le monde et en devient insupportable, je vois bien que les gens sont polis mais ne la supportent pas 😭
Des exemples juste aujourd'hui depuis la sortie de l'école :
Elle décide qu'on va acheter une sucette à la boulangerie..... que j'ai refusé
Elle refusait de me donner la main pour traverser et hurlait que je lui faisais mal (alors que pas du tout, je ne serrais pas, j'ai une technique pour fermer ma main sur son avant bras juste ce qu'il faut pour qu'elle ne puisse pas glisser sa main)
Elle a droit à un verre de lait le soir mais d'abord elle doit boire un verre d'eau. C'est comme ça tous les soirs à table depuis des années.... Elle a négocié un verre de lait à côté de son verre d'eau sinon elle ne boirait pas son eau.... J'ai refusé sinon elle aurait bu son lait avant. Hors c'est la règle : de l'eau avant le lait, point barre 😡
Et pour finir, toujours à table, elle me réclame un gilet parce qu'elle a froid. Le repas est fini et elle va au lit donc je lui dis qu'on va vite mettre le pyjama et se mettre au chaud pour se réchauffer (il aurait fallu que j'aille dans la chambre chercher le gilet et elle avait fini de manger !). Re-colère, elle tape sur la table, négocie (une couverture alors ? Mais juste un petit gilet ? Ou alors.... 😵 )
J'ai hurlé ...
Elle me pompe toute mon énergie. Et à côté il y a sa petite soeur de 3 ans qui a aussi son caractère et son énergie. Elle est loin d'être comme sa soeur mais je dois malgré tout me dédoubler dans tout ce que je fais et je n'en peux plus de toutes ses négociations, ses refus, ses colères, ses cris. Je cris pour me faire écouter et marquer la fin de la confrontation, sinon c'est sans fin.
Je réponds, j'explique, j'arrête de discuter, je chuchote, je la prends dans mes bras pour gérer sa colère ensemble, j'ai des gommettes pour féliciter .... Je ne peux pas aller dans une autre pièce pour me calmer car elle me suis (et pour traverser la rue il n'y a pas de solution, elle DOIT me tenir la main, c'est pas négociable).
Bref, si vous avez des idées je suis preneuse, vraiment 😥
J'en ai mal au crâne là tellement j'ai hurlé fort 😵
"Elle refusait de me donner la main pour traverser et hurlait que je lui faisais mal (alors que pas du tout, je ne serrais pas, j'ai une technique pour fermer ma main sur son avant bras juste ce qu'il faut pour qu'elle ne puisse pas glisser sa main)"
dis-lui que tu l'aimes avec des yeux plein d'amours
généralement 'ça les fait redescendre sur terre'.
Déjà essayé aussi, et lui dire que je sais qu'elle est grande et capable de ne pas s'énerver ou qu'on va faire partir la colère ensemble (parce qu'elle n'aime pas être comme ça et n'aime pas quand je crie aussi, elle dit très bien ce qu'elle ressent), elle me tourne le dos et grogne .... 🙄
@Aurel ... Oups, je viens de voir qu'il y a une partie du forum réservée à la parentalité. Si tu veux déplacer le sujet 😶 désolée.....
Je n'aurais qu'une idée : se faire aider, association, ou spécialiste des enfants. Un tiers ça aide beaucoup.
Comme Koba oui,ne reste pas seule Caro!!!
On en a beaucoup beaucoup bavés les quatres premières années de la vie de notre fils !
Et on étaient les deux parents ensemble.
Des conseils tu peux en recevoir par milliers, mais de la vrai aide,ce n'est pas la même.
Il n'y a pas des associations d'aide aux parents vers chez toi?
Et aussi, règle numéro un,ne culpabilise pas,
Règle numéro deux,un parent parfait ça n'existe pas.
Respire Caro,et ne reste pas seule.
Déjà fait aussi 😥 même un psy, les colères avaient cassées, mais depuis 3 semaines c'est reparti...
Je précise qu'elle fait des colères (très fortes) depuis ses 1 an ... Donc c'est pas nouveau.
Elle peut partir pour rien, sa soeur qui chante dans la voiture, une balade qui s'arrête, tout tout tout 😭
Je me dis que c'est de l'impossibilité à gérer ses émotions, peut être de l'hypersensibilité, mais c'est beaucoup trop tôt pour le dire. C'est juste une piste que j'explore "au cas où".
J'ai édité deux règles que tu as dû zapper plus haut,vu le temps de ta réponse Caro 😄
Si un Psy ne marche pas, peut être un autre ?
Hypersensibilité oui,ou tdah aussi peut être,ou plein d'autres choses.
Mais au final,la fatigue entraine la fatigue,qui n'emmène rien de bon.
Un psy tout seul ne suffit peut être pas pour l'instant,il te faudrait une association en plus.
Il te faut reprendre des forces Caro.
Merci beaucoup @zozotte je vais me renseigner demain sur les asso (coeur avec les doigts)
👍
Et tu sais Caro,ta fille cherche l'attention,tu le sais déjà peut être.
Elle a sûrement ses raisons,tu les découvrira sûrement en temps voulu.
Mais tu as deux filles, seulement deux bras,et pas de boutons marche arrêt, ça ne marche pas ça, j'ai déjà essayé !😄
Bref tu fais ce que tu peux, et c'est énorme.
Mais il ne faut pas rester seule non, pour toi comme pour tes filles.👍
Hello ....je ne sais pas si cela existe pas trop trop loin de chez toi ... mais dans ma ville, Tourcoing, il y a des " Atelier - parentalité " une fois par semaine dans chaque centre social, gratuits et assurés par une assistante sociale formée aux problématiques educationelles. .
C'est une action mise en place par le CCAS.
Tout ça pour te dire que tu pourrais te rapprocher de ton CCAS ...ou de celui d'une grande ville proche ...si ce type d'atelier n'existe pas dans ta ville...
C'est peut être une piste ...
Et bien-sûr, reste toujours la possibilité de postuler au casting de l'émission : " Super Nanie "
[ euh ...smeyley qui fait un clin de z' yeux ! ]
Ceci dit ... Peut être visionner des Replay de cette émission ?
Kissy
"Je précise qu'elle fait des colères (très fortes) depuis ses 1 an"
pas nécessairement un lien direct, mais l'apparition ou l'aggravation des colères à partir de cet âge précis n'est pas forcément totalement lié àa cet âge-ci, à son stade de développement, mais bien à cette modification de son environnement, à savoir l'arrivée de la petite soeur.
Rappelle-lui ou dis-lui par exemple que le fait qu'elle ait (eu) une petite soeur ne diminue pas ton amour pour elle, même si tu es de facto un peu moins présente auprès d'elle, car sa soeur est encore plus petite qu'elle et que tu dois t'en occuper aussi.
Tu peux essayer de la responsabiliser en lui demandant de t'aider pour sa soeur (même si c'est symbolique); ça lui montre à la fois qu'elle n'est pas mise à l'écart, que sa soeur est effectivement moins capable / autonome qu'elle, ça lui donne de confiance en elle, ça peut resserrer ses liens avec sa soeur etc...
On dit souvent que les gamins, certains gamins, aiment tester les parents, les adultes, les autres, tant pour connaître les ( les leurs et celles des autres) limites que pour évaluer l'impact de ce qu'ils font / disent.
Un truc dont on ne tient pas forcément compte est que peut s'y adjoindre, ou se substituer, un problème ou une incapacité à verbaliser ce qu'ils ressentent et / ou ont dans la tête. Et ce, à tout âge. Moins vrai pour les adultes - et ça ne se manifeste pas de la même façon - évidemment, mais ça persiste tout le long de la vie, on a tous des trucs qu'on ressent - fortement - sans arriver forcément à les formuler, les verbaliser.
La colère de l'enfant dans ces cas-là peut-être un moyen de le faire. Ce n'est alors pas qu'un moyen d'exprimer sa contestation, de tester l'adulte, voire pas du tout. Mais l'expression de ce qu'il n'arrive pas à verbaliser, et /ou l'expression de sa frustration à ne pas réussir à verbaliser, à se faire comprendre. Je veux dire par là que sa réaction est dirigée vers lui plus que vers l'adulte, même si celui-ci ne le prend pas comme ça.
Un dernier point:
je ne sais pas quelle est ta situation par rapport au père ( ou papa) de ta plus jeune fille ( ou des 2 si c'est le même), mais ça serait sans doute bon, s'il est présent d'une façon ou d'une autre dans la vie de ta fille, que lui et toi vous accordiez sur la manière que vous avez de réagir à ces colères: car ton enfant jouera sinon ( en plus) forcément sur les différences de réactions de l'un et de l'autre.
Regarder l'accompagnement proposé par les acteurs et structures pro, enrichir son environnement de ressources complémentaires telles que certains accueils de loisirs et associations peuvent les porter... Si cela te dit et convient @Caro43, nous tenir au courant et poursuivre l'échange vis-à-vis (et avis 🙂) des soutiens potentiels que tu trouves ou rencontres pourrait être chouette, pour les autres mais pour toi aussi (il est déjà délicat de trouver chaussure à son pied... alors quand c'est pour plusieurs pointures 😉...)
Car donner des idées / astuces sans passer par la case "Éducation" est compliqué... Et parler d'éducation l'est aussi, compliqué, difficile, délicat, surtout lorsqu'il s'agit de ses enfants...
En attendant, pour le volume et les colères, tu peux peut-être essayer : de dire à ta fille que lorsque "le son" est trop fort, tu ne comprends pas ce qu'elle dit car cela te fait mal aux oreilles... et sur un ton calme, toi aussi, lui demander de répéter plus doucement pour que tu puisses entendre ce qu'elle veut... jusqu'à ce que les cris se transforment en échange... En quelques sortes, amener ta fille à comprendre que c'est en s'exprimant différemment qu'elle se fera entendre et que les cris ne doivent être utilisés que pour les peurs ou dangers. (attention, dernière partie de phrase importante et indispensable car si l'on ne prend pas soin de donner cette précision, l'enfant pourrait imaginer ne pas devoir crier lorsque cela s'avère nécessaire !)
Pour ce qui relève de ton autorité : si tu considères que les relations avec un enfant sont les mêmes qu'avec un adulte, tu peux la faire participer à la prise de responsabilité (ex passage clouté: "on prend soin l'une de l'autre en se tenant la main, on regarde toutes les deux à gauche, à droite...) ; si tu considères que l'enfant peut et doit te faire confiance, suivre tes demandes sans vouloir imposer son avis, tu peux lui expliquer que tu es là pour l'accompagner et la protéger (passage clouté : non négociable pour l'instant car c'est trop dangereux pour tout le monde, on fera différemment quand maman pensera que c'est possible) ; si tu considères que... ce sont des exemples...
🙂
Merci à tous pour toutes ces propositions. Grosse journée aujourd'hui, je prends le temps de vous répondre ce soir.
Vraiment c'est cool, j'ai déjà de nouvelles pistes 😍
Bah j'ai le même à la maison : 4 ans tout juste. Après moultes recherches, j'ai fini par imprimer un combo de "trucs" à ne pas oublier dans la cuisine (évidemment, plus l'enfant est performant, plus les règles doivent être répétées, encore, encore, encore... et moins tu as de marge/souplesse dans ton éducation car il snippe TOUTES tes incohérences et te les renvoie en pleine face 😅) :
La période des 4 ans ou « fucking fours »
La période des « fucking fours » ou « petite crise d'adolescence », est principalement caractérisée par des crises de colère, des négociations, de la bouderie, des paroles blessantes envers l'adulte et de la confrontation face aux limites instaurées par l'adulte.
Elle est quand même relativement non loin de la période des terribles 2 ans où les enfants contestent, protestent et tentent par tous les moyens de s'affirmer. Ce qui pourrait différencier grandement les deux périodes, c'est l'accès au langage et à un plus grand vocabulaire à 4 ans. À 2 ans, le vocabulaire se limite à quelques mots; les manifestations sont donc plus motrices que verbales. C'est d'ailleurs à cet âge que nous voyons une augmentation des « agressions physiques » dans la petite enfance. À 4 ans, les enfants s'expriment relativement bien et deviennent des maitres dans l'art de l'argumentation et de la négociation, sans oublier les paroles blessantes qu'ils utilisent quand ils sont fâchés.
Passer du temps en tête-à-tête avec son enfant Une bonne relation demande qu'on lui consacre du temps, qui plus est lorsqu'il s'agit de ses enfants. « 20 minutes par jour suffisent, même cinq. Il est possible d'associer ce temps partagé à une autre activité, comme chanter en faisant la vaisselle par exemple, ou discuter en étendant le linge », ce qui importe c'est de porter son attention sur l'enfant. Éteignez votre téléviseur, coupez votre portable, mettez-vous à leur niveau et passez du temps uniquement avec eux.
Insister sur le positif... En tant que parents, nous prêtons souvent davantage attention aux aspects négatifs du comportement de nos enfants, que nous ne manquons pas de leur faire remarquer. Ces derniers, pouvant y voir un moyen d'attirer notre attention, ont alors tendance à perpétuer leur mauvaise conduite plutôt qu'à y mettre un terme.
Pourtant, les enfants adorent qu'on les complimente : cela leur permet de se sentir aimés et uniques. « Soyez attentifs aux moments où votre enfant fait quelque chose de bien et félicitez-le, même s'il ne s'agit que de cinq minutes passées à jouer calmement avec son frère ou sa soeur. Cela encourage chez lui l'envie de bien se comporter, et vous évite ainsi de multiplier les rappels à l'ordre ».
Fixer des règles claires « Dire à son enfant ce qu'on attend précisément de lui s'avère beaucoup plus efficace que de lui dire ce qu'il ne doit pas faire. Quand on demande à un enfant de ne pas faire de bêtises, ou d'être sage, il ne comprend pas nécessairement ce qu'on attend de lui. À l'inverse, des instructions claires, telles que "ramasse tes jouets et remets-les dans la boîte, s'il te plaît", lui indiquent précisément ce qu'il doit faire et augmentent les chances que l'enfant fasse effectivement ce qu'on lui demande ».
Il est important de fixer des règles raisonnables. Exiger d'un enfant qu'il ne fasse pas de bruit pendant des heures semble compliqué, mais c'est envisageable pendant les quelques minutes dont vous aurez besoin pour passer un appel. On sait de quoi nos enfants sont capables, il faut simplement en tenir compte et ne pas leur demander l'impossible.
Distraire de manière créative
On peut réorienter l'énergie de l'enfant vers un comportement positif. Le moment auquel on intervient est primordial. Pour éviter le caprice, il convient d'être attentif au comportement de l'enfant pour pouvoir agir dès que les choses s'enveniment. Déceler l'instant où l'enfant commence à s'agiter, à s'énerver ou à convoiter le même jouet que son frère ou sa soeur permet en effet d'agir avant que la situation ne dégénère.
Sanctionner dans le calme
Grandir consiste, en partie, à comprendre que les actes sont suivis de conséquences. Expliquer cette relation de cause à effet à un enfant est un procédé assez simple pour l'encourager à mieux se comporter tout en lui enseignant la notion de responsabilité.
En expliquant à votre enfant les conséquences auxquelles il s'expose s'il ne se comporte pas bien, vous lui laissez une chance de bien faire. Par exemple, vous pouvez lui dire que s'il n'arrête pas de gribouiller sur les murs, vous mettrez un terme à son temps de jeu. Ce faisant, vous le prévenez tout en lui laissant une chance de modifier son comportement.
S'il n'obéit pas, appliquez la sanction calmement, sans montrer de colère. Et félicitez-vous lorsque vous y arrivez, car ce n'est pas facile.
S'il obéit, en revanche, félicitez-le : ainsi, vous créerez un cercle vertueux pour votre enfant. Cette méthode de sanction dans le calme permet ainsi aux enfants de savoir à quoi s'attendre quand ils ne se comportent pas bien.
Par ailleurs, la parentalité requiert d'être cohérent. C'est pourquoi il est très important de s'en tenir aux sanctions annoncées, lesquelles doivent par ailleurs être réalistes. Par exemple, si confisquer le téléphone de votre adolescent pendant une heure est envisageable, le faire pendant une semaine entière risque d'être difficile à tenir.
Mettez rapidement un « stop » à la négociation... Faites attention de ne pas vous embarquer dans une escalade de conflits.
Maintenez vos limites... Vous avez instauré des limites à 2 ans, 3 ans... maintenez-les à 4 ans également. Vous devrez même probablement augmenter la rigueur au niveau de la constance, car les enfants se rendront vite compte de vos petites erreurs et sauront très bien vous les rappeler.
Donnez-leur des responsabilités. À cet âge, les enfants ont vraiment besoin de se sentir comme les grands. Pour augmenter ce sentiment, donnez-leur des responsabilités qu'ils seront capables de réaliser.
Donnez des choix aux enfants pour leur donner le sentiment d'avoir du pouvoir. Utilisez cette technique pour atteindre votre but, mais tout en leur laissant un certain « pouvoir » de décision. Ces petits futurs premiers ministres vous aimeront si vous leur donnez l'impression qu'ils peuvent prendre des décisions.
Faites équipe avec les enfants. Le style démocratique, bien qu'il soit à prioriser pour toutes les tranches d'âge, est, dans cette période, « presque » nécessaire. Discutez avec eux et prenez certaines décisions en leur demandant leur avis. Ils auront moins envie d'argumenter si les décisions viennent en partie d'eux.
Surtout, n'oubliez jamais que chaque stade est nécessaire et que chaque crise de développement est essentielle pour construire la personnalité de l'enfant. Prenez de grandes respirations et dites-vous que vous êtes un agent important qui permet aux enfants de grandir, s'épanouir. Rappelez-vous aussi que toute crise développementale finira par passer...
Courage et patience ! 😉
@coramouh 😍 que de super conseils !! Comme je le disais ce matin la journée a été longue donc je prends le temps de vous répondre à tous plutôt demain finalement 😅
Ce qui me rassure c'est que j'applique déjà une grosse partie de ce que tu proposes @coramouh, parfois certes pas de façon régulière, donc il va falloir que je m'applique. Mais au moins je n'ai pas tout à reprendre 😅
Aujourd'hui elle était "seule" avec moi, sans sa soeur en tous cas, mais avec sa grand-mère en plus, et elle a été adorable, elle essayait de négocier ou montrer son mécontentement mais n'insiste outre mesure. Ça fait du bien ! Elle a donc pu avoir une gommette de félicitations pour son comportement 👍 et au coucher tout le monde est détendu.... Ça fait du bien 😍
Bonne soirée à tous !
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