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- Humour noir: une société faite par et pour les laminaires!
Les neurotypiques sont formatés pour être en admiration devant les laminaires, lesquels tiennent le haut du pavé! Les laminaires sont aidés dans toutes les étapes de leur vie: études, emploi (ingénieur) et rencontres. Le jeune couple laminaire,électeur LFI; lui ingénieur, elle commerciale,s'établit à 25 ans, fait des emprunts, et se retrouve rapidement à la têtre d'un petit patrimoine, ce qui l'amène à un vote plus gouvernemental. voir la vidéo
Pour les zèbres=complexes, au contraire, aucun avantage, ils doivent construire leur étude, leur emploi, leur rencontre, sans compter sur personne. Leur énergie, est consacrée à 60% à ne pas se laisser emporter par le courant laminiare, sui ne peut rien leur apporter, ils sont souvent épuisés!
@Laurent-Mourillon Je trouve-trouvais tes propos un peu carcicaturaux, bien que...
En cherchant à comprendre ce que tu voulais dire par "laminaires" (pourquoi parler des algues laminaires -si bien connus en Bretagne ?! 😄 ), je suis tombé sur ça * et là effectivement ! Je comprends un peu plus ton point de vue ! Je mettrai en parallèle l'émission de la télévision suisse que j'ai pu poster sur les deux types d'HPI posté je ne sais plus où ici.
Non pas que je doute que je ne puisse pas d'apprendre grand chose à propos, mais je pense aux lecteurs qui pourraient être intéréssés par ça. 😉
*
Les deux formes d'expression de HPI...
PS : Ah bah c'est bien ! Renaud a au moins une certaine lucidité sur lui ! 😄
Salut @Siryack7 Il y a des définitions officielles des Complexes et des Laminares . Pour moi laminaire signifie intelligence limitée ou "laminée".
Si tu veux, le Réel est très complexe, les Complexes cherchent à l'appréhender le plus possible, et n'arrêtent pas lors de leur vie limitée à remettre en question ce qu'ils savent, pour toujours coller de plus près au Réel. Le laminaire au contraire, au bout d'un moment, estime qu'il en sait assez, et passe à l'Application. Avantage; il profite mieux de la vie que le complexe, qui passe sa vie à chercher. Inconvénient, les élément clés de compréhension du Réel se situent souvent dans la partie délaissée par le lamainaire. Donc le laminaire passe à côté du Réel!😀 😀
ok merci pour ta contribution @Laurent-Mourillon. :) J'y vois un peu plus clair.
Je suppose que ça te parle particulièrement ?! Complexe, n'est-ce pas ?! 😉
J'avoue ne pas vouloir trop m'intéresser à a ce "phénomène " d'HPI, l'entre-soi ne m'intéresse pas trop, l'humain -en général- m'interpelle.
Et j'avoue avoir du mal avec cette démarcation entre "neurotypiques" et "neuroatypiques"... (Les personnes ayant un TSA -Trouble du syndrome autistique- sont aussi des atypiques, comme les déficients intellectuels ?!)
Nous sommes tous humains, c'est déjà une sacrée tarre ! 😄
Salut @Siryack7! Je ne suis pas dans la revendication identitaire! J'aime, j'aide et fréquente tous les humains!
Mais si tu veux, à mon âge, j'ai juste décidé d'enlever le masque, et de parler franchement! Je sais que être soi-même n'est pas facile, mais ne pas l'être est juste impossible!
Ma "revendication" est pourtant basique: accéder aux 5 besoins de Maslows (en particulier le 5e élément), mais à chaque fois que j'essaye, j'ai l'impression que c'est toute la société qui s'oppose à moi. Avant je ne me sentais pas la force de l'affronter, et depuis quelque temps si!
En ce qui concerne les HQI, il semble qu'une grande majorité, ne s'assument pas comme tels et comme moi auparavant se cachent sous un masque! Mais finalement, les gens sentent qu'on est faux, et on y perd plus qu'on y gagne. Pourquoi avoir peur?
Pour les gens ayant un QI<110, le mot neurotypique ne convient pas, car ils peuvent être déséquilibrés et donc neuroatypiques.
Quel mot utiliser? Le meilleur mot me semble "parcellaires" parce qu'ils ont vu que terre à terre des choses. Pour eux tant qu'une chose est en projet (abstraite) elle n'existe pas, elle ne devient réelle, que quand elle s'incarne dans la matière!
Perso, je dis "la plupart des gens" pour les typiques. Ça me gène un peu tous ces termes, neuro-ceci, normo-cela... parcellaire pourquoi pas mais pour quoi faire ? Étiqueter, catégoriser, caser, enfermer ? Ouais bof...
Et les moins de 70 alors ? ils ont une case aussi ? Ils sont pas moins atyîques que l'élite (sarcasme). On pourrait trouver un mot tous les 20 points de QI aussi, tant qu'à faire.
Et à lire tout "ça", rire sur les je-"nous" de ces laminaires tatillonages 🥴
Donc la suite 😀
voir la vidéo
Critères. Des cris à terre ? D'écrits à taire ?
Cela dit, c'est amusant de voir les modes et les évolutions des classifications. Dans un autre genre,
voir la vidéo
@Kumo plutôt des cris à taire, tout le monde est différent, avec des niveaux de consciences différents, une vivacité différente, etc. Ca va faire beaucoup de critères...😂
citation :
"... une maison avec des tas de fenêtres, avec presque pas de murs... et qu'on vivra dedans, et qu'il fera bon y être... et que si c'est pas sûr, c'est quand même peut-être...Chacun de nous est responsable de chaque mur.
On peut les détruire ou s'en servir, se battre pour les exploser ou les escalader pour aller plus loin et/ou plus haut... Ce n'est pas le statut qui fait la différence, c'est l'intention.
En construire d'autres, murs, te fera perdre du temps @Laurent-Mourillon ... 😉
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Je me permets une autre citation pour donner de l'espoir quand à la prise en compte progressive du caractère unique de chaque vie, par les humains eux-même, pour montrer que quoi qu'on en dise ils progressent 😄. C'est un extrait de la présentation du livre "Guide critique de l'évolution" proposé par Paradox sur un autre fil. Même si ce n'est pas le sujet, son caractère "universel" me semble pertinent ici car inspirant...
citation :
Le dossier « Variation » discute la prégnance de la notion d'espèce dans notre perception des êtres vivants : l'idée essentialiste de faire entrer les êtres vivants dans des catégories nommées « espèces » occulte la variabilité des individus. Or, « la variation, c'est le carburant du vivant. C'est son assurance pour l'avenir. Une espèce qui ne possède plus de réserve de variant est condamnée. » Cette variation se manifeste à l'échelle de l'organisme mais aussi à l'échelle des cellules et des molécules, par une variation stochastique, c'est-à-dire liée au hasard, de l'expression des gènes. Elle s'exprime aussi à l'échelle des comportements (on parle de variation culturelle).
citation :
Comment appelle-t-on un alcootest en terme culinaire ?
Un soufflé aux amandes.
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Quelle est la différence entre un GENDARME et une cocotte-minute?
Il n'y en a pas car pour tous les deux, dès qu'ils sifflent, c'est cuit !
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Un gendarme fait stopper une automobile
- Vous n'aviez pas vu le feu rouge ?
- Si si. C'est vous que je n'avais pas vu .
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C'est un GENDARME qui fait signe à un automobiliste de s'arrêter et qui lui dit :
- Bonjour, GENDARMERIE nationale.
Et l'automobiliste lui répond :
- T'avais qu'à travailler à l'école .
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Ça se passe dans la Corrèze. C'est le grand jour car le fils aîné d'une famille de fermiers va à la ville passer les examens pour devenir gendarme. Il revient tout fier le soir :
- Papa, papa j'ai été reçu, je suis gendarme.
> > Le père :
- Milmiliard d'vindiou faut fêter ça !!! Mais qu'est ce qu'il t'ont demandé ?
- Ils m'ont demandé combien faisaient 3x7 et j'ai répondu 20.
- Mais sacré nom d'une pipe 3x7 ça fait 21 !
- Peut-être papa, mais c'est moi qui étais le plus près du résultat !
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Un peu de sobriété SVP
Dans un café parisien , un homme est en train de s'enivrer en buvant cognac sur cognac.
Une dame qui se trouve à la table voisine lui dit :
- Monsieur, vous devriez arrêter. Songez que chaque année, l'alcool tue plus de trente mille Français...
Et l'autre répond :
- Je m'en fous, je suis belge !
> > -o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o
« Docteur », demande la femme inquiète,
« Mon mari peut-il encore faire l'amour maintenant qu'il a fait un infarctus ».
« Certainement madame, répond le médecin, mais uniquement avec vous, car il ne faut absolument plus qu'il s'excite. »
@Laurent-Mourillon et @Siryack7, je reprends le post initial même si l'initiateur n'est plus sur le site, pour dire que c'est aussi mon sentiment. Très hétérogène, je vois les laminaires autour de moi, et encore un hier (qui s'ignore d'ailleurs mais qui n'a aucun besoin de le savoir car la vie suit très bien son cours pour lui). En effet, je vois une facilité chez lui déconcertante à réussir, à fédérer, à créer du liant, à être accepté et même recherché, à initier, à créer. Il plaît et doit apprendre à dire non à toutes les sollicitations. J'ai lu le livre de Fanny Nusbaum et il colle parfaitement au profil laminaire. Et moi au profil hétérogène. Je vois comment il agit et même si je voulais le copier, je n'y arriverais pas. Il y a un énergie solaire qui se dégage des laminaires alors que moi, je suis dans une énergie lunaire. Et cela ne tient pas au genre car je connais des femmes solaires et laminaires aussi. Elles avancent dans tout sans obstacle semble-t-il. Alors que moi, c'est comme si dès que je bougeais, les obstacles se mettaient en place. Ma théorie, c'est la différence de développement depuis la naissance. Le laminaire a une légèreté de vie que je n'arrive pas à avoir. Pour tester ma théorie, j'ai pris un sujet léger pour moi, voire un non-sujet : le physique, l'apparence, l'esthétisme corporel. Mes parents ont toujours trouvé leurs enfants beaux et nous l'ont fait savoir. Résultat, ça n'a jamais été un sujet pour moi et je le sais dans la façon dont j'ai mené ma vie et où cela pouvait intervenir. Que ce soit vrai ou non, je me comporte comme une "belle" personne et n'ai pas honte de mon corps. Je n'ai pas de trauma de développement à ce niveau-là. Mais j'en ai d'autres. Et la seconde partie de ma théorie repose sur le fait que si je n'avais pas ces traumas, je serais peut-être normopensante. En même temps, si je suis traumatisée, c'est que je suis peut-être "trop sensible" aussi. Donc, impossible de savoir qui de l'oeuf ou de la poule en 1er mais quoi qu'il en soit, je pense que résilier ses traumas, si tant est que cela soit possible, sans garder de trace résiduelle (un ancien "gros" qu'on a maltraité dans son enfance y arrive-t-il ? Un ancien alcoolique y arrive-t-il ?....) pourrait conférer cette légèreté et cette "laminarité"....Quoi qu'il en soit, j'avoue : j'envie les laminaires.
@Tiptoe ...Merci à toi de m'avoir fait découvrir ces deux types de
" vignettes Panini " !
Cela va pouvoir enrichir ma collection personnelle ...j'en ai déjà tellement !
Le hic est que l'adhésif ne tient plus, pour toutes, passé un " certain temps", 71 ans pour moi ...
Ne voulant pas mourir idiot ...( ni tout suite, d'ailleurs ...( c'est pas dans ma liste de tâches du jour ...)) , j'ai interrogé Monsieur Web .
Et boum ... v'là que je suis un mixte des deux : lamino-complexe, complexo-laminaire ou à " l'heure bleue" ... soit quand le soleil a rendez-vous avec la lune ? ( chanson connue)
Comment vais-je survivre à cette angoisse existentielle ?😅
Ci dessous un lien riche d'infos sur le sujet, pour éclairer la lanterne de celles et ceux dont les piles de la lampe de poche sont trop faibles ...
https://elodiecrepel.com/le-profil-laminaire-et-le-complexe/
@Tiptoe "si je n'avais pas ces traumas, je serais peut-être normopensante"
Tu laisserais presque penser que le trauma crée le HPI.
Heureusement que non. Et que le HPI peut être affecté par les traumas - le non HPI aussi -, mais n'en vient pas.
Certains seraient capables de chercher le trauma comme d'autres cherchent la potion magique.
@gilde
c'est bien (ou pas) de ne pas aimer les étiquettes, mais à rejeter toutes les étiquettes on finit aussi par ne plus savoir de quoi l'on parle, et un plan de tomates devient vite un plan de courgettes à ce petit jeu là.
@gilde Nous n'en sommes pas tous au même stade de découverte de nous-mêmes. Personnellement, je vois une très grande dfférence entre les 2 profils. Et je comprends désormais le besoin du post initial. Si tu ne ressens aucun intérêt à mon commentaire, si ce n'est pour le dénigrer "avec humour (ben oui, "sérieusement", ce serait vraiment "méchant", donc on pâtine d'humour et de nonchalance), pourquoi commenter sans rien apporter... ?
@Roth Je ne dis pas du tout que le trauma crée le HPI. Je m'interroge sur la possibilité que le trauma crée le profil très complexe. Et je ne suis pas la seule. Je fais une distinction entre les 2 profils, tout comme on fait une distinction entre le TSA et le TDAH par exemple. Pour ce qui est de chercher le trauma comme une potion magique, je ne comprends pas du tout cette remarque. Comment quelqu'un pourrait chercher à souffrir ?
@Tiptoe j ai aussi ce questionnement qui n aura certainement jamais de réponse , à laquelle on m a souvent répondu " un peu des deux" ...
Mon premier trauma a été le jour de ma conception , fait dont ma mère a culpabilisé jusqu à ce que je lui en parle ( il y a 4 ans maintenant ) et dont j ai porté la culpabilité trop d années ... Donc déjà je n ai pas eu l' affection que devrait avoir tout enfant in utero à cause de l impossibilité de ma mère a pouvoir me l apporter ...
Me voilà arrivée dans un monde qui est pour moi agressif qui ne répond pas à mes besoins en terme affectif mais est ce que ce m'a PN que affectif est dû à ma personne " différente " ou est il réel ? Alors oui je pense que c est un peu des deux ...Je n étais pas dans un milieu affectif et sécurisant et mes besoins était du fait de ma différence plus " exigeants" que la plupart des enfants de la fratrie (8 , je suis nu.euro 3 mais aînée des filles ...)
Tu parles de légèreté chez le " laminaire" ( j aime pas toutes ces appellations ...) c est ce que tu vois toi à un niveau extérieur , mais n est ce pas que du paraître ? Seul lui le sait .
Qui te dit que cette personne n a pas traversé une multitude de traumas et qu il a appris à relativiser ... On voit beaucoup de personnes qui ont traversé de traumas et qui ont le sourire , bien souvent a l'intérieur c est une remise en questions perpétuelles , alliant la tristesse , le manque d estime de soi . On les croit forte de s être relevé, ou les dit très résiliants ... Mais personne n est en eux pour voir leurs tourments , le fait qu ils s épuisent à être dans une hyper vigilance constante ... ils paraissent forts mais ils sont des géants aux pieds d argile .
Les traumas c est comme le passé il faut apprendre à vivre avec et ne pas vivre dedans . C est compliqué mais on apprend .
@Tiptoe
je maintiens que "si je n'avais pas ces traumas, je serais peut-être normopensante" est équivoque. Sachant que normopensant = non HPI. Usuellement.
C'est pour ça que je me permets de te taquiner.
Je n'ai pas exploré ce que recouvraient les notions de laminaires et complexes, même si j'ai déjà parcouru la page où mène le lien qu'a mis glide.
C'est sûr que si tu ajoutes la composante profil émotionnel aux paramètres, et plus seulement la distinction profil homogène / hétérogène aux tests psychométriques, il y a de bonnes chances que les traumas affectent le profil, et encore plus quand les traumas ne sont pas traités.
Et peut-être plus les profils complexes, au sens donné par le lien, que les profils laminaires, du fait de la base émotionnelle sous-jacente différente.
La remarque sur la potion magique est juste en rapport avec le lien de cause à effet qu'induirait le trauma dans le cadre équivoque que tu as donné:
Partant de: traumas => non normopensant. Où non normopensant = HPI.
Et sachant qu'un certain nombre de personnes envient le HPI, chercher le trauma reviendrait à accéder à la potion magique ouvrant la porte sur le HPI.
Pure fiction évidemment.
Je crains d'avoir eté mal interprété 😥
@Roth :
Ce n'est pas que je n'aime ni ne rejette les étiquettes qui m'ont été attribué durant 15 ans de suivi psy par des professionels et donc par lesquelles je me suis longtemps défini moi-même, soit : TDAH, HPE, HPI, Puer Aeternus, Bipolaire, Dyslexique, Dysorthographique, Victime d'inceste et des syndromes : de Stokolm, de Cendrillon et de Diogène.
C'est plutôt qu'aujourd'hui, je ne suis plus envahi par le besoin antérieur de chercher à me définir.
Aucune de ces" étiquettes" ne m'apporte plus un sentiment d'existence, voir d'appartenance ... comme c'était le cas par le passé.
Je pense ... et je suis peut être là dans une croyance éronnée de l'égo ... être plus proche d'un " moi authentique et permanent " quasi bouddhiste que dans des " je suis" , suivis d'un qualificatif.
@Tiptoe :
Si je n'avais trouvé aucun intérêt à ta relance de ce fil de discussion ... je ne me serai pas intéressé à chercher à comprendre sur le web le sens de ces deux mots, nouveaux pour moi : laminaire et complexe.
De mon point de vue, je n'ai en rien " dénigré" ton commentaire , me positionant juste sur le thème ....
Si j'ai mentionné ton pseudo, ce n'était pour te répondre mais plus pour t'idiquer mon intérêt pour ton reveil de ce fil ancien.
À priori, le lien dont j'ai fait mention me semble un assez bon " apport" de ma part sur le sujet.
Quant à la forme " d'humour nonchalant" de ma part, sache que c'est parfois le mode d'expression décalée de ma part, veillant à éviter toute ironie ou méchantete gratuite....
[url=https://zupimages.net/viewer.php?id=23/38/w027.jpeg
[url=<a href=][/url]
citation :
"Octobre est un mois particulièrement dangereux pour spéculer en bourse. Mais il y en a d'autres : juillet, janvier, septembre, avril, novembre, mai, mars, juin, décembre, août et février."
Mark Twain - 1835-1910
citation :
Merci à Marco pour son humour . Cela me fait rire. Et par les temps qui courent, c'est tout benef'.😅
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