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- Cagnotte pour la libertaria au venezuela
Je me permets de faire passer un message d'un copain du Venezuela (après avoir demander la permission au grand manitou du forum).
Leur communauté appelle aux dons pour construire un hangar pour leur moulin à farine et leurs rencontres sociales alternatives. (vous connaissez sans doute l'extrême gravité de la situation financière au Venezuela)
Je sais pas trop si cet appel fera mouche ici mais puisqu'il me demande de faire passer le mot...
https://lalibertaria.contrapoder.org/fr/blog/2022/06/26/cagnotte-pour-la-libertaria/
Et pour info si ça vous touche, un article sur "Plus de 12 comunautés du Vénézuela dans une Rencontre pour impulser les énergies alternatives dans leurs territoires" organisé par l'Observatiore d'Écologie Politique où la Libertaria était présente.
https://www.ecopoliticavenezuela.org/2022/07/13/14161/
19 juillet. Tiens, je suis complètement passé à côté. 🤔
Merci @paradox.
J'ai donné une fois dans ma vie comme ça, pour un autre projet. Il s'agissait de financer la fabrication d'un quai en dur pour que des bateaux accostent. Une sorte de tout petit quai en béton dans un tout petit port, au bord d'un village d'étang, en Afrique. Sans ce quai, les personnes qui avaient besoin de traverser les eaux pour aller jusqu'à la grande ville devaient revenir seulement le lendemain. Et les conditions pour arriver à pieds secs étaient épiques. Notamment, tous les hommes qui travaillaient (les femmes et les enfants restants au village) ne pouvaient pas rentrer tous les soirs chez eux. Ils devaient trouver moyen de dormir en ville, souvent à même la rue. Ainsi construit, le quai a pu rapidement permettre jusqu'à 4 navettes par jour. 2 le matin, 2 l'après-midi. Le quotidien en a été transformé et les hommes rentraient ainsi facilement tous les soirs (et plus trop de tentation non plus d'aller dans les bars pour se saouler). Je me souviens d'avoir fait cela car, notamment, à l'époque, tout comme ces hommes, je travaillais sans même pouvoir rentrer chez moi non plus le soir. Parfois c'était du 48 heures, des fois, du 72. Mais en une nuit de plus, je touchais leur paie de plusieurs mois. Alors, j'ai donné, car je savais ce que ça coute psychologiqment de ne pas pouvoir rentrer chez soi, sans pour autant avoir un bon point de chute en ville.
Des bises.
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