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Après avoir longuement débattu avec moi même, je me suis finalement décidée à prendre mon courage à deux mains et à vous partager ici, sur notre forum le début de ma nouvelle en construction depuis plus d'une année. Nouvelle qui une fois achevée sera plus que probablement envoyée à une maison d'édition, ou disponible en auto-publication... Je ne me suis pas encore décidée sur la question.
N'hésitez pas à me laisser vos avis, vos ressentis... Bref tout ce qui pourra vous passer par la tête. Je suis preneuse de toutes critiques, toutes émotions tant qu'elles restent respectueuses et constructives 😋
X.O - INTERSTELLAIRE
Enfants des étoiles/
" Lost in a world you call your home, so cold and so alone.
You're stuck here waiting, underneath the satellites,
Searching for the answers underneath a foreign sky. "
Nebula - SoulExtract.
-0-
Au commencement il n'y avait rien..
Ces quelques mots résonnaient en moi sans réelle signification, puisqu'il n'y avait aucune liaison avec un quelconque savoir intérieur, si l'on peut réellement le qualifier ainsi, mais cela me semble être les mots appropriés pour l'heure.
Je l'ai connu, je l'ai goûté, je l'ai senti et vu.. Vécu.. Ce rien, le néant. Le vide absolu.
Ce n'était pas une émotion ni une sensation. Ce n'était pas non plus un sentiment, ce n'était pas même une pensée. L'effet n'était en rien explicatif puisqu'il n'existait tout simplement pas. Tout n'était qu'absence; plus aucune perception et aucune conscience de ne pas en posséder.
Ce fut précédé pourtant d'une très vive bien que très brève sensation de chute, de brisure descendante plus particulièrement, elle ne dura pas même le temps d'une microseconde.
Comme si la gravité se renfermait sur elle-même, s'anéantissant par engloutissement en son centre...
Puis la suspension, l'arrêt du temps superposé à son accélération en un même instant tout aussi court, statique, immuable dans ce qui ne possédait plus aucun sens; il n'y en avait pas besoin.
Cela n'avait pas d'importance et ne pouvait pas en avoir, il s'agissait de l'éther de l'inexistence. Je n'étais rien, je n'étais plus, pas même un corps, pas même une particule, pas même une vibration.
Car effectivement, il n'y avait rien. Peut-être au commencement, ou peut-être pas, puisque ce n'est tout simplement pas quantifiable.
J'ai toujours eu quelques théories concernant ma propre existence et celle de mon environnement, évoluant au fil de mon apprentissage de la vie. Et d'au plus loin que je ne me souvienne, j'ai toujours eu cette arrogante considération envers moi-même de songer connaître, au fil de mes découvertes, l'existence des choses et leur mécanisme, et ce, telle une vérité absolue. Ces choses non tangibles qui me paraissent faire défaut à la compréhension d'un bon nombre d'êtres vivants.
Une enfant peut être trop capricieuse dans sa soif de curiosité, dans sa quête de réponses constantes, du pourquoi et du comment absolu. L'unique, le parfait tout.
Je pourrais commencer par qu'est-ce que la vie, ou pourquoi la vie dans son sens le plus large? Pour quel but, comment? Il y a de nombreux points de vue à ce sujet, ils m'en viennent trois en exemple. Peut-être parce qu'ils sont ceux qui sont les plus répandus ou que j'ai le plus côtoyé au long de ma route.
- L'existence d'une ou plusieurs entités suprêmes, divines nous ayant offert la faveur d'une vie, décidant de nous accorder ou non de leur savoir à leur présence, leur aide même à leur convenance. Une ou plusieurs consciences supérieures à la nôtre.
- Les diverses théories concernant l'évolution de la vie après le big bang, un gigantesque mécanisme orchestré consciencieusement par l'énergie, les particules, le temps, la gravité, les atomes et autres photons et protons.. Et quelques adéquations mathématiques pour les plus cartésiens. Le tout, s'imbriquant dans des frontières définies et mesurables. Ou pas selon certains qui songeraient que ce serait le fruit du hasard, un concours de circonstances, de matières s'entrechoquant, créatrices des éléments que nous connaissons tous, offrant des aspects favorables à l'apparition de ce que l'on nomme la vie telle que nous la connaissons.
- Les extra-terrestres qui auraient rendu fertile et colonisé cette planète sans vie. Y laissant donc leur savoir plus évolué que celui qui est notre actuellement, et qui nous auraient par la suite offert la possibilité de pouvoir suivre leur trace, doucement mais sûrement selon ces théories considérées comme plus farfelues par l'avis général mondial, mais existante. Avec ou sans raison, ce n'est pas à moi d'en être juge.
Et si la réponse n'était au final qu'une simple et belle réunification de tout ce qui est énnoncé au-dessus et même davantage encore?
Mais comment considérer que l'existence se résumerait en son entier par ces faits intimement liés et en parfaites oppositions?
Humains, extra-terrestres, divinités... Et autres hypothèses.. Nous avons tous ce besoin tout à fait concret, nécessaire et existentiel de devoir donner des noms à ce qui ne peut en posséder vraiment; l'incompréhensible. Il réside en chacun de nous ce devoir de l'empaqueter, le quantifier, le limiter et ce de la manière qui nous paraît être la plus en adéquation avec nos propres choix et désirs. N'y a-t-il pas de sentiment plus humain que celui-là? Vouloir donner un sens à la vie, un sens à toute chose, s'y incluant nous même?
La réponse pourrait être aussi emplie et à la fois vide de sens que celle qui fait rage dans certains milieux: 42.
Je vais la prendre en exemple, sur un ton bien moins sérieux bien entendu, et parfaitement humain, mais pleine de significations si l'on se penche davantage sur l'autre côté de la face. Voir au delà du centre de la boite.
Cette réponse, 42, ne possède aucune logique et n'est objectivement en rien une réponse quoiqu'elle puisse en former une par des symboles significatifs, par des tracés géométriques, des lettres manuscrites, un système de codage..
Par une interprétation connue en somme puisqu'elle réside en une réponse mathématique, quantifiable. Mais elle n'en est pourtant pas moins oui... vide de sens, puisque aucun calcul ne pourrait y apporter une explication scientifique, comment résumer la vie par un simple nombre et pourquoi ce nombre-ci? Où est donc la logique? Serait-ce divin? Serait-ce scientifique? Serait-ce simplement hors de porté de notre savoir?
Ou serait-ce simplement que la réponse n'existe tout simplement pas puisqu'elle forme un tout? C'est bel et bien cette question-ci qu'il faille retenir.
Des neurones qui grillent, des babines haussées et cette phrase, " Cela ne veut rien dire, ce n'est pas logique". Je la pense, je l'ai régulièrement dans ma tête et pourtant oui, la vérité est : il n'y a aucune logique, mais ce manque de logique reste une logique.
Cela ne rejoint-il pas cette histoire de foi et de miracle? L'imaginaire n'est-il pas finalement ce qui crée l'univers? Ou est-ce bien l'univers, les univers qui créent notre imaginaire? Et si l'un n'allait pas sans l'autre? Si tout ceci était tout simplement indissociable puisqu'il ne formerait qu'un tout, un tout de rien.. Un rien de tout.
Je ne prétends pas détenir la vérité de ce monde, je ne prétends pas que mes certitudes, mes mots, possèdent plus de valeur et d'exactitude que d'autres. Elle est somme toute personnelle, émotionnelle, physique et énergétique. Elle n'appartient qu'à moi, n'a de vécu que pour ma propre existence.
Elle s'accompagne de solitude, de silence, d'introspection constante, d'observation passive et parfois active, de réflexion et de recherches. Pour autant que je le sache, j'ai toujours été plus solitaire que la majorité de mes camarades, j'ai toujours été celle qui était différente, celle qui voyait le monde tel qu'il était, mais qui était capable de l'imaginer entièrement jusqu'à le modeler à sa convenance, l'illuminée aux idées un peu folles, celle qu'on ne connaissait qu'en surface.
Avoir peu d'amis, peu d'entourages, m'a tout autant rendu malheureuse que cela ne m'a jamais réellement dérangé, j'ai toujours préféré m'entourer de personnes choisies, celles avec lesquelles je pensais pouvoir m'entendre, guidée par mon instinct et mes émotions, affrontant les échecs lorsque cela s'avérait nécessaire avec plus ou moins de difficulté ou de facilité.
Je n'en ai toujours eu que très peu et d'une observation plus générale, étendue, je n'ai que très peu véritablement aimé, cependant j'ai aimé aussi puissamment que l'on puisse en être capable, chaque fois de manière absolue, chaque fois de manières différentes. Aimé jusqu'à la haine la plus profonde parfois, pour cause de dépit, de refus d'impuissance, de colère et d'injustice.
J'ai aimé haïr, j'ai haï d'aimer et à présent je me sens en paix avec ces émotions contradictoires mais complémentaires, comme tout ce qui a pu prendre du temps, la balance s'est équilibrée d'elle-même.
Il faudrait se figurer non pas un fil continu, une route parfaitement linéaire et calme, mais un sablier en suspension à l'horizontale, que l'on s'amuserait à faire pencher d'un côté ou de l'autre, possédant un mouvement de revient automatique dès lors qu'on relâche son doigt.. Le sablier reste toujours à l'horizontale malgré les turbulences.
Le plus difficile en somme a été d'accorder mes sentiments, mes émotions et perceptions avec ma compréhension et mon acceptation. L'acceptation de ce qu'on ne saisit pas, de ce qu'on ne peut quantifier, nommer, empaqueter, expliquer, est la chose la plus complexe qui puisse être apprise.
-I-
Je ne possède plus de cages, je suis toujours là, mais je ne le suis plus vraiment. Je suis en paix, dupliquée et unifiée. Voyageuse interstellaire, voyageuse de l'énergie, la transcendance n'a pas le visage de son appellation, elle est bien différente.
Je reste ici, en observatrice, statique et pourtant amovible tel un satellite en réception et diffusion constante d'informations. Je suis moins que moi même, plus que moi même, je suis le parfait négatif, je vibre le parfait positif.
Je ne suis plus une image unique, je ne suis plus une identité, la sensation est naturelle, je suis plusieurs, je suis eux, je suis ça, je suis nombreuse. Serai-je Légion?
En voilà bien la signification, dans son aspect le plus sensitif. Faisons fit de la démarche surnaturelle, de la démonologie.
La multiplicité de l'énergie, l'inquantifiable des univers, de ses existences, paradoxes temporels, vies multiples, je suis reliée à tout et à rien.
J'existe et je suis déjà morte, je bouge et je reste immobile, je parle et j'ai déjà prononcé mon dernier mot. Je suis tout et je ne suis rien.
L'Ether de l'existence. Il n'y a plus vraiment de soi lorsque nous sommes dans l'interface de l'infini et de l'intangible .
Je ne suis plus une entité scellée par les eaux sombres des ténèbres, je ne suis plus une entité dépendante la pureté de la lumière, je suis tout simplement.
Je suis partout et nulle part, re-liement de l'énergie universelle, la connexion complexe et multiformes... Je n'ai pas de forme et peux prendre n'importe laquelle, mais il n'y en a aucune nécessité, dès lors que tout n'est qu'une affaire de perception.
Effacement. De moi-même ou peut-être du superflu, ce qui n'est pas nécessaire devient néant. Les souvenirs, petites traces sensorielles et colorées..
Les images ne se mettent pas en pause, elles défilent, survolent mon essence et ne s'y attardent guère plus qu'il ne le faut, cela me semble partiel, incomplet et rare d'un point de vue tout à fait physique, mental. Il n'y a pas de rembobinage, pas de bouton d'arrêt, mes souvenirs ne sont que de lointaines marques, quelques graphismes floutés et peu soignés au demeurant. Ils ne s'accrochent pas, éphémères.
Sans le moindre mal, je passe la quasi-totalité de ces instants à observer avec le plus d'attention possible mon environnement, ma propre 'vie' et son déroulement, tentant malgré tout et sous des aspects on ne peut plus humains, émotionnels dirais-je, de les conserver, telle une photographie bien cachée dans le dossier du fond, ou un petit film de quelques secondes à peine pourtant suffisant pour y réunir l'ensemble d'une situation vécue. Mais les garder en mémoire se révèlent bien plus complexe qu'il n'y parait.
Mon énergie est vaporeuse, elle bulle, sur-plane mon être comme un voile de mousse brouillé et intouchable, comme s'il n'y avait aucune importance ou plutôt aucune raison véritablement valable de préserver ces images, ce vécu, que je cherche pourtant à encrer dans mon esprit. Le physique est l'immatériel, ce drôle d'enchevêtrement à la conception parfois diablement inexplicable...
Mon esprit ne m'appartient pas réellement, il est pluralité en un seul mouvement. Il stagne au-dessus de mon corps physique, se propage ailleurs, relie le tout et le rien. Il vibre l'instant présent, n'anticipe l'avenir qu'à travers des émanations et ne côtoie le passé que sous la forme d'un manteau opaque recouvrant ce qui ne paraît pas lui être indispensable. Éradication de l'inutilité, la nature est bien faite, l'accepter est moins simplet lorsque les choses échappent à notre contrôle.
Je ne me rappelle pas, mais je me souviens de tout. Sensations énergétiques, émotions, quelques formes parfois et des couleurs, des sons sous la teneur d'ondes mélodiques graves ou aiguës, matières évanescentes qui ne guident plus mes pas lorsque cela n'est pas nécessaire au chemin que je parcours, à la finalité de mes destinations. Elles me construisent cependant.
Il s'agirait d'en connaître la profondeur, la signification, mais je la connais sans le savoir, je la ressens sans la vivre ou peut-être est-ce l'inverse, tout s'entrecroise. Je la comprends sans pouvoir me la figurer.
Les portes sont grandes ouvertes, l'étendue est indéfinissable, les connectiques pleuvent autour de moi, m'englobent, me percent, me bercent, se lient à mon être, flux et reflux constant.
Éveillée, il arrive que ces voyages me donnent la sensation physique de nausée.
Cette vive attraction qui me tire vers l'arrière est trop forte pour mon enveloppe charnelle qui semble si fragile dans ces moments là, mon énergie gronde, s'agite se propage en une poussée telle qu'il me semble chuter vers l'avant, traîner vers le bas, m'effondrer sur moi même, et empoigne mon système cardiaque en des à coups électriques.
C'est hyper déstabilisant, j'ai été transportée, je comprends chacune de tes phrases, mais je ne saurais absolument pas en faire un résumé, en parler. C'est la première fois que je lis un texte pareil (je ne lis que de la littérature classique, aussi, ce style a peut-être un nom, mais je ne connais pas). Merci pour la découverte, je pense que tu peux l'envoyer à une maison d'édition, tu as du talent, beaucoup !
Que dire ? Mh, ajoute un zest de prosodie et l'expérience sera proche d'une réalité virtuelle !
Pour le reste, tu devrais pouvoir lire dans mes pensées (:French connection:) 😉
@Justine18 , ah ben j'en suis contente ^^ Merci :D
@Abderian, oui , je t'ai bien saisis t'en fais pas xD 😋
Tu écris parfaitement les émotions, déjà, tu as un don pour l'écriture. J'admire, et me régale. Merci ma Kali
Enfin pris le temps de me poser pour le lire.
T'as une vraie belle plume ! C'est assez ouf d'écrire aussi bien et aussi accessible à tous aussi !
Bravo @Kalimalicia
@NonoBZH, merci c'est très gentil, et merci de m'avoir lue :D ^^
Tu essaies d'être publiée ou pas? Moi j'aimerais bien avoir un petit livret avec de tes écrits. :)
Oui lorsque j'aurais terminé ^^ Pas de soucis je te mettrais ça de coté XD
Moi aussi hein.
Et si tu mets ma photo sur la couverture tu pourras me l'envoyer gratuitement ! 😜
Oui plutôt impressionnant, une belle maîtrise de l'écriture. Les idées et émotions sont bien retranscrites. C'est clair pour nous, mais pour le commun des mortels ?
Va voir le site des éditions Rebelle, ils sont spécialisés dans le genre.
@Abderian, XD version spéciale just for you, avec des paillettes !
@Marien, merci beaucoup ! ^^ Oui tu n'es pas le premier à me le dire en effet et je vise un publique particuliers, de ce fait je me permets justement un style d'écriture qui peut sembler tarabiscotée pour la plupart des autres. Ce que je recherche c'est surtout de pouvoir "parler" à ceux qui comme toi en exemple savent décoder. (Je chie un peu dans la colle de mes explications, mais c'est parce que je dors peu en ce moment, de ce fait ma qualité verbale reste à désirer). Merci pour le tuyau, j'irais me renseigner :D
@Pix, ne trépigne pas si fort , tu vas casser le plancher XD Blague à part, ce manuscrit ci prend du temps car comme il est personnel et contient également des choses "vécues" je ne peux qu'attendre moi aussi XD
😂 mouais un mammouth qui trépigne sur un parquet c'est pas bon !
Moi je trouve tes explications claires et que tu causes vachement bien même quand t'as la tête dans le fion et non Fillion dans la tête.. rahooooo nulle nulle nulle 😄
Le mec qui a inventé "avoir la tête dans le cul" avait déjà le talent d'un écrivain.
Reste maintenant, au XXIe siècle, à voir où on peut la mettre ailleurs (je pressens patrick et Pix sur cette question, chais pas pourquoi ^^).
Bref, le résultat devra sûrement être le titre du prochain livre de Kali, du coup ^^ !
bon ben je me sens obligé : avoir la tête dans le cul, je ne sais pas s'il vaut mieux que ce soit dans le sien ou dans celui d'un autre
Kali : je n'ai pas commenté mais j'ai lu. je pense qu'il faut avoir un esprit assez intellectuel pour bien comprendre et ressentir ton texte et alors je pense qu'il doit effectivement y avoir une résonnance. moi je n'ai pas cet esprit (je suis plus Alien ou starship trooper)
@Abderian , J'ai adoré ta phrase XD Je me suis marrée comme une bossue pendant un bon moment. x) Et pour répondre à ta question, je pense qu'on peut dire qu'on aura la tête dans les câbles pour commencer (du reste avec cette époque) quoi que je pense qu'une fois la tête vissée dans un cul, pour la ressortir c'est bien difficile ...clairement l'une des raisons pour lesquelles je refuse d'être enceinte. xD
Oui, ça doit faire mal @Kalimalicia
[youtube]voir la vidéo?t=137[/youtube]
@Kalimalicia
Salut !
J'ai lu le début mais me suis arrêté en cours : ce que je trouve déjà surprenant, car en ce moment, mes yeux rejettent la littérature.
Ton intro, qui parle de néant, t'a-t-elle été inspirée par le tsimtsoum ? La "brisure" des vases ? En tous cas, j'ai beaucoup aimé ta manière de mettre en mots le vide, le retrait, l'espace. La thématique me parle beaucoup, et ta prose m'a semblé directe et dynamique, j'ai aimé !
Ensuite, à partir de "Je pourrais commencer par qu'est-ce que la vie", j'ai lâché. Je te mentionne cela en croyant que cela pourrait t'être utile, car ayant moi-même aussi écrit, lorsque je soumets certains de mes écrits à des gens, ce qui m'importe surtout, c'est à quel moment ils abandonnent, ils perdent l'intérêt, à quel moment ils posent le livre, et pourquoi. C'est ce moment là, que je traque, dont j'essaye de repousser l'arrivée ! :))
Amicalement,
Julien
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