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- Exercice d'écriture suédois
Bonjour,
@Aurel proposait une disposition d'interaction ludique. Mais c'est vrai que c'est facile de proposer des jeux.
J'apprécie particulièrement ce jeu/exercice.
Il s'agit de partir d'une phrase simple, sujet verbe complément, et, en-dessous, de définir chaque mot. Et de recommencer. Au bout d'un moment ça devient très long, ça peut faire des pages, il faut proposer une nouvelle phrase simple.
Ex :
Le confinement sera long.
Les mesures de restriction se feront ressentir comme un temps démesuré.
Les décisions gouvernementales de réduire nos libertés de sortie imprégneront nos tréfonds d'un sentiment de ralentissement de l'écoulement temporel.
Etc, si ça vous dit. De continuer celui là ou de proposer un truc plus sexy, j'avoue que j'ai écrit ce que passait par la tête et c'était le confinement, désolé.
Mais l'idée est lancée.
😄 Excellent!
Les dispositions mises en place par le corps exécutif afin de limiter nos droits d'aller et venir marqueront en nos âmes le sceau d'une sensation de freinage de l'émission du liquide constituant cette notion fondamentale conçue comme un milieu infini dans lequel se succèdent les événements. (désolée, pour "temps" j'ai pas su faire autrement que de copier-coller une définition.)
Je sèche sur la suite de celui-ci mais j'en propose un, un peu facile j'avoue, mais qui peut nous faire philosopher sur deux thèmes importants :
La vie est belle
@Juliette . Peut-être ne pas mettre quand on triche, ça casse un peu la poésie. Sinon, c'est ça, super.
Ce moment entre la naissance et la mort constitue un réservoir de beauté.
Ce qui advient entre la mise au monde et le décès est un stock bien fait de sa personne.
Les faits qui ont lieu entre l'action de livrer dans ce qui constitue l'environnement des êtres humains et le terme de leur existence forment une grande quantité de choses réalisées de façon très esthétiques de leurs êtres humains
Les choses concrètes et ressenties qui adviennent et qui se situent au beau milieu de ces événements que sont cette manifestation de l'activité d'abandonner des représentants de l'espèce humaine à l'ensemble des éléments qui les entourent et ce moment où prend fin le fait d'être dans la réalité constitue un ensemble de taille impressionnante de composant sortis du néant qui procurent des sentiments et des émotions agréables et reposantes dans la façon d'exister propre à l'espèce bipède et au pouce préhenseur.
J'avoue qu'à ce niveau, sans dico c'est ardu.
Ma personne concède qu'à l'échelon où nous en sommes arrivés, si on n'ouvre pas le gros livre répertoriant un bon nombre de mots afin de nous en donner la définition, la situation semble épineuse.
Hé hé !
L'être vivant que je représente reconnaît dans cette discussion qu'à cette fraction d'échelle où vous et moi sommes parvenus dans cette histoire, si on n'écarte pas les unes des autres les pages de la volumineuse compilation de feuille en papier faisant la liste d'une vaste quantité numérique d'éléments de base des phrases, l'état où nous en sommes peut paraître rempli de piquant.
Mon être tombe en pâmoison devant cette activité divertissante
L'animal humanidé animé qu'on peut cerner en moi admet, dans cet échange verbal, qu'à ce morceau d'unité d'escabeau où votre personne et la mienne avons échu dans ce ratafia de faits relatés, à la condition de ne pas mettre quelque distance entre les feuillets dont le matériau est issu des arbres, et proposant l'énumération d'une surabondance de chiffres unis pour former de plus grands ensembles de constituants du socle des objets visant à énoncer une idée en utilisant des mots, ce qui constitue la conjoncture de notre pierre d'achoppement a des chances d'avoir l'air outré de fond en comble de tiges acérées.
La personne que je représente chute dans un évanouissement face à cette séquence d'actions qui offre de l'amusement.
(Sorry, et bravo 🙂 )
Ce membre de l'humanité dont je suis le délégué procède à une dégringolade vers une perte de connaissance à l'égard de cette suite ordonnée de manoeuvres produisant un effet qui donne en cadeau un sentiment de gaieté
Oh, punaise, j'étais presqu'à la fin et je l'ai perdu! 😒
Cette composante de la famille des humains que je représente entreprend un mouvement involontaire vers le bas dû à un égarement de présence éveillée, en conséquence d'une série rangée en ordre de gestes portant à constater une réalité qui se dés-approprie pour le tendre en don une sensation profonde de kif de toutes les cellules.
Ouf! 🥴
On joue sur cette question, si ça vous dit:
Est-on plus heureux quand on a des rides?
Existons-nous plus dans une certaine félicité quand notre peau ressemble à un parchemin ?
Vit-on un excédent de joyeuse béatitude à l'heure où notre derme prend l'aspect d'une peau de chèvre susceptible de servir de support à l'écriture?
Notre histoire individuelle est-elle un dépassement d'un quota d'humeurs chaleureuses a rendre béat à l'instant de la journée où notre couche corporelle extérieure prend une apparence d'un derme d'animal fromager pouvant être utiliser comme matériau sur lequel apposer une histoire ?
On redémarre? 🙂 Si ça vous dit:
La clarté est douce et lumineuse.
La limpidité lumineuse est voluptueuse au touché et source de photons.
Waouw, hum, ça va pas être facile de ne pas dire de conneries... 😨
@Juliette... @Canhele. Vous me faites bien marrer, c'est cool. Bien content que le jeu est pris. bienvenu @Fropop.
Le récit de notre vie en tant que personne singulière se signifierait-elle pas d'aller au delà de ses limites dans la norme instaurée dans nos dispositions affectives en surcharge calorifique jusqu'à devenir totalement gaga en temps ce temps déterminé de la période ensoleillée où la partie superficielle de notre être physique se manifeste à notre vue, telle ce film épidermique de vivant de se déplaçant et nous fournissant en matière première nos produits fermentés comestibles et nous donnant l'occasion de s'en servir en tant que substance de base pour pouvoir y inscrire ce dit récit de notre existence.
Ouais mais ta dernière salve est trop bonne! Et @Fropop, là, je suis un peu bloquée 😶
Pour l'instant, on s'arrête au bout de deux transformations, j'ai tenté une troisième pour "Est-on plus heureux quand on a des rides?"
Allez, on tente plus (suggestion).
La clarté est douce et lumineuse.
La limpidité lumineuse est voluptueuse au touché et source de photons.
La simplicité de compréhension nous éclairant reste un bonbon pour l'âme quand elle joint la matière et nous inonde de particules sans masse.
La transparence au niveau du captage intellectuel qui dirige le projecteur sur nous demeure une friandise pour la partie nous constituant qui nous échappe au moment où elle s'unit au concret et dès lors nous fait l'effet d'une crue d'éléments si petits qu'ils n'ont pas de poids.
(Le fait d'être simple pour assimiler la réflexion nous dissipe l'obscurité tel une sucrerie pour enfant alimentant notre moi profond lorsqu'elle associe deux à deux les constituants de l'univers et nous cause un dégât des eaux d'éléments microscopiques indiquant zéro gramme sur la balance.)
Cette capacité à laisser passer la lumière à ce stade de hauteur de la réception exclusivement réflexive qui pousse dans notre direction l'appareil producteur de flux lumineux persiste à être une nourriture sucrée pour ce petit bout de notre composition qui s'extirpe par la fuite pile dans ce morceau de temps où elle forme une union avec le monde tangible et à partir de ce moment nous inspire une montée des eaux de parties constituantes tellement ridiculement de petites tailles qu'elles ne possèdent aucune masse déterminée.
Ah, j'ai raté celle de Fropop !
On en ai tout les deux à la quatrième transformation
@Franch non j'étais à la troisième, @Juliette... a posté sa troisième pendant que écrivait la mienne
@Fropop Ok, j'ai donc une quatrième à partir de la troisième de @Juliette...
Allez, qui nous pond une cinquième ?
Cet art qui consiste à laisser aux photons le pouvoir de passer le sas à l'altitude, assez élevée, capable de recevoir en solo et néanmoins en le renvoyant, l'engin émetteur de stimuli ophtalmiques n'en finit pas de représenter l'aliment glucidique pour l'infime excroissance de notre être qui se barre exactement dans cette tranche de saucisson temporel où elle slurp avec le macadam et là, enfante en nous un petit raz de marée de bouts de matière si humblement microscopiques qu'à côté, un postillon possède la masse de la Terre.
(On voit que ça commence à tarir, parce-que mon truc n'est pas plus long que le tien @Franch 🙂
Bon, ça m'énerve ces émojis, en vrai j'ai littéralement éclater de rire.
Ok, une autre, simple :
Mon cerveau chauffe
L'organe qui me sert à analyser les choses augmente sa température
L'enchevêtrement de cellules produisant une décomposition d'un ensemble constitué rend plus conséquent son mouvement brownien
Non mais oh, on va où là?! Ca va pas bien dans ta tête @Franch? Je suis plus du tout là! 😱
Le tressage d'entités neuronales effectuant une décortication d'un tout effectif constaté donne à sa capacité de chauffe plus d'amplitude
Yes, hé hé !!
L'entrelacs de ce qui se rapporte à des symboles relatifs aux neurones mène vers sa réalisation une mise en petit bout d'un ensemble qui donne un effet réel observable et observé produit dans sa façon de pouvoir d'augmenter sa température une étendue plus considérable.
Le tricot, relatant des signes incombant aux cellules allouées à la compréhension des choses conduit à la création d'un morcellement d'un groupe efficacement admissible et accepté induit par sa capacité de réchauffement d'une valeur plus conséquente.
L'art de chercher le rire octroie une sensation bénéfique
L'expression créatrice de partir en quête d'éclats de joie nous donne une manifestation corporelle à l'apport favorable.
L'action qui permet de communiquer à autrui et qui sort du néant pour quitter un lieu à la recherche d'une manifestation soudaine de sentiments d'allégresse nous apporte un rendu perceptible par ce qui nous constitue physiquement et nous fait le plus grand bien.
Ouais, je complexifie, c'est un mes grands avantages/inconvénients
j'essaie de définir terme par terme et c'est vrai que ça veut plus dire grand chose. On peut faire bien pire et utiliser des définitions des homonymes, j'aurais pu écrire "petits morceaux" pour éclat au lieu de "manifestation soudaine". Et si on fait ça avec tout, ça ressemble plus à un cadavre exquis, mais pourquoi pas.
Le geste mouvant établissant une interaction avec une personne extérieure à soi-même et qui s'extirpe du vide en vue de décupler, inopinément, le jaillissement d'émotions hautement sur-élévatrices nous procure un ressenti, par les canaux de notre réalité matérielle qui nous les rendent accessibles, qui pète sa mère!
Je propose :
Le ridicule nous rend plus fort.
(c'est parce que le ridicule ne tue pas et ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort, cqfd.)
Yes,
La chose incontestable d'avoir en sa possession l'atmosphère mou du cerveau rend plus consistant ce que l'on est concrètement.
L'objet, dont on ne peut douter, de détenir l'ambiance flasque de l'organe de réflexion confère de l'épaisseur à notre réalité matérielle.
L'élément matériel dont nous n'avons pas la faculté d'être incertain et, en pleine possession d'une atmosphère qui manque de fermeté, de la partie du corps ayant pour fonction la prise de tête, a des relents de couches de gras à ce qui ne nous est pas imaginaire ni relevant de l'abstraction
Les animaux d'eau qui ont des nageoires se déplacent dans l'eau avec célérité.
Les êtres vivant n'étant ni végétaux ni mycètes, d'environnement aquatique, possédant des membres prévus pour nager, effectuent des mouvements leur permettant d'atteindre un but, au sein des mers et océans à une vive allure.
Les sujets existants, ne représentant pas plus la flore que les champignons, dont le cadre de vie se situe en milieu liquide plus ou moins limpide, munis de fines protubérances adaptées aux mouvements sous-marins, produisent des gestes en vue de décrocher le pompon, dans ces vastes étendues aqueuses et salées, le pied au plancher.
Les réalisateurs de l'action, vivants en ce monde, n'étant pas davantage membre du reigne des plantes que de celui des entités se propagent à l'aide de spores ; ils passent leur existence entouré d'un liquide essentiel à toute vie sur terre, lequel liquide pouvant suivant le lieu être plus ou moins pur et donc transparent. Cette action s'avère d'agiter des extrémités de forme variées, prévues pour permettre une circulation du liquide autour de celles-ci et donc d'aboutir à un mouvement au sein du liquide, lesquels se trouve être relativement impressionnant sur l'échelle arbitraire du lecteur.
P.S.: J'ai un peu (beaucoup) échappé aux règles, mais j'étais inspiré pour faire ça comme ça ^^"
Les metteurs en scène de ce qui se fait ici bas, ni verts énergumènes, ni individus se déplaçant en membranes unicellulaires, passant leur temps, toute leur vie durant, dans une liqueur vitale, ici cristalline et là mélasse, se dandinent à l'aide de morceaux dont la représentation diffère, ceux-ci assurant un acheminement de la susdite liqueur à leurs alentours, tout ça pour bouger leurs fesses ici même où nous en étions arrivés, et ce, nettement plus vite qu'il ne faut de temps pour le dire.
Un nouveau si ça vous dit:
La cité est déserte et alourdie.
Le périmètre délimité par les tours de béton apparaît allégé d'existence et lesté de solides masses.
Le tour du quartier où inondent les habitations de loyer et d'esthétique modérés semble décrire un no man's land qui s'avère de plus, s'affaisser sous son propre poids.
La périphérie de l'îlot à l'intérieur de laquelle pullulent gourbis à quittance et charme tout à fait relatifs dessine un territoire abandonné qui offre, de surcroît, une surcharge pondérale qui lui donne le mouvement de la cire, une fois qu'elle a dégouliné de la bougie.
J'en propose une nouvelle si ça vous dit:
Matin nouveau réjouit.
Début de journée n'ayant pas encore eu lieu inspire réjouissances.
Entame de l'intervalle temporel séparant le lever et le coucher du Soleil non encore advenue invite dans le coeur joie de l'espérance.
Le premier morceau de ce qui se trouve temporellement situé entre l'apparition à l'horizon de l'astre central et sa disparition et qui, pour l'instant, reste à venir, prie ce sentiment d'extase face à celui de la confiance en l'avenir d'entrer dans la pompe à sang.
Le bout initial de ce qui apparaît chronologiquement parlant depuis la survenue, sur cette ligne lointaine où plus rien n'est visible et tout est envisageable, de la boule de feu primordiale jusqu'à son évanouissement et pour lequel, à cette heure, le coup d'envoi n'a pas encore été donné, confère cet orgasme émotionnel en vis-à-vis de celui de la foi en les jours à venir de pénétrer dans l'appareil à extraction de l'hémoglobine.
Applaudissement, vos personnes apparaissent munies de puissance en excès 😉
Frappes dans les mains marquant l'enthousiasme, vous, personnes au coeur de l'attention semblez briller par votre réussite, d'une façon surpassant l'imaginable.
Tapotements des extrémités servant à la préhension dessinant l'appétit de vivre, vous, êtres humains sis dans le muscle palpitant de la veille, paraissez émettre de la lumière en éclatant tous les records, et d'une manière allant bien au-delà de ce que l'Homme est capable de se représenter
Bon allez, j'en relance une 🙂
Plaisir inégalé: jouer avec les mots!
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