C'est en diabolisant nos élites qu'elles deviennent diaboliques.
(Mais ne pas les diaboliser ne les rendra pas meilleures. => Continuer les revendications.)
Progrès :
1. Promouvoir les mathématiques et la physique.
2. Ne pas diaboliser ses élites.
3. Etre bienveillant pour que chaque liberté ne soit pas limitée par les croyances des autres.
La vie est injuste et inégale et c'est à nous tous de la rendre à parts égales (ex : résultat des taxations et non les taxations) et juste.
Un budget à équilibre prime sur tout le reste et donc se débarrasser des intérêts de dettes en diminuant son endettement.
Problème : qui dit égalité ou performances dit consommation.
=> Tolérance de diversités.
Et surtout pouvoir se mélanger ! => Pondération plutôt qu'égalité.
Croissance durable => Déséquilibres => Pondération
Salut @airbus.
citation :
C'est en diabolisant nos élites qu'elles deviennent diaboliques.
Nan, je te rassure, elles se débrouillent très bien toutes seules à ce jeu là... 😂 Et ce n'est certainement pas en les dédiabolisant progressivement qu'elles s'auto-dédiaboliseront d'elles-mêmes en retour. Ça serait trop facile! 😄
Mise en situation:
-- M'sieurs le Président, m'sieurs-dames les Ministres, j'ai perdu mon travail, ma maison, ma femme se prostitue par obligation et nous ne parvenons plus du tout à nourir nos gosses. Mais je vous adore tous, vous savez! J'ai même vos posters respectifs dans ma chambre. Et le matin, on chante à tue-tête vos louanges en famille, et même sous la douche d'eau froide qu'on s'est bricolé dernièrement avec le tuyau de la gouttière. Bref, votre politique est impitoyable, mais tous, toutes, vous êtes tellement des bonnes personnes que... que... tiens, j'en ai la larme à l'oeil d'émotion...
-- Bon ok, aller. Vous me sembler bien, mon brave! Et votre famille est admirable. Aller tiens c'est décidé, en tant que Président, triplement obligatoire et immédiat des salaires. Et soins gratuits pour les vieux, les dépendants, les handicapés!... Moi aussi, tellement ému par ce que vous venez de dire, ma bonté finalement me perdra. Aller, Monsieurs-Dames les Ministres, cet homme a parlé! C'est à vous d'oeuvrer maintenant! Et, nous devons tout faire pour notre peuple. Devenir plus doux et plus gentils. Toussa, toussa. Aller hop au boulot, les gars!
... Ah........., que c'est beau de rêver... 😇
citation :
Problème : qui dit égalité ou performances dit consommation.
[semi-humour logique >] C'est vrai que là... 🤔, pragmatiquement, plusieurs formules 1 alignées sur la grille de départ sont souvent quasiment à égalité en matière d'obligation de règles techniques. Toutes étant alors logées à la même enseigne, toutes ayants des profils similaires. Egalement, elles vont toutes chercher à performer au max - normal! - obligeant particulièrement leurs moteurs voraces à ne pas être très sobre aux alentours des 850 chevaux, dans la ligne droite. Idem d'ailleurs pour le Nascar, mais sur l'anneau!... Toutefois, je ne sais pas pourquoi, Airbus. Il me semble que ce n'est peut-être pas ça que tu voudrais pointer... 😅 Aller à plus tard, je retourne au stand, j'ai mes gommards à faire changer... 😉
🤡
Hiné.
Justement, on ne peut pas les dédiaboliser en les dédiabolisant.
En revanche c'est en les diabolisant qu'elles deviennent diaboliques.
C'est comme la course aux armements.
Plus tu considères la menace, plus l'ennemi la considère.
Mais ce n'est pas en te désarmant que tu désarmes l'ennemi.
Donc ne pas diaboliser ses élites.
(L'égalité n'est pas forcément bonne donc pondération et mixité.)
Bien que c'est en égalisant qu'on diminue le nombre d'acteurs inefficients. (A vérifier)
Car en épargnant par un seul acteur dominant, on multiplie l'ineffecacité des acteurs restants.
citation :
Plus tu considères la menace, plus l'ennemi la considère.
Postulat ok.
Jusqu'au fameux "Equilibre de la terreur" et le DMA.
(Ref: Destruction Mutuelle Assurée)
citation :
Mais ce n'est pas en te désarmant que tu désarmes l'ennemi.
Si je peux comprendre le principe contradictoire, euh, c'est un peu ce qui s'est passé quand-même à la toute fin de la Guerre Froide 🤔, où après un accord (1991 ou 1992), Etat-Unis et Nouvelle Russie ont finalement "détruit" leurs stocks d'armes respectives, notamment nucléaires en premier. Et, fait historique (il me semble), c'est quand-même la Russie qui à l'époque a dû commencer la première à mettre la liste des accords en application, notamment afin de montrer une position politique plus favorablement ouverte et pro-(pré) Européenne sur le plan diplomatique. (bon, depuis, à la charnière exacte d'Yeltsin et Poutine on sait que tout cela s'est mis à ne plus exister... 🙄)
Donc, je ne vois pas trop où tu veux en venir, si ce n'est d'être que purement dans un plan théorique, puisque la réalité semble déjà avoir donné un visage à ce que tu décris, et aussi, à son propre antagonisme situationnel. 🤔
Bref, dis-moi. Dis-nous.
Une fois la pression élevée, c'est un "dilemme du prisonnier" qui se résout par la discussion (et le partage en un pareto optimum plus élevé distribué entre acteurs). => Nash Bargaining Power. Mais les acteurs doivent s'entendre sur le respect des règles (et sanctions de freeriding, voire définitions) qu'ils établissent entre eux.
En gros dans le dilemme du prisonnier tu as intérêt à t'être bien entendu sur les procédures avec ton partenaire. (Pas comme la nature, l'autorité devra utiliser de stratgèmes pour casser cette entente.)
Un humain moyen est capable de sortir du dilemme du prisonnier. Sauf Dark Vador éventuellement.
Recommencer si cela pète. => Bien évaluer dès le départ.
Avec la durée, les équilibres se forment.
Mais il réside toujours une variation de l'environnement (à essayer de prendre en compte).
Discuter, voter à majorité, discuter, voter à majorité, discuter, voter à majorité, etc. ...Et essayer de voter le moins souvent (pour décharger l'administration).
=> "Regime Theory" qu'on superpose au "dilemme du prisonnier". (= ONU, OMC, CS)
D'où la non diabolisation des élites.
citation :
Un humain moyen est capable de sortir du dilemme du prisonnier. Sauf Dark Vador éventuellement.
Et encore, Dark Vador, tout le monde ne le voit pas comme un méchant, même à la fin de la trilogie I devenue ensuite volume II. Personnage à part même si central dans l'oeuvre Lucasienne, Dark Vador a même carrément différents visages entre les opus, et même au fin fond de la perdition du côté obscur de la Force, il reste quand-même un bout de l'enfant qu'on a connu de lui.
(...De toutes les façons, j'ai toujours pensé que Star Wars aurait fait un très bel opéra, aux 18eme et 19eme siècles déjà, tant futurisme grandiloquent et mythes antiques savent s'aligner sur le même lyrisme. Voilà, c'était mes deux cents, là, de SF. 😊)
Dommage que tu ne sois plus là Airbus, mais j'adore ton postulat.
Je ne saisis pas tout dans les publications suivantes mais dans la portion que je comprends, je suis tout à fait d'accord.
Une proposition rationnelle même si elle est difficile (voir impossible ) à mettre en place change agréablement.
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