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Cette panoplie guerrière est fréquemment complétée, près du coeur, d'un arc, d'une flèche ou d'une hache (et parfois des trois ensemble). Les femmes sont identifiées par la représentation des seins, d'un collier à plusieurs rangs (parfois avec en supplément une pendeloque), la chevelure coiffée en natte dans le dos. Certaines statues masculines sont devenues féminines en modifiant ou supprimant leurs attributs masculins initiaux et en y rajoutant des attributs féminins (seins, collier, pendeloque en "Y")
https://fr.wikipedia.org/wiki/Statue-menhir
Les formes et symboles sont identiques. Je rapproche cette statuaire à une carte mentale préhistorique du continent européen. Je suis apparemment le premier à soulever cette possibilité. Qu'en pensez vous ?
Ar-men-ir, littéralement la pierre longue. Ar, dans la langue bretonne, de même qu'al dans la langue arabe, est l'article défini qui répond à notre le, la; le transporter dans notre langue en y joignant le nôtre, serait une faute, parce que ce serait employer deux articles au lieu d'un. Je dirai donc menir, et non l'almenir; de même qu'on dit le Koran, et non l'alkoran. »
De façon générale, les menhirs sont des pierres dressées verticalement. Le matériau employé dépend de la région (granite, porphyre, etc.). Leur taille varie fortement, de quelques dizaines de centimètres à plusieurs mètres de hauteur. La pierre peut être taillée (en forme de colonne, d'amande, de dalle anthropomorphe, etc.) ou avoir été plantée telle quelle, plus ou moins brute. Leur forme générale est toutefois généralement irrégulière et varie selon la nature du matériau : le granite et le grès peuvent aisément être régularisés par bouchardage, le quartz ou le schiste ne se prêtent pas à la taille, schiste et calcaire se débitent facilement en dalle.
Les menhirs peuvent être implantés de façon isolée ou en alignement, dont le nombre varie énormément (de seulement trois menhirs à plusieurs centaines, sur plusieurs rangées).
Plus rarement, plusieurs menhirs peuvent être disposés en cercle ; on parle alors de « cercle de pierres » ou de cromlec'h.
Des exemples en sont, la Pierre au Jô située en Meurthe-et-Moselle, le Wieselstein, situé en Moselle, mégalithe de six mètres de haut et de quatre mètres de large, qui a également servi de borne. Il a été un point de ralliement des mineurs lors des grandes grèves de 1920. Il est situé entre la cité Cuvelette et le puits Reumaux de Freyming-Merlebach.
Un autre exemple est la Pierre des douze Apôtres de Meisenthal appelé également Breitenstein. Ce monolithe marque la frontière entre la Lorraine et l'Alsace. Ce monument fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 16 février 193015. Proche de Raon-l'Étape (Vosges) et de la ferme de Maladrie se situe le menhir de Pierre Borne, un monolithe en granite rose de 3,25 mètres de hauteur. Sa masse est estimée à 7,8 tonnes.
Un autre menhir situé près de Raon-l'Étape est le menhir des Léches. Sa hauteur est d'un mètre quatre-vingt.
En Alsace, on trouve certains menhirs en plaine, comme le petit menhir appelé Lange Stein proche du village d'Altorf. Situé au lieudit Gansweidt, le menhir Lange Stein (« la longue pierre ») marque la limite du village du haut de son mètre quarante.
Le lingam ou linga (en sanskrit lingam (« signe ») est un objet dressé, souvent d'apparence phallique, représentation classique, dite anicônique, de Shiva en tant que Brahman (« Absolu, Âme universelle »)
On retrouve dans ce symbole l'ambivalence du dieu, ascète et renonçant d'une part, mais aussi figure majeure du tantrisme, représenté par un phallus, d'autre part. Le mot lingam signifie « 1) signe ; 2) phallus ; 3) symbole de Shiva ». Le lingam est une représentation d'un phallus (la masculinité) et d'une vulve (la féminité)
Parmi tous les lingam de l'Inde, douze sont considérés comme des lingam de lumière ou jyotirlinga, et sont particulièrement sacrés.
« Shiva en tant que principe causal non divisible est vénéré dans le lingam. Ses aspects manifestés sont vénérés dans des images anthropomorphiques. Tous les autres dieux font partie d'une multiplicité et sont vénérés par des images. »
-- Shrî Shiva-tattva, Siddhânta.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lingam
Le lingayatisme est un mouvement religieux fondé au XIIe siècle par Vishwaguru Basavanna dans le sud de l'Inde (se basant sur la tradition shivaïte virashaiva), en réaction aux dérives du système de castes, car il considérait que les individus doivent être classés selon leurs pratiques et non leur naissance (jati).
« En voyant une statue de serpent, ils demandent de l'adorer ; en voyant un vrai serpent, ils demandent de le tuer. Quand un homme pieux vient affamé, ils lui demandent de s'en aller ; quand ils voient une idole sans vie, ils essayent de la nourrir. S'ils ignorent les disciples du Kudala Sanga, ils deviendront comme des papillons de nuit frappés par une pierre. »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lingayatisme
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En Asie, les limgam servent encore de point de reconnaissance territoriale et géographique.
Une borne routière est un élément signalétique placé régulièrement en bordure de route et destiné à identifier la route concernée et à y indiquer les distances, le plus souvent vers les localités voisines.
Les premières bornes routières que l'on connaisse sont les bornes milliaires qui jalonnaient les voies romaines.
Dans la Rome antique, les bornes milliaires (en latin miliaria au plur., Miliarium au sing.) étaient des bornes routières en pierre généralement en forme de colonne portant une inscription et destinées à marquer les distances sur le tracé des principales voies romaines d'Italie et des provinces romaines. Comme leur nom l'indique, les distances étaient mesurées en milles romains, soit environ 1 480 mètres. Toutefois dans les provinces gauloises les distances peuvent parfois être exprimées en lieues ; certains auteurs parlent alors de borne leugaire.
Les bornes milliaires, le plus souvent, se présentent comme des colonnes cylindriques ou ovalisées, parfois parallélépipédiques, de calcaire, de grès, de granit ou de basalte, dont la base est cubique et en saillie pour permettre un enracinement plus solide, et dont la hauteur varie de 2 à 4 m, le diamètre de 0,5 à 0,8 m.
Sous Louis XV, à partir de 1745, des bornes en pierre de 1,30 m de haut sont mises en place sur les routes royales. Elles sont ornées d'une fleur de lys en bas-relief dans un cartouche ovale, au-dessus duquel figure un nombre se référant à une distance. C'est la distance en milliers de toises depuis le point zéro situé sur le parvis de Notre-Dame de Paris. (église primitive)
Le point zéro ou kilomètre zéro est, dans beaucoup de pays, un lieu particulier (souvent situé dans la capitale) depuis lequel les distances routières sont traditionnellement calculées. Une notion similaire existe parfois pour les villes secondaires, et pour les routes ne passant pas par la capitale.
Paris : sur le parvis de Notre-Dame de Paris (point zéro des routes de France)
Marseille : établi en 1927, il est à l'angle de la Canebière et du cours Belsunce
Lyon : il est situé sur la place Bellecour au centre de la Presqu'île
Grenoble : le point zéro de Grenoble est situé au centre du pont Marius-Gontard reliant le quai de France à la rue Marius-Gontard. Le point est matérialisé par une inscription sur les deux murets bordant le pont.
Bordeaux : le point zéro est une borne en pierre située sur une façade de la place Gambetta.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Point_zéro_(topographie)#France
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Une statue-menhir est une pierre plantée en terre dont la forme générale fait penser à un menhir. Sa surface est sculptée en bas relief ou gravée de façon à représenter une figuration humaine féminine ou masculine.
Les jambes sont droites, la taille est marquée par une ceinture. Les bras repliés sur le buste sont prolongés dans le dos par des omoplates en forme de crosse. Les traits du visage sont simplifiés : seuls les yeux et le nez sont tracés, des tatouages en forme de traits parallèles sont gravés sur les joues. Il est très rare que la bouche soit dessinée.
Les matériaux utilisés sont issus de roches généralement proches des lieux de découverte : grès, granit, plus rarement schiste.
Pour la réalisation du dessin, deux techniques pouvaient être employées : la sculpture en bas relief ou la gravure, la matériau pouvant influencer sur ce choix. En effet, le grès tendre est apte à la sculpture, le granit et le schiste sont plus difficiles à travailler et se prêtent plutôt à la gravure.
Selon leur sexe, les statues-menhirs présentent des attributs différents. Les femmes dévoilent leurs seins, des colliers à plusieurs rangs autour du cou, leurs cheveux sont tirés en arrière. Les hommes portent des armes (arc, flèche, hache) et un baudrier disposé en travers de la poitrine, sur lequel est suspendu un fourreau contenant vraisemblablement un poignard.
Certaines statues-menhirs portent les marques de modifications volontaires des attributs et des caractères masculins ou féminins. En règle générale, ces transformations visent à féminiser une statue en faisant disparaître le fourreau et en ajoutant selon le cas des seins ou un collier.
Ces statues-menhirs ont toujours été difficilement datables car elles ont été découvertes hors de tout contexte archéologique. Néanmoins, grâce à l'étude et à la comparaison des attributs (poignards, haches, flèches et parures) représentés sur les statues et des objets trouvés en fouille, on estime la période comprise entre 3500 et 2300 av. J.C.
Cette période correspond à la fin du Néolithique (sociétés agro-pastorales) et le début de l'âge du bronze, à une période charnière appelée le Chalcolithique. Cette phase voit les débuts de la métallurgie du cuivre.
http://www.tourisme-rougier-aveyron.com/decouvrir-vacances-aveyron/statues-menhirs-neolithiques/
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Les statues-menhirs découvertes en Rouergue sont des sculptures dont la forme générale fait penser à un menhir. Elles figurent un personnage entier, dont le devant, le dos et les côtés sont sculptés. Ce sont de véritables statues.
La figure est représentée en pied, les jambes droites, la taille marquée par une ceinture. Les bras repliés sur le buste sont prolongés dans le dos par des épaules en forme de crosse. Les traits du visage sont simplifiés : seuls les yeux et le nez sont tracés, ainsi que des tatouages en forme de traits parallèles sur les joues. Elle est vêtue d'un grand manteau aux lourds plis parallèles.
https://musee-fenaille.rodezagglo.fr/oeuvre/statue-menhir/
Menhirs et dolmens, les mégalithes sont plus nombreux dans le Languedoc qu'en Bretagne. C'est un patrimoine exceptionnel... et méconnu : la plupart sont nichés sur les causses calcaires Méjean et de Sauveterre, à deux pas des gorges du Tarn.
https://www.futura-sciences.com/planete/dossiers/geographie-aveyron-causses-dolmens-templiers-978/page/3/
La France possède plus de deux cents « statues-menhirs », dont soixante-dix en Corse, et l'on en découvre de nouvelles, comme à Tréboux, en Bretagne. Mais l'expression désigne, outre les statues-menhirs proprement dites, les stèles de petite taille, les piliers de dolmens sculptés et les bas-reliefs anthropomorphes des hypogées marnais ; il convient de proposer une chronologie pour chaque groupe, sans oublier les résultats des récentes fouilles helvétiques de Sion, qui ont suscité de remarquables travaux.
La spiritualité au Néolithique récent-final se traduit dans deux régions précises, le Rouergue et le Languedoc oriental, par l'érection de statues-menhir et la présence d'idoles. Parallèlement les objets, signe de masculinité, figurés sur les divinités de pierre et représentés de différentes façons dans des buts variés servent de liaison non seulement entre les statues- menhir de différents types mais encore avec les fractions des civilisations qui les honoraient.
http://jeanarnal.byethost5.com/statues-menhirs/?i=1
Ces statues-menhirs corses étaient, pour certaines, connues de longue date (Mérimée 1840). Cependant, à l'inverse de ce qui se passait dans le Midi de la France, elles n'ont pas particulièrement attiré l'attention et seulement six étaient signalées au début du XXe s. (Octobon 1931, 398-400, 486-487).
Ce sont les recherches systématiques de Roger Grosjean qui permirent d'établir un premier inventaire (Grosjean 1955, 1956). Il présente ainsi trente-huit monuments, en grande partie découverts à l'occasion de ses travaux. L'auteur propose de les dater de deux phases principales. Les plus anciennes statues, non armées, sont attribuées à la fin du IIIe millénaire et les statues armées sont datées entre 1500 et 1000 av. J.-C. d'après la typologie des armes figurées (Grosjean 1956, 34-35).
https://www.persee.fr/doc/ran_0557-7705_1973_num_6_1_957
https://www.lepoint.fr/culture/les-enigmatiques-statues-menhirs-du-sud-casse-tete-de-la-conservation-30-06-2010-471776_3.php
https://musee-fenaille.rodezagglo.fr/au-temps-des-statues-menhirs/
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Liste_des_statues-menhirs_de_France
www.elishean.fr/australie-lempreinte-des-ancetres/
https://www.franceculture.fr/emissions/les-hommes-aux-semelles-de-vent/australie-12-les-pistes-du-reve-australien
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http://www.lascaux-dordogne.com/fr/la-grotte-de-lascaux
Question : et si il en avait été de même en Europe ? Où dessine (sculpte, chante...) moi un continent. Quelle forme mentale prendrait le continent pour des voyageurs pratiquant le cabotage le long des côtes de cette période et circulant sur les crêtes des montagnes ???
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