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- Les vrais liens entre langues anglaise et française !
Bonjour,
En cette période dédiée à la francophonie, je vous propose de connaître (ou découvrir) les liens réels qui existent entre langues anglaise et française, jetez ainsi un coup d'oeil sur mon exposé qui rétablit certaines vérités, et qui vous fera voir les choses comme vous ne les imaginiez peut-être pas... 😉
Le lien ici : http://spafmidipyrenees.eklablog.com/anglais-francais-a105353008
🙂
Très bien ce bon résumé de la moitié de l'ADN anglais ! Merci !
Pour les curieux et les littéraires, il y a aussi les livres d'Henriette Walter, qui fait cette autopsie francophile de l'anglais contemporain (et antérieur).
oui c'est intérressant comme article. ce qu'on a toujours tendance nier, c'est qu'avant il y avait énormément d'échange culturelles entre les civilisations et donc cela doit normalement avoir un impact sur le langage.
pour ma part que les langues évoluent et s'échangent des mots, je trouve cela normal. c'est le principe d'une langue vivante
Merci pour vos sympathiques messages !
Oui Abderian, et j'ai d'ailleurs eu l'occasion d'échanger un peu avec elle il y a quelques années (par courriels) à propos de cet exposé, qui évidemment lui avait également plu (même si elle m'avait indiqué de ne pas trop amenuiser, tout de même, l'autre face - germanique - de l'anglais).
🙂
Amusant que tu aies pu lui parler.
Après, cela dépend exactement du fonds de la démonstration ; si tu cherches à prouver la grande dépendance de l'anglais au français, statistiquement, je ne suis pas sûr que si des apprenants tentent toujours une anglicisation de leurs termes, cela fonctionne moyennement plus qu'en espagnol (ou en italien) ; la désolidarisation existe nécessairement.
Et si l'objectif reste de montrer que l'anglais est "français" pour partie, ces deux langues et bien d'autres relèvent d'un groupe linguistique plus important, et, comme Tolkien en rêvait et comme moult linguistes l'ont fait, on peut de là remonter à une langue première ou à un mélange de composés primitifs pour justifier les parentés, et ainsi, la fraternité linguistique réelle a ses horizons plus élevés (et plus anciens encore).
Est-ce que ça me donnerait envie de... (comment dit-on en français déjà ? De m'en taper cinq ?) de... d'en taper cinq à un anglais, genre "yo bro'", chais pas ! 😋
(Certains diront que le vrai français de toute façon est chez San Antonio et dans le bon parler parisien de la roture ^^)
Concernant H. Walter, j'avais "repéré" son adresse mail sur un site internet et j'ai osé lui envoyer un petit mot, eh bien elle m'a répondu, nous avons alors échangé quelques messages, en toute cordialité.
Pour ce qui est de mon exposé, remontons un peu le temps, ce que j'y exprime était déjà présent "en moi" à 17, 18 ans... J'ai toujours eu cette "passion" (obsession ?) pour les langues, leurs origines, leur histoire, et j'avais donc noté ce décalage entre (déjà) ce discours ambiant exprimant le fait que l'anglais représenterait une "menace" pour le français, alors que je m'apercevais que dans la réalité c'était bel et bien la langue anglaise qui était largement "envahie" de mots français... J'ai donc attendu dans l'espoir qu'une voix plus forte que l'autre rétablisse (dans les médias, etc.) cette vérité, mais cela n'est jamais véritablement arrivé, je me suis donc modestement lancé dans la rédaction de cet exposé (qui a eu un - petit - écho local).
Oui bien sûr les langues ont ce(s) fond(s) commun(s) que les linguistes tentent d'appréhender avec plus ou moins de bonheur, de réussite mais ce que j'ai voulu exprimer dans cet exposé est surtout le fait que l'anglais est bien composé en grande partie de termes, verbes, etc. typiquement français, typiques de son évolution particulière, propres à celle-ci (changer au lieu de cambiar/cambiare... et donc "change" en anglais mais qui n'est finalement donc rien d'autre que du français ! Idem pour "chance", etc., etc.). Et cela semble ne pas être perçu par beaucoup... d'où mon besoin d'exprimer cette réalité oubliée, occultée ?
🙂
Intéressant !
Qu'est-ce qui te meut précisément vers les langues ? Les mots les plus désuets, les relations les plus obscènes et les plus détournées dans les étymologies, les origines impossibles et les créateurs inconnus ?
Et as-tu le même intérêt pour les langues "artificielles" ?
Salut à tous et toutes !
@ Rik
J'ai lu ton article, et mon souci, c'est que je suis forcé de te croire sur parole, mais j'ai fait quelques recherches étymologiques sur des mots que tu mentionnes, au hasard, et je constate que, si le vieux français apparaît dans la lignée "historique" du mot, ce n'est qu'une étape, qui ramène le plus souvent vers le latin ?
Une fois qu'on a prouvé que beaucoup de mots anglais ont une origine française et latine, quelle conclusion en tirer ? Que le français est "plus fort" que l'anglais ? Que le français survivra éternellement, malgré les "attaques" de langues prosélytes et agressives", les langues "barbares", car il est inscrit éternellement dans le "code génétique" de la langue agresseuse ? Que la langue française est plus "noble" que l'anglais, et donc, plus légitime ?
Je suis vraiment très, très surpris de l'existence d'un tel article, d'une telle proposition, qui me paraît absolument défensive, méfiante, qui me semble l'expression d'une langue, d'une identités, en plein doute, pétries de peur de l'autre, de peur de disparaître, en fait TERRIFIÉE de la possibilité de sa propre fin, ou même, simplement de la peur de changer, comme agressées par d'autres langues et identités conquérantes. Je n'aime pas du tout cette approche ni l'objectif de cette recherche.
D'ailleurs je précise ici que, si beaucoup de mots anglais sont d'origine franco-latine, la langue anglaise semble répertorier deux fois plus de mots que la langue française - et oui vous avez bien lu ! DEUX FOIS PLUS, c'est un fait accepté et reconnu par la communauté linguistique internationale ; donc même avec ces mots "étrangers", la langue anglaise reste très riche, et n'a rien à envier au français, et, si l'on enlevait les mots anglais d'origine française, les anglais s'en sortiraient très bien quand même, merci pour eux.
Mais quelle arrogance, bien typiquement française ! Quel nombrilisme pathétique ! Et puis, ce complexe de supériorité français, quelle horreur ! Quel manque de délicatesse, quelle grossièreté, quelle vanité !
La langue anglo-américaine est MAGIQUE, elle offre des possibilités d'expression inexistantes en français, la langue anglaise est sensuelle, physique, souple, intuitive, elle engage le corps, le rythme, la dynamique physique, l'expression corporelle, elle fait corps avec l'instinct, elle épouse le corps dans son expression, dans son sillage, elle modifie même la posture, l'attitude, les réflexes même ! Elle apporte de la fluidité ! L'anglo-américain est une langue LUDIQUE, joyeuse, amusante, légère. Bien plus que la langue française, monotone, figée, nasillarde, déconnectée du corps, hyperintellectuelle, sévère, solennelle, conceptuelle, abstraite, absurdement gangrenée de règles complexes et d'exceptions encore plus complexes et nombreuses.
On n'apprend pas la langue française, on apprend l'HISTOIRE de la langue française. Les français considèrent la langue comme un patrimoine, ie, comme un témoignage du passé. Mais une langue n'est pas un édifice sacré, c'est un OUTIL, l'outil, qui construit les édifices, précisément.
La langue française pense qu'elle est plus belle, plus complexe, plus subtile, plus élaborée, plus élevée, que toute autre langue. Les français sont de médiocres parleurs de langues étrangères, encore aujourd'hui. Ils sont NULS en langues étrangères, car PAS CURIEUX. Ils ne s'intéressent qu'à eux. Ils dénigrent la différence. Ils prennent le grand satan américain comme cause de tous leurs problèmes, même dans la langue.
Peu importe la fatuité du français : les langues sont des organismes vivants, et si une langue doit disparaître, elle disparaîtra, malgré les efforts des académiciens et des influenceurs. Et si le français veut survivre, il ferait bien d'arrêter de se gargariser de son glorieux passé, pour faire un état des lieux sincère de son présent : cette langue est en ruines, assiégée de toutes parts par les langages jeunes, Internet, et étrangères, plus pratiques, plus concises, plus émotionnelles, plus flexibles. Et ce français "pur", "originel", n'est plus parlé que par une élite, qui ne comprend plus le monde qui l'entoure, et le critique systématiquement. Elle ne résiste pas à l'épreuve du temps. Elle est trop difficile à enseigner et apprendre, elle manque de pragmatisme, elle est obstinément réfractaire à tout changement.
Ce n'est pas avec des articles comme celui-là, que la langue française va trouver l'ouverture et la confiance, de se remettre en question ; au contraire, cet article vise à ne rien remettre en question, juste, à dénigrer l'autre, le différent, pour justifier ses échecs à elle.
Comon people ! Wake up and rise ! Don't just stick to what you know, and what you think you are, and accept CHANGE !
Notre Dame is burning, yes, but it's still alive, just different. It's survived the flames.
Will French language survive too ?
Amicalement,
Julien
Basque simplifié. Ak aki.... proche du phénicien primitif ou du berbère actuel. Je ne connais pas trop le celte (kelt ?) mais je vais m'y mettre. Les runes, facile, mais alors les sons... à voir peut être avec l'ancien noroi.
@ Gargarine
Tes investigations passent par le sanskrit par hasard aussi ? Ou le Persan ?
Bien sûr. J'ai quelques notions védiques. A Ô M R A. (Ou ré vu qu'il n'y a pas de voyelles)
Pour le mélange des langues, je planche actuellement sur le personnage d' Ama mou. Enfin, je ne suis pas le premier à m'y intéresser :)
Dans le même genre, en admettant que le H est un détroit du type colonnes d'hercule ou bosphore, alors que pourrait vouloir dire YHWH ?
@Julien, je crois qu'il faut se garder d'interpréter trop vite.
J'ai rencontré Rik à l'occasion d'une activité au mois de janvier et, comme il nous en avait parlé, je l'avais invité à partager son travail sur le forum (merci, @Rik, de l'avoir fait ^^).
J'y vois pour ma part vraiment tout le contraire d'une position défensive, méfiante ou "identitaire", puisque, comme le dit Rik un peu plus haut (et comme il le disait alors), son travail se voulait au moins en partie en réaction au discours fréquent - et, si je puis dire, craintif - voulant que le français soit progressivement envahi par l'anglais.
Quant aux racines latines, je les vois rappelées dans l'article.
Au final, j'en viens pour ma part à tirer la conclusion exactement inverse de celle à laquelle tu parviens. ^^
Voilà, je ne voudrais pas parler à la place de Rik (qu'il rectifie le tir si je me fourvoie), mais comme je crois qu'il ne passe qu'occasionnellement, et étant donné que nous avions eu l'occasion de discuter du sujet de vive voix, je tenais à apporter cette précision.
PS : Je n'ai malheureusement pas énormément de temps là de suite, mais le pragmatisme est-il toujours une bonne chose ?
La langue a une influence sur la pensée, et la pensée a une influence sur la langue. Et anglais et français sont effectivement, à mon avis, fort différents, je te rejoins là-dessus.
J'aime d'ailleurs beaucoup ton analyse de l'anglais, qui me semble sonner très juste.
Et qui me fait dire que je me reconnais bien plus dans les qualificatifs que tu attribues au français que dans ceux que tu attribues à l'anglais. 😬 😂
(excepté dans le "nasillard', entendons-nous bien - si je puis dire 😄)
@ Aurel
Merci pour ta diplomatie, que j'apprécie !
Mon ressenti est simple ici : étant très lié aux langues anglaises, la "part anglaise" de mon identité s'est trouvé offensée à la lecture de cet article. J'ai même eu honte, à la pensée qu'un anglais ou un américain puissent lire cet article : pas parce qu'une vérité nouvellement admise réduirait la valeur des langues anglaises de manière incontestable, non cela ne m'intéresse pas, de "défendre" une langue, peu importe laquelle (pour moi, défendre une langue, est une position absurde - la meilleure manière de défendre une langue étant pour moi de l'utiliser) ; cet article m'a fait réagir car il donnait une image de la France que je trouve petite, défensive, méfiante, refermée sur elle-même. Et aussi, très arrogante : ramener l'autre à soi ! Se "réapproprier" la genèse d'une autre langue... Non décidément, je suis très surpris de cette démarche, et surtout, de tous les efforts que cette recherche a demandés ! Quel travail colossal, de répertorier tous ces mots ! Un travail admirable d'ailleurs, je l'admets volontiers...
Mais je n'arrive pas à m'enlever de l'idée, qu'une telle démarche n'est pas motivée par l'ouverture, la confiance, la volonté de changer, de se mélanger ; plutôt, par la peur, la méfiance, le doute de soi-même.
Enfin, if I may : this just sounds so bloody French. Bloddy arrogant.
But hey ! This very French arrogance, is the reason why many people hate France, but also, the reason why so many people also LOVE France, right ? Keep being arrogant, Froggies, we love that !
But don't forget : there are twice as many words in English, as in French.
:)))
Julien
Je tiens aussi à préciser que parfois, je deviens vraiment américain : quand je parle américain, je le deviens, dans mes attitudes, (j'ai l'impression que quand je parle une langue, j'épouse son énergie, sa dynamique, dans mon corps aussi) et donc, dans la culture américaine, il y a cette attitude, "assertive", affirmative, une manière assez brutale parfois, de s'exprimer, je suis d'accord avec cette critique... Il y a une révolte aussi, dans la langue américaine, une révolte que je trouve belle, teintée de l'influence du peuple noir, de l'Afrique... L'Afrique me semble très présente, dans l'identité américaine, dans sa culture...
C'est une langue magnifique, c'est pour ça que parfois, je ressens un peu d'énervement, car je vois une forme d'injustice dans les critiques si nombreuses des français envers les langues anglaises, particulièrement l'anglais américain... Les français ont du mal à admettre qu'ils AIMENT l'Amérique - pas TOUTE l'Amérique, mais une belle partie quand même... Et les français ont toujours beaucoup aimé les musiques anglaises et américaines... Les français aiment les langues anglaises, peut-être davantage qu'ils ne veulent bien admettre... D'ailleurs, leur plus grande idole du siècle dernier s'appellait "Johnny Hallyday" (de son vrai nom : Jean-Philippe Smet).
On pourrait aussi parler de l'amour que ces deux langues ont l'une pour l'autre... Sans méfiance, en paix... Ces deux langues sont magiques !
En linguistique, les langues indo-européennes forment une famille de langues étroitement apparentées ayant pour origine ce qu'il est convenu d'appeler l'indo-européen commun et « dont les éléments lexicologiques, morphologiques et syntaxiques présentent, pour la plupart d'entre elles, des ressemblances de nature telle que ces langues peuvent se ramener à l'unité ; le présupposé est alors que chaque groupe d'éléments comparés procède d'évolutions divergentes à partir de formes originelles disparues». Au nombre d'environ un millier, elles sont actuellement parlées par près de trois milliards de locuteurs.
Wikipédia
@Julien : tu as raison, il y a une psychanalyse de l'américanophile à faire en France, mais même plus largement en Europe. Le problème vient surtout du français galvaudé par les anglicismes, et certaines mixtures malodorantes issues du monde des affaires. Macron d'ailleurs se plaît aussi à les employer. Il y a donc des parties de la langue qui relèvent des arômes déplaisants, à cause justement de principes ou d'idéologies antinomiques au bien-être, à l'arrogance et à la mollesse française (oh les... /clichés/ (tiens, un terme que les Angles ont piqué aux Francs... serait-ce par hasard ?!)).
Reste que pour le post initial, très clairement, pas de méprise, juste une démarche assez objective. Pour la peine @Julien, tu nous feras tout l'historique de l'anglais dans ses relations avec l'indo-européen originel. 😋
Hello tout le monde ! Merci pour vos messages :)
@ Abderian, cet "intérêt" pour les langues est quasi passionnel, depuis fort longtemps (toujours ?), comment l'expliquer ? Je te dirais que... c'est ainsi, je ne peux m'empêcher de décortiquer les mots, connaître leurs origines, étudier les liens passés, présents (futurs ?) entre nos divers/multiples langages, avec peut-être une capacité à justement saisir, percevoir ce qui les caractérise (après tout c'est notre nature d'être de la sorte, de faire des liens... :)), j'ai "étudié" (et j'étudie encore) les langues des quatre coins du monde, d'hier et d'aujourd'hui, c'est une "nourriture" ;) (par contre, moins d'attrait peut-être pour les langues "artificielles" que tu évoques même si je me suis également penché dessus bien sûr). Et il m'est justement arrivé aussi de "créer", d'imaginer des langages (avec leurs règles, leurs conjugaisons...).
@ Julien, ne t'inquiète pas, point de souhait dans ma démarche de m'"attaquer" à quoi (qui) que ce soit, simplement le désir d'informer, éventuellement de rétablir une vérité il me semble quelque peu mise de côté ; bon, il émane peut-être de mon exposé un ton parfois, disons, "provocateur" ou du moins un (tout petit) peu "rentre-dedans" mais cela est dû aussi au fait que j'ai - vraiment - envie que l'on se rende enfin compte de la réalité que j'évoque et que plusieurs d'entre vous ont d'ailleurs parfaitement saisie (merci encore :)). Et ma démarche est au final plus motivée par ce désir-là que par le fait de défendre ou de mettre en avant une identité, une "nation" plus que d'autres, j'aurais eu sans doute la même démarche avec d'autres langues, d'autres "peuples"..., donc pas de souci ;). Et je me dis que si la langue anglaise moderne sonne, comme tu le dis, si bien, c'est peut-être justement à cause de (grâce à...) la présence de ces nombreux mots français qui lui donnent cette saveur si particulière (si tu veux relis plus haut ici les quelques phrases que tu as écrites en anglais et tu comprendras :)).
Eh tiens, une anecdote qui me plaît bien, je porte justement un prénom (mon pseudo en est un des diminutifs possibles) très apprécié du monde anglo-saxon (qui y est donc relativement répandu, depuis fort longtemps), et j'affectionne justement cela ! J'ai occasionnellement croisé, dans certains contextes précis, des anglais, des américains, et - même si cela peut paraître "bête" - j'ai noté que le fait de porter ce prénom créait une sorte de connivence entre nous, comme s'il m'ouvrait certaines "portes" (dans l'échange, le dialogue), pas désagréable donc comme situation ; ainsi tu vois je ne me sens justement pas limité à un territoire (la France en l'occurrence), et si un anglais me découvre d'abord par mon prénom, il ne saura dire si je suis l'un de ses compatriotes ou autre ;)... (alors qu'ironiquement ton prénom te confinerait finalement plutôt à cette France et ces français qui suscitent en toi tant de ressentis disons désagréables).
@ Aurel, tout à fait et merci :)
Au plaisir de continuer à échanger avec vous :)
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