Les yeux -consciences
Une brume épaisse bleutée,
Et des yeux, par milliers,
Partout, trouant l'espace,
Et tout s'éclaircit,
Il ne reste que les yeux flottant
Dans le vide.
Je marche en suspension.
Je regarde ces yeux
Qui voient à travers moi,
Ils sont des millions,
Reliés par des fils de soie;
État d'observation et d'attention ;
Ce sont des yeux-consciences
De tous les êtres d' avant, de maintenant et de demain,
Les yeux des dinosaures, des libellules, des chênes,
Des chouettes, des ours, des lichens,
Des baleines, des ronces, des pierres, des chiens,
Des crapauds, des gouttes de pluie, des humains ...
Je suis devenue un oeil,
Relié aux autres milliards d'yeux .
On a là un très bel écrit,
Et l'on y voit inspiration,
Infinies connexions auxquelles je souscris,
L'image porteuse de réalisations.
Merci @ Fropop
C'est arrivé comme ça, du ciel !
Merci @ Zompo!
C'est très beau, très doux, avec une humanité qui me fait écho à Andrée CHEDID
J'écris aussi mais c'est un peu compliqué ces temps-ci alors je te partage ce poème de cette grande dame que j'affectionne particulièrement :
MULTIPLE
Je fonce vers l'horizon
Qui s'écarte
Je m'empare du temps
Qui me fuit
J'épouse des visages
D'enfance
J'adopte mes corps
D'aujourd'hui
Je me grave
Dans mes turbulences
Je pénètre
Mes embellies
Je suis multiple
Je ne suis personne
Je suis d'ailleurs
Je suis d'ici
Andrée CHEDID
Merci @NEBULEUSE !
Je me retrouve parfaitement dans ce poème de Chedid.
J'aime bien le j'adopte mes corps.
On en a beaucoup...
Imagine ce qu'on transporte comme enveloppes corporelles depuis le début ou même avant ! C'est pour ça qu'on sent lourd..des fois.
Il faut écrire, surtout quand c'est compliqué, surtout quand c'est dur... Écrire, c'est se revivre et faire vivre tout un monde .
"Les dés étant formels et la mort souveraine, je m'émerveille de croire en notre saison. " Andrée Chedid
@leberger
La Mort aime jouer au poker.
Toujours avoir un paquet de cartes sur soi!
@Aquila Je me lance... la dernière fois c'était involontaire et ça m'a mené dans le coma... et proche de la mort. Je recommence à écrire et voilà ... ce truc là.
"Quelque chose. (Titre)
Il arrive qu'un jour...
Quelque chose arrive.
On ne l'attendait pas,
On ne l'attendait plus.
On ne savait même pas qu'on l'attendait.
Mais voilà, ce quelque chose est là.
C'est bien.
D'autant plus que c'était inespéré!"
Sylvain
@leberger
Si tu écris de nouveau, c'est que tu revis.👍
Notre vie est en sursis et on a tendance à l'oublier.
Et elle est également paradoxale, mystérieuse et spirituelle.
C'est foisonnant, on en a jamais fini avec elle 🙂
@Aquila
Extrait de
"Il faut passer le temps "
"On croit que c'est facile
de ne rien faire du tout
au fond c'est difficile comme tout
il faut passer le temps
c'est tout un travail
il faut passer le temps
c'est un travail de titan"
Jacques Prévert
Ne chantez pas la mort, c'est un sujet morbide
Le mot seul jette un froid, aussitôt qu'il est dit
Les gens du "show-business" vous prédiront le "bide"
C'est un sujet tabou pour poète maudit
La mort
La mort
Je la chante et, dès lors, miracle des voyelles
Il semble que la mort est la soeur de l'amour
La mort qui nous attend, et l'amour que l'on appelle
Et si lui ne vient pas
Elle viendra toujours
La mort
La mort
La mienne n'aura pas, comme dans le Larousse
Un squelette, un linceul, dans la main une faux
Mais, fille de vingt ans à chevelure rousse
En voile de mariée
Elle aura ce qu'il faut
Jean-Roger Caussimon
"Qui je suis ? Je suis le bûcheron de la forêt profonde des pensées couvertes de lianes par les faiseurs de livres, l'habile serrurier des âmes humaines, le tailleur de pierre du pavé des coeurs.
Sur l'eau je ne coule pas ,
Je ne brûle pas dans le feu-
esprit inflexible de l'éternelle révolte.
Je suis venu me vêtir de vos muscles.
Préparez les colonnes de vos corps.
Entassez rabots, établis et forges.
Je vais grimper dessus. "
Maiakovski
Merci @Aquila pour la motivation. L'écriture est libératrice effectivement.
Elle est peu prolifique en ces moments troublés des fulgurances parfois réussissent à percer ;)
Si seulement je pouvais arrêter de pleurer
Oublier mais pourtant le passé doit couler
Libérer un instant mon âme tourmentée
Ignorer la tristesse qui s'y est accrochée
Trouver un nouveau souffle combattre l'asphyxie
Un espace où démêler les fils de ma vie
Des illusions perdues espoirs interrompus
Encore une fois je tombe le vertige m'a déchue
Merci Timide, merci le berger. Tout cela est très beau.
Merci Nébuleuse. Je crois, au contraire, qu'il faut faire face à la tristesse, la vivre, l'accompagner jusqu'à ce qu'elle s'émiette sur le chemin... Miettes emportées par les oiseaux, les transmutant en éclats de soleil.
@Aquila
Tu as parfaitement raison et je m'accorde de le faire .... enfin
Cette citation est dans ma tête et surtout mon coeur :
"Plus profondément le chagrin creusera vôtre être, plus vous pourrez contenir de joie."
Khalil Gibran
Et moi j'ai écrit il y a quelque temps ce petit poème de rien du tout...
Révélations. Mon petit chemin de Damas.
Je suis en paix avec moi-même,
Je suis en paix avec les autres.
J'ai pardonné, je me suis pardonné,
Comme j'aimerais qu'on me pardonne.
Je veux aimer et je souhaite être aimé.
Pour ce que je suis comme pour ce que
Je ne suis pas.
Je reconnais la tristesse comme la joie ;
Et je les accepte.
Je suis devenu qui je suis.
Je suis quelqu'un de bien.
In my arms there's no harm,
just a heal for my beautifull wounded bird
In my arms fell free to be calm
No gesture or bad words to be heard
----------------------
Quand tu as besoin de parler,
Mais trop de bruit pour t'écouter,
Quand tu voudrai crier,
Mais trop de monde à aider
Il faudrait me poser
Retrouver une sérénité
Plutôt dur à gérer
Quand tu es entrainé
Mon cerveau tourne à plein
Je ne trouve pas le frein
J'ai parlé 1000 fois avec toi
Et tu ne le sais même pas
Dialogues intérieurs et constants
Dans lesquelles je me livre
Comme quand je suis ivre
Et que le masque se fends
Parfois je voudrai tout dire
Pouvoir juste me lâcher
Être capable de pleurer
Avant que tout n'empire
Sauf que c'est interdit
Le cerveau dit « contrôle, stop ! »
Retours aux insomnies, aller hop
Et ça va de mal en pis
Cercle vicieux d'une tête qui fume
Des sentiments qui t'embrument
Symptômes de forts décalages
Et rien n'y fait, même pas l'âge
Pas de prise sur mes pensées
Juste l'envie de toujours aider
Car ça permet un moment d'oublier
Qu'au final, personne pour m'écouter...
-------------------
Plus je vous lis,
Plus je m'instruis
Et de ma vaste inculture
Une pensée consciente émerge
Que jamais atteindre les berges
Du savoir ne sera mon futur
------------------
Je voudrai nos vies figées,
les moments de bohneur capturés,
car face aux adversités,
ces mémoires sont nos bouées
Le temps est inéroxable,
il avance et efface,
burine nos frêles faces,
d'évênements défavorables
Pourtant je les devine belles,
ces rides qui te morcellent,
Beaux reflets qui entremêlent,
Vie maux mots espoir & réel
tu veux avoir le contrôle,
que plus rien ne te frôle
mais ce sera le laché prise
qui te sauvera la mise
Alors tu verras ta beauté
Que tes cicatrices cajolées
L'expérience que tu en as tiré
C'est le bien qu'autour tu fais
Tes douleurs ont été tes moteurs
Dès à présent il est l'heure
De passer d'acérée à serrer
D'étreindre ton passé
De dire que c'est assez
Que tu n'as pas échoué *
Que tu as appris de la vie
Partages, on t'en remercie
-----------------
Putain ça fait du bien
je suis Apie c'est certain
je voudrai dire à nos anciens
pour ce site, merci Ô combien !
@Mic, si je pense à ce que tu écris, c'est foisonnant et cacophonique dans ma tête ; mais plus que je ne le lis, je le vis : merci. Merci Apie.
Parce que oui, putain, ça fait du bien !
@LeBulluc, si tu as du temps devant toi, je pense que ma bafouille dans https://www.apie-people.com/forum/communaute/presentations-temoignages-questions-sensibles/je-pose-ca-la-safe-place-to-be-apie-118905 devrait résoner comme un diapason
Foutue informatique... C'est là : Forum - Présentations / témoignages / questions sensibles - "Je pose çà là... Safe Place to be APIE"
A jeter l'encre sur le papier,
La faute sur ceux qui m'ont laisées,
Ecrire, cest toujours reculer,
L'instant où tout s'est écroulé.
On n'écrit pas sur ce qu'on aime,
Sur ce qui ne pose pas problème,
Voilà pourquoi,
Je n'écris pas sur toi,
Rassure-toi...
J'écris sur ce que j'endure, les petites morts, sur les blessures,
J'écris ma peur, mon manque d'amour,
J'ecris du coeur, mais c'est toujours,
Sur ce que je n'ai pas pu dire, pas su vivre, pas su retenir,
J'écris en vers, et contre tous,
C'est toujours l'Enfer qui me pousse...
Merci @Mic, je lirai ça dès que possible. Comme je viens de l'indiquer sur le sujet de l'intuition, je sens que je suis sur un "truc" important qui nécessite que je m'y consacre à 100% et comme je ne sais pas faire deux choses à la fois (en tous cas pas "bien"), je vais m'isoler un petit peu, pas longtemps et pour un "truc" potentiellement très heureux que je ne veux pas, encore, faire foirer 😉 Ca ne donnera peut-être rien, mais si moi, je donne tout, ça ne sera pas grave. Mais je sens que si je donne tout, je peux potentiellement recevoir au centuple, bref, je me connais assez pour savoir que là, faut pas que je me disperse 😉 Mais ça ne sera pas trop long...
@LeBulluc, c'est de la catharsis, j'expurge mon sentiment, donc ne lit pas dès que possible, lit quand tu peux, quand tu veux. Moi c'est livré ^^
tu dis ressentir plus que lire, c'est pour ça que je l'ai écris, pas pour qu'on saches, mais pour qu'on sente. D'où mon quote à ton intention 🙂
Et les maux par vagues viennent,
Les reproches aux haines mènent
Quand face au déferlement je suis
Simplement je panse, donc j'essuie.
Ouais c'est une super journée lol
Je serai toujours,
Même le souffle court,
L'oreille pour t'écouter,
L'épaule pour y pleurer,
Les bras pour te consoler
Les mains pour te soigner,
Chaleur du corps pour rassurer
La parole pour t'aider
Toujours présent en simple rocher
Toujours diaphane et las à tes côtés
Quand les maux par vagues viennent,
Les reproches aux haines mènent
Quand face au déferlement je te suis
Simplement je panse, donc j'essuie
Sèches tes larmes et fourbie tes armes
Sort au clair ton charme et ton sourire
Ranges les apparaux qui t'ont valu le pire
Vas plus loin silencieuse face au vacarme
Plus jamais seule car une vraie Amie
oui, de la Famille que mon coeur a Choisi
tu m'offres un éxutoire,
un espace de liberté,
que peu peuvent espérer
Quand je suis dans le noir,
J'appelle doucement vers toi (normalement là je mets le prénom en "A", mais on ne va pas la nommer ^^)
En quelques minutes tu es là
Me change mes sombres idées
M'amène à me questionner
Toujours à me faire progresser
Aller de l'avant, rasséréné
Je peux m'en retourner, apaisé
Embrasser par Morphée
Coucou @Maverick - cadeau bonux pour ton futur fil ^^
" je suis contre l'égalité des sexes, ca me ferait trop mal " - bisou
Les femmes sont nos soleils,
Quand elles ne se teintent pas d''obscurantismes,
Elles amènent à notre éveil,
Quand elles ne recherchent pas les chiismes,
Comme des flammes elles nous réchauffent
Las nous finissons pour elles de lutter
Apprendre à les comprendre nous échauffe
Retourner vers elles nous fait douter
A jamais tous parfaitement insatisfaits
Mâles de ne dominer qu'à l'imparfait
A l'inverse femmes de s'émanciper !
Immanquablement nous avons oublié
Associés nos forces se décuplent
Notre capacité d'aimer au centuple
Nos chemins sont si beaux emmêlés
A l'inverse par les égaux guidés, déstructurés
Arrêtons donc de pérorer
Hommes, femmes, égalités
Concurrence & affrontement sont les maux clefs
Respect et complémentarité les mots liés
Rejeter l'autre est se rejeter soi
Las de toi si tu ne veux pas de moi
Toi femme deviens mon soleil,
Vois-moi, & tu m'émerveilles !
A mes étoiles
s'il existe de bonnes étoiles
qui sur nous parfois veillent
alors j'ai une constellation
que parfois le ciel me dévoile
qui de ma torpeur me réveille
et nuitamment guide mes pérégrinations
Elles ne sont pas si éclairantes
La lumière n'est pas éblouissante
Mais elles sont chaudes et rassurantes
Leurs douceurs rassérénantes
Leurs contacts sont ponctuels et fugaces
Les voir disparaitre un temps m'agace
Pour me guider je m'y réfère
Perdu dans le brouillard je les cherche
Mais les brumes interfèrent
Et solitaire je scrute et recherche
Alors nouvelle étoile point
Je constate que j'en suis loin
Il est rare qu'une étoile m'appelle
Souvent je suis celui qui hèle
Sensation étrange de toujours devoir chercher
Le contact même quand j'essaie d'aider
Eternel demandeur en sensation de gêne
Errant dans le noir en âme en peine
Toi l'étoile tu peux m'apostropher
Ta demande je l'ai mille fois espérée
Questions délires ou juste papoter
Tout est prétexte pour communiquer
A la belle étoile je suis en manque de toit
Alors Belle Ame parfois, penses à moi
@Zompo,
autant le texte est pas mal du tout, autant la musique, ce n'est pas ma tasse de thé.
donc merci de me faire découvrir ^^ & dommage en même, j'aime trop les mélodies
Hoé @Mic.
J'ai apprécié sur le coup la mélodie des idées et l'esprit tribal mais j'ai déjà oublié le tempo proposé.
En plus, mes oreilles de z'oreilles ont interprétées "anmwe" comme "en moi", ce qui n'est peut être pas l'idées des artistes.
Tempo d'ouïes et accords d'idées font plus que densité...
@Zompo,
La découverte était sympa quand même lol
Une des plus belles mélodies, la toccata.
Elle me poursuit depuis que je suis né, et ne m'en lasserai jamais je pense.
Biz
La peur étreint mon coeur
Car doucement je m'éteins
Que nulle à présent ne m'étreint
Pourvu que ce ne soit rancoeur
J'en reste bouche bée
Glandes lacrymales bloquées
Tant de choses non achevées
Tant de dialogues avortés
J'aurais voulu continuer
Toujours être là touché aider
Je ne sais si je serai empêché
Ou juste devoir me dépêcher
Schroedinger est mon avenir
Le meilleur, le pire ?
Corps, coeur et esprit liés
Pourtant à jamais dissociés
Je ne sais plus mon devenir
Quelle chemin me fera mourir
Quelle route pour me nourrir
Quel sentier pour ne pas souffrir
Bel écrit Mic.
Ainsi tout passe, tout casse et tout lasse alors qu'en même temps tout reste, tout tient, tout est bien.
Âmes et océans, idées et dieux,
Pleurs et pluies, tempêtes aux cieux.
Tout coule, tout fuit, tout se dilue.
Tout ce qui ne change pas c'est la vérité...
Et la vérité c'est que tout change...
Toujours et jamais faut jamais l'dire...
On peut toujours dire qu'on sais jamais...
Tocata, tocata...
Il faut de la musique pour que l'chat de schroedinger puissse comprendre ça...
Médecine douce
Rêve d'ébats stériles sur les sens de l'amour
On dit qu'il est aveugle, on oubli qu'il est sourd
On peut lire sur les lèvres et l'écrire à l'oral
On peut goûter de tout, que la langue dessine
Les peaux aiment les caresses et jouir l'amoral
Il n'est rien de plus doux que la bonne médecine
Solène Ravie
@Zompo (& @venussmith ^^)
La médecine douce s'administre avec soin
De bonnes mains doivent posées l'oin (pas sur du mot, un oin est un onguent il me semble)
Car sans prévernance il n'est de bien
Sans empathie la médecine n'est rien
Je préfère caresses & mots qui réparent
Que toutes ces chimies qui tous séparent (neuro actifs)
Une volonté même mal réalisée plus que précipité (précipité = sens chimique)
Car c'est l'esprit avant tout qu'il faut soigner
Pansez tant que vous voudrez
Jamais celà ne saurait soigné
L'esprit qui continuer de fuiter
Que seule la bonté peut réparer
Michel - 1/10/2024 ^^ bisou
Fernando Pessoa
"Todas as cartas de amor são
Ridículas.
Não seriam cartas de amor se não fossem
Ridículas.
Também escrevi em meu tempo cartas de amor,
Como as outras,
Ridículas.
As cartas de amor, se há amor,
Têm de ser
Ridículas.
Mas, afinal,
Só as criaturas que nunca escreveram
Cartas de amor
É que são
Ridículas.
Quem me dera no tempo em que escrevia
Sem dar por isso
Cartas de amor
Ridículas.
A verdade é que hoje
As minhas memórias
Dessas cartas de amor
É que são
Ridículas.
[Todas as palavras esdrúxulas,
Como os sentimentos esdrúxulos,
São naturalmente
Ridículas.]"
La VF...
https://debraisesetdombre.com/2021/12/09/toutes-les-lettres-damour/
Serviteur.
"- Qui aimes-tu le mieux, homme énigmatique, dis ?
Ton père, ta mère, ta soeur ou ton frère ?
- Je n'ai ni père, ni mère, ni soeur, ni frère.
- Tes amis ?
- Vous vous servez là d'une parole dont le sens m'est
resté jusqu'à ce jour inconnu.
- Ta patrie ?
- J'ignore sous quelle latitude elle est située.
- La beauté ?
- Je l'aimerais volontiers, déesse et immortelle.
- L'or ?
- Je le hais comme vous haïssez Dieu.
- Eh ! qu'aimes-tu donc, extraordinaire étranger ?
- J'aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas...
là-bas... les merveilleux nuages !"
(L'étranger / Charles Baudelaire)
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